George Marshall

nous le saisissons en un moment historique qui voit précisément son éclosion. Votre manuel (Soleils d’encre) voit même dans cette passante un mythe moderne qui s’épanouira au XXe siècle (voir le poème de Antoine Pol mis en musique et chanté par Georges Brassens p.602). La place de ce poème semble le désigner comme le dernier d’une série de tableaux inspirés par les rencontres que favorise la grande ville. Il se caractérise cependant par le fait qu’il est centré sur un personnage unique et que

du Prince Albert, futur roi George VI, luttant contre son problème de bégaiement qui l’empêche de réussir ses discours ce qui nuit à sa réputation. Sa femme lui fait rencontrer un expert en diction et Albert suivra donc des cours de diction avec Lionel Logue, un expert australien en résolution des problèmes de parole dont les méthodes sont plus que modernes pour l’époque. Les plus versés d’entre vous dans l’histoire anglaise auront tout de suite compris que le roi George VI était le père de notre chère

(Octobre 1819). Après son baccalauréat, il suivit des études, vites abandonnées, de médecine, de droit et de peinture mais il s’intéressa surtout à la littérature. b) Sa vie familiale : Alfred de Musset eut de nombreuses liaisons : avec Georges Sand, connue lors d’un dîner. Leur relation durera deux ans ; Il tomba ensuite amoureux de Caroline Jaubert (3 semaines) ; Il faillit se marier avec Aimée Irène d’Alton (cousine de Caroline Jaubert) mais il l’abandonna pour une autre conquête. Il

le pire qui soit. La différence entre dystopie et utopie tient moins au contenu qu'à la forme littéraire et à l'intention de son auteur. Cette forme littéraire a été rendue célèbre par Le Meilleur des mondes (1932) d'Aldous Huxley, 1984 (1948) de George Orwell, Fahrenheit 451 (1954) de Ray Bradbury. Les mondes terrifiants décrits dans ces romans ont laissé à penser qu'une dystopie était la description d'une dictature sans égard pour les libertés fondamentales. La dystopie peut-être une critique

les vendanges en octobre. Il utilise un langage direct, franc, parfois empreint d’argot et dans les quatre refrains fait bien ressentir qu’à ses yeux la France est peuplée par des cons. Le dernier refrain fait peut-être référence à la chanson de Georges Brassens « Le roi des cons », car s’était un artiste que Renaud aimait bien. Dans la chanson on peut remarquer l’influence qu’on pue avoir sur l’auteur son grand-père communiste, son père auteur et sa jeunesse militante. Tout en étant poétique

une synthèse concise, objective et ordonnée. Document 1: François Jost, L 'Empire du Loft, La Dispute, 2002. Document 2 : Camille Tétard, Stéphanie Carrère, François Comte, Roman Tolici, L'Officiel de la télé-réalité 2004, Pepper. Document 3: George Orwell, 1984, Gallimard. Document 4 : Affiche du film The Truman Show, de Peter Weir, 1998 Ecriture personnelle: Pouvoir tout voir nous permet-il, selon vous, de mieux comprendre la réalité? Document 1: À l'encontre du cachot qui cache

angles, différents points de vue en même temps, les surfaces sont rabattues (un visage peut être représenté de face, de profil, de trois-quart dans une même image). Sujets : portraits, nus, natures mortes. Autres peintres cubistes de l’époque : Georges Braque (français), Juan Gris (espagnol), Fernand Léger… Influence du cubisme sur de nombreux peintres. 4) Cubisme analytique : 1909/ 1912 L’expérience du cubisme est poussée à son extrémité, les formes sont disloquées et dispersées, les couleurs

n'appartiennent pas aux institutions, mais à jeunesse, notamment ENS-Ulm (le surveillent général Paul Dupuy et le bibliothécaire Lucien Herr, socialiste allemand) : promotion de 1894 dreyfusarde (Péguy, Albert Mathiez, Félicien Challaye, Paul Mantoux, George Weulersse, Mario Roques). Pour eux, dreyfusisme = incarnation du socialisme tel qu'ils le rêvent, mvmt d'éducation visant à renforcer les âmes, donner aux individus de résister aux pressions de société) => convainquent ss doute Jaurès d'entrer

fourberies de Scapin » de Molière. Les pièces de théâtre peuvent être aussi représentées sous forme de ballets et de chansons c’est le théâtre de Vaudeville « Un jeune homme pressé » de Eugène Labiche (1848) ou encor « Le Train de 8 heures 47 » de Georges Courteline (1888) celles-ci sont écrites que pour le plaisir des yeux, divertir et amuser les spectateurs. Les auteurs s’inspirent de la vie quotidienne et font doc rire le public tout en attirant la sympathie et l’indulgence pour ces personnages

DE MUSSET Caprices de Marianne, 1833 On ne badine pas avec l'amour, 1834 Lorenzaccio, 1834 La Confession d'un enfant du siècle, 1836 Les Nuits, 1835-1837 GÉRARD DE NERVAL Sylvie, 1853 Les Chimères, 1853 Aurélia, 1853 Pandora, 1853 GEORGE SAND Indiana, 1831 Lélia, 1833 Le meunier d'Angibault, 1845 La Mare au diable, 1848 François le Champi, 1847 La petite Fadette, 1849   le moi en souffrance (expression des sentiments personnels → lyrisme),  l’histoire,  la nostalgie