Georges Clemenceau

bolchévique qui a influencé les esprits français. J. Romain appelle cette révolution « La Grande Lueur née de l’Est ». Le but de Lénine étant de propager la révolution. 2- Le Bloc National * Les élections de 1919 Le gouvernement Clémenceau 1919 a adopté la journée de 8h pour atténuer ces grèves. C’est dans ce contexte qu’interviennent les élections. Le mode de scrutin est débattu : avant 1919 scrutin uninominal à 2 tours-Après scrutin proportionnel avec primauté pour la liste majoritaire

culturels et sociaux. Par sa violence, la 1ère guerre mondiale a entraîné des prises de positions pacifistes et anti- militaristes chez les intellectuels et hommes politiques. Les nymphéas furent une commande du gouvernement français avec à sa tête Georges Clémenceau, pacifiste et ami personnel de l’artiste. L’esprit de cette commande était de créer une œuvre en hommage à la paix.

guerre de la doctrine dominante de l'offensive, il est réintégré en 1914. Chef militaire à l'action importante au cours de la Première Guerre mondiale, Pétain est généralement présenté comme le « vainqueur de la bataille de Verdun » et, avec Georges Clemenceau, comme l'artisan du redressement du moral des troupes après les mutineries de 1917. Il est nommé commandant en chef des forces françaises et le reste jusqu'à la fin de la guerre, bien qu'en 1918, la direction de l'ensemble des armées alliées

produisant un cercle vicieux entretenu par la haine, le non-respect, la peur de l'autre ou de l'avenir, et la difficulté à négocier. Selon l'Unesco, en 2008, vingt-huit millions d'enfants étaient privés d'éducation en raison des conflits armés[3]. Georges Clemenceau, qui n'est pas particulièrement pacifiste (le « père la Victoire » est aussi surnommé « le Tigre »), déclare en 1886 : « la guerre est une affaire trop grave pour la confier à des militaires ».

francique werra, qui en français a supplanté les termes issus du latin bellum (d'où proviennent les termes : belliqueux, belliciste...) et du grec polemos (d'où sont tirés les termes : polémologie, polémique, polémiste…1 Différents auteurs dont Georges Clemenceau et Gaston Bouthoul y ont apportés une définition. Pour ce dernier par exemple : « La guerre est une forme de violence qui a pour caractéristique essentielle d'être méthodique et organisée quant aux groupes qui la font et aux manières dont

inique prétention. É M I L E Z O L A ( 18 4 0 - 19 0 2 ) Lettre à la jeunesse, 14 décembre 1897 Émile Zola s’est adressé plusieurs fois à la jeunesse, notamment dans cette lettre ouverte parue en brochure pendant l’affaire Dreyfus. Georges Clemenceau (1841-1929), intervention à la Chambre des députés, 31 juillet 1885 178 Ô jeunesse, jeunesse ! Je t’en supplie, songe à la grande besogne qui t’attend. Tu es l’ouvrière future, tu vas jeter les assises de ce siècle prochain, qui, nous

éditions des Croix régionales, vendues le dimanche. Cependant, depuis l’intervention du pape Léon XIII, La Croix tend à soutenir les catholiques ralliés et met de l’eau dans son vin. Du côté de la presse de gauche, La Justice est créée en 1894 par Clémenceau (voir annexes), et l’Aurore est lancée en octobre 1897 par Ernest Vaughan. De plus, le lancement de L’Humanité, sur la volonté de Jean Jaurès (voir annexes) en avril 1904, reste l’un des grands évènements majeurs du monde de la presse de la Belle

jugement était fondé sur des documents falsifié et l'on eut de sérieuses raisons de penser qu'un officier criblé de dettes, le commandant Esterhazy, était le vrai coupable. Celui-ci, après un simulacre de procès, fut néanmoins acquitté. C'est alors que Clémenceau publia dans son journal, l'Aurore, un article d'Emile Zola intitulé "J'accuse", qui faisait peser contre l'état-major de très lourdes charges ce qui valu a Zola un proces mais son courage fut reconnu par l’écrivain Jules Renard qui écrit au soir

toute sa haine de la France et son mépris de l'Armée française. La presse militariste vole au secours du traître au travers d'une campagne antisémite sans précédent. La presse dreyfusarde réplique, forte des nouveaux éléments en sa possession. Georges Clemenceau, dans le journal L’Aurore, se demande : « Qui protège le commandant Esterházy ? La loi s'arrête, impuissante devant cet aspirant prussien déguisé en officier français. Pourquoi ? Qui donc tremble devant Esterházy ? Quel pouvoir occulte, quelles

aujourd'hui fraternellement assemblés dans une même indignation contre l'agresseur et dans une même foi patriotique. Haut les coeurs et vive la France! Source : Raymond Poincaré, Comment fut déclarée la guerre de 1914, Paris, Flammarion, 1939. GEORGES CLEMENCEAU : DISCOURS A LA CHAMBRE DES DÉPUTÉS (8 mars 1918)  (…) Eh bien, Messieurs ! Voilà quatre mois que nous sommes au pouvoir. (...) Toute ma politique ne vise qu'un seul but : le maintien du moral français à travers une crise comme notre pays n'en