George W. Bush

(État de New-York )... 1492 : Découverte de l'Amérique par Christophe COLOMB 1619 : Premiers esclaves noirs dans les plantations de Jamestown 1636 : Création du collège Harward, près de Boston 1650 : Légalisation de l'esclavage 1789 : George WASHINGTON désigné premier président des États-Unis 1800 : Washington devient la capitale des États-Unis 1843 : Invention de la machine à écrire 1847 : Invention du jean par Levi STRAUSS 1849 : Ruée vers l'or en Californie 1865 : Abraham

épuisée, "incapable", disait l'amiral William Fallon avant d'être contraint à la démission la semaine passée, de "combattre sur un autre front" qui ne serait pas, cette fois-ci, "choisi" comme en Irak, mais imposé. Par ses mensonges, l'administration Bush a gâché, pour longtemps, l'image et le crédit des Etats-Unis à travers le monde. Le conflit d'Irak a contribué au quadruplement des prix du pétrole en cinq ans. Malgré les milliards de dollars injectés dans l'exploitation, la production irakienne,

between the united states and Mexico is the most crossed in the world. Indeed a metal barrier runs the length of the border. At certain points it is reinforced by a concrete wall with cameras. The border wall was built after the decision that George W. Bush took in October 2006. He signed the Secure Fence Act in order to reinforce the supervision of the border with the Mexico and to fight against the clandestine immigration. We don't know the true budget of this construction, it is around 10 or 20

been shattered because of accidents which are harmless to us French! Michael Moore relates the various historical stages which have led to the establishment of the health system with private insurance as the main actors. Michael Moore blames George W. Bush to have received lot of money thanks to these private insurance companies. Michael Moore compares his situation with that of Canada which has a bad reputation in the United States to pursue a very bad medicine, and patients stay a long time in

with the Elementary and Secondary Education Act as reauthorized by the No Child Left Behind Act of 2001. The lack of ambition of NCLB was astonishing in President Georges W. Bush statement: “If we want to make sure no child is left behind, every child must learn to read. And every child must learn to add and subtract”. Georges W. Bush, President of the United States of America plunged American youth in an age of obscurantism while the economy marketplace raced global. What was the ambition of

les champions des deux principaux partis. La convention nationale du Parti démocrate qui a choisi le "ticket" Kerry-Edwards s'est tenue à Boston (Massachusetts) du 26 au 29 juillet 2004 ; celle du Parti républicain qui a confirmé le "ticket" sortant Bush-Cheney (sans adversaires) a eu lieu du 30 août au 2 septembre 2004 à New York.) La dernière étape de la course à la Maison-Blanche consiste à l'élection du Président et du vice-président pour 4 ans par le collège des grands électeurs au suffrage

Glass-Steagall Act4, puis par la poli- 20 / juin 2010 / n° 402 tique fiscale de George W. Bush, qui, à coup de réductions drastiques d’impôts, allait alourdir les déficits et considérablement creuser la dette jusqu’à dépasser les $ 12 700 milliards à la fin de son mandat. Le taux maximal d’imposition qui était encore de 50 % sous le mandat de Ronald Reagan fut ramené à moins de 35 % par George W. Bush, bien loin des 91 % de l’Amérique d’Eisenhower. Le graphique ci-joint, réalisé par le Congressional

gouvernement de G.W Bush entre 2001 et 2009, en prenant donc comme cas concret l’exemple donc de l’invasion de l’Irak par les États-Unis qui débuta le 20 mars 2003 afin de justifier et d’illustrer mon propos. La problématique que j’ai choisie est donc la suivante : Problématique : Pourquoi l’invasion de l’Irak par les États-Unis et ses alliés en 2003, qui a débouché sur une guerre, est-elle une illustration de la politique étrangère unilatérale menée par le gouvernement G.W Bush, notamment au

risqués à des emprunteurs peu solvables, avec des taux d'intérêts plus élevés. Parmi les responsables politiques ayant favorisé directement les conditions de cette crise par des mesures économiques et sociales, The Guardian cite Bill Clinton, George W. Bush, Gordon Brown, ainsi que, dans le domaine de la finance, les PDG anciens et actuels de la compagnie d'assurance American International Group Inc., des banques Goldman Sachs, Lehman Brothers, Merrill Lynch, Halifax-Bank of Scotland, Royal Bank

Badie : Dès l'effondrement de la bipolarité, le président George H. Bush a tout fait pour s'en dispenser, se hâtant de confirmer l'Alliance atlantique et de l'élargir, comme pour construire un monde unipolaire qui serait ordonné par un vaste système d'alliances partant de Washington. L'idée n'a pas été remise en cause par ses successeurs : le démocrate Clinton choisissant la continuité, tandis que les néoconservateurs autour de George W. Bush ne firent que renforcer le postulat de départ. L'échec des