Georges et le Dragon

DELL’ARTE Storia di San Jordi e il Drago 1 Distribution  Agathe : Violette Claudia: La Nonna Caroline: La Madre Caroline Helena : Le chat Giulia : La sorcière Vlad: Vlad Gérard : Dragon, Paquito (operatore ecologico), una mujer Ivan : Moschino Massimiliano : Bruto Jordi : Saint Georges 1 PREMIER ACTE Atterrissage de la navette spatial (pantomime de Moschino qui tombe sur le plateau) 2 La sorcière sort la tête de la trappe Strega: Ma dove siamo arrivati? Moschino:

edie/paolo-uccello/ CV: Curriculum Vitae (suite) Mes œuvres sont nombreuses, mais en voici les principales: Saint Georges et le dragon, vers 1455-1460, détrempe sur toile, 56,5 x 74 cm, Paolo Uccello, (Londres, National Gallery) Un des panneaux de la Bataille de San Romano, vers 1456, de Paolo Uccello. Peinture sur bois. (Musée du Louvre, Paris) Saint Georges terrassant le dragon, 1439-1440 (Paris, Musée JacquemartAndré). Paolo Uccello, Chasse nocturne, Oxford Ashmolean Museum

GRANDE-BRETAGNE. A#__ LA CROiX DE SAiNT GEORGES. Le drapeau d’Angleterre représente la croix de Saint Georges. Elle est rouge sur fond blanc et trouve son origine dans les croisades. Ce sera Richard Cœur-de-Lion, en tant que Prince des croisés et Roi d’Angleterre, qui, lors de la IIè croisade, va familiariser l’utilisation de cette croix par l’Angleterre et l’associée aux Anglais. Elle fut adoptée par les Anglais au XIIIè siècle sous le règne d’Edward III. Saint Georges devient ainsi le patron de l’Angleterre

Titre : Saint Georges et le dragon Date :1503-1505 Artiste : Raphael Dimensions : 31cm x 27cm Technique : Peinture à l'huile, sur bois Lieu de conservation : Musée du Louvre, France b) Commentaire iconographique Sujet :Saint Georges avec l'aide de Jésus et de Dieu, délivre la fille du roi, d'un dragon qui terrorise la région de Beyrouth et qui réclame quotidiennement deux jeunes gens pour se nourrir. Saint Georges casse sa lance dans le combat mais arrive à vaincre le dragon d'un coup

Saint Georges et le Dragon 1430-35, Peinture sur panneau de bois, 131 x 103 cm Musée italien – Salle florentine La légende dorée de Jacques de Voragine évoque l’histoire héroïque du chevalier Georges qui délivre une ville assiégée par un dragon. Cette peinture sur bois du peintre florentin Paolo Uccello représente donc saint Georges transperçant de sa lance le dragon qui s’apprêtait à dévorer la fille du roi. L’histoire raconte que le monstre se tenait à l’écart de la ville à condition d’être

Saint Georges, Donatello (1386-1466), 1415-1417 Marbre, 209m de hauteur, Florence, Museo Nazionale del Bargello Avant-propos : En 1336, on érige un nouvel édifice, l’Orsanmichele, dès 1339 on prévoit de placer dans les niches des sculptures et on décide pour ces sculptures de faire appel à des corporations. Celles-ci ne vont pas être très réactives. En 1406 un édit relance le projet, sept seront dédiées aux arts majeurs de la ville et cinq aux arts mineurs. Dix sculptures vont être réalisées

céramique de multiples couleurs qui changent selon la luminosité. Le toit représenteraient le dos d’un dragon, en effet les tuiles ressemblent beaucoup à des écailles. Le toit forme une sorte de crête avec des pics en forme de boules de différentes couleurs en haut de cette dernière. Le toit est relié à la maison par des sortes de crochets qui ressemblent à des griffent, comme celle d’un dragon. On observe sur le toit plusieurs nuances de couleurs comme du bleu, du rose …Il y a quatre ensemble de

La légende des hommes Une vieille légende raconte qu'au temps où les hommes portaient encore la vertu dans leur coeur, humain et magie se confondaient, créant ainsi un monde fantastique. Sorcières, dragons, hommes, fantômes, lutins, sirènes et autres créatures, vivaient en paix. Mais l'Univers n'avait pas créé ce monde pour être bon uniquement, faute de quoi, l'Harmonie maîtresse du monde se briserait. Alors le coeur des hommes, les plus faibles de créatures, fut rempli de sentiments jusqu'alors

Grande-Bretagne, troisième quart du XIIIe siècle Paris, BNF. Document 3 Paolo Ucello, Saint Georges terrassant le dragon, 1439-1440 (Paris, Musée Jacquemart-André). Document 4 Alors une bataille s'engagea dans le ciel : Michel et ses Anges combattirent le Dragon. Et le Dragon riposta, appuyé par ses Anges, mais ils eurent le dessous et furent chassés du ciel. On le jeta donc, l'énorme Dragon, l'antique Serpent, le Diable ou le Satan, comme on l'appelle, le séducteur du monde entier, on le

oralement par Napoléon 1er en Septembre 1804. David commence sa réalisation le 21 décembre 1805 dans l'ancienne chapelle du collège de Cluny, près de la Sorbonne qui lui sert d'atelier. Il met touche finale en novembre 1807 à l'aide de son élève Georges Rouget. L'œuvre est exposé du 7 février au 21 mars 1808 au Salon de peinture annuel en 1810 elle est présentée au concours des prix décennaux. Jusqu'en 1819, le tableau reste sous la propriété de David. Jusqu'à qu'il est cédé au musée royaux. Ceux-ci