Géographe

géohistorique de l’identité territoriale néo-zélandaise ». Comme il le précise souvent, le cas de ce pays des antipodes est peu traité par les géographes francophones, cela s’explique sans doute par l’éloignement certain, dans tous les sens des termes, de la France et de la Nouvelle-Zélande. L’auteur s’appuie donc sur une solide bibliographie de géographes anglophones, qui ont pu étudier l’évolution de cette ancienne colonie britannique tout au long du XX° siècle. L’article est découpé en trois

projections possibles. En effet si certains comme la projection Buckminster s’en rapproche le plus possible, une représentation parfait est impossible car une carte mêlant respect des angles et des surfaces est impossible. Ainsi, le plus souvent, les géographes représentent leur monde qui peut s’éloigner de la réalité et qui donc nous donne des cartes rarement neutres. En quoi et comment les cartes peuvent-elles servir de justificatif et par là, nous influencer ? Une carte est un modèle réduit, avec une

ressources halieutiques et sous-marine (Cas de l’Arctique). Conclusion : Les espaces maritimes reflètent les enjeux de la mondialisation tant par les disparités que les tensions dont ils font l’objet à l’échelle mondiale. Le géographe A. Louchet a intitulé un de ses ouvrage Le géographe A. Louchet a intitulé un de ses ouvrage La Planète Océane, montrant par là que 1°) les espaces maritimes sont au cœur des enjeux stratégiques dans la mondialisation et 2°) que les mers et océans du globe ne forment plus

classique a vécu une importante période de transition au début du 19ème siècle, pendant laquelle nombre de ses fondements ont été remis en question, et où plusieurs géographes se sont révélés être les précurseurs d’évolutions essentielles dans cette discipline, entre autre Elisé Reclus et Vidal de la Blache. Jean Brunhes est un géographe français de cette période qui fut élève de ce dernier. Assez à contre-courant, il était très penché vers la géographie humaine et culturelle, et pensait que l'analyse

efficacement les territoires, répartir les impôts, rectifier le tracé d’anciennes routes ou en créer de nouvelles pour des nécessités de stratégie militaire. La Carte de France dite « Carte de Cassini » doit son nom à une lignée d’astronomes et de géographes d’origine italienne qui s’installent en France dans le dernier tiers du XVIIe siècle. Lancée sous les auspices de l’Académie des Sciences en 1747, elle résulte du travail opiniâtre d’une succession de savants et d’ingénieurs qui, pendant un siècle

l’Amérique ou la Chine. POGROMS : Humiliations publiques. La carte du monde au fil des âges Plusieurs étapes se sont succédées avant d'établir la représentation du monde telle qu'on la connaît aujourd'hui : - La version du monde selon le géographe grec ERATOSTHENE au IIIeme siècle avant JC représente , la terre de façon plate ses limites sont les enfers d'ailleurs ERATOSTHENE est le premier à avoir calculer la circonférence de la Terre . Sa carte du monde est très loin de carte d'aujourd'hui

pilotage composé de l'État, de la Ville de Paris, de la région Île-de-France et de l'Association des maires d'Île-de-France, assisté d'un comité scientifique réunissant vingt-trois personnalités qualifiées autour de l'architecte Paul Chemetov et du géographe Michel Lussault. La coordination générale a quant à elle été confiée au ministère de la Culture et de la Communication. Dix équipes pluridisciplinaires ont été sélectionnées autour d'architectes mandataires afin de travailler sur des propositions

de l'Etat-Nation et du sentiment national, appétits territoriaux avivés par la question coloniale ). Le terme de géopolitique avancé par le géographie suédois Rudolf Kjellén (1864-1922) reprend des éléments de géographie politique énoncés par le géographe allemand Friedrich Ratzel, considéré comme le père de la Geopolitik allemande. Ratzel analyse l'État en rapport avec sa géographie, son espace, son milieu, les deux sont en interactions. Dans son ouvrage Politische Geographie oder die Geographie

continent de " petit cap du continent asiatique ", atteste l’absence de barrière physique évidente du côté de l’Orient. Dans le bloc de l’ " Eurasie ", où se situent donc les fins et les commencements ? En dépit de Vassili Tatichtchev, historien et géographe à la cour du tsar Pierre le Grand, qui vers la fin du XVIIe siècle et pour répondre au projet du tsar d’européaniser la Russie le proposait comme limite orientale de l’Europe, l’Oural ne culmine qu’à 1 900m et ses monts n’ont pas représenté une ligne

entre l’Allemagne et la Russie qui auraient ainsi dominé l’île mondiale. III L’ECOLE FRANÇAISE : III-1 VIDAL DE LA BLACHE, PAUL (1845-1918) : La théorie de micro géographie Géographe français, dont l’influence sur la géographie française s’est avérée déterminante au début du XXe siècle. En s'inspirant des géographes allemands tels que : Ritter et Ratzel, il développe les études de géographie régionale en insistant sur les relations entre l'Homme et son milieu naturel. Vidal de la Blache étudie