Gérard Filoche

étaient grossièrement dessinés, les détails ne s'attachant qu'à ce qui avait de l'importance pour la navigation. Atlas : recueil de carte géographique et historique Mercator : Gerard Kremer, connu dans la République des lettres sous son nom latinisé de Gerardus Mercator, et dans les livres français sous celui de Gérard Mercator, né le 5 mars 1512 à Rupelmonde et mort le 2 décembre 1594 à Duisbourg, est un mathématicien et géographe flamand, inventeur de la projection qui porte son nom. III

s’installe a Paris lorsqu’il a 3 ans, il s’habitue mal au changement. Il est « surdoué «  et sait lire dès 5 ans. Jeunesse : Il fait un bref passage au Lycée Louis le Grand, puis passe au collège Charlemagne ou il fait la connaissance du futur poète Gérard de Nerval. Il se destine à la peinture, En terminale fréquente les ateliers des peintres, mais la lecture des premiers écrivains romantiques (Victor Hugo) le font changer d’objectif et il décide de s’orienter vers la littérature L’âge Adulte : Sa

cette dernière remarquera l'amour de Cyrano pour elle ? Le suspens reste intacte jusque dans le cinquième et dernier acte . Cependant après la lecture du livre il me sembler intéressant de regarder le film de Jean-Paul Rappeneau, mettant en scène Gérard Depardieu dans le rôle de Cyrano. Et à ma grande surprise le film et exactement fidèle au Livre de Rostand et redonne au personnage de Cyrano tout son panache.

la lecture du roman Le Survenant, un roman qui marque la fin d’une epoque. Presentement on traite d’analyser Le Libraire, un roman qui inaugure une nouvelle ere, comme c’est specifie a pluisieurs reprises: libre-ere, libre-aire, libre-air, etc. GErard Bessette publie en 1960 ce roman québécois dont Jodoin, le personnage principal, a fait ses comptes avec ses semblables et la société. Il s'est retiré en lui-même à l'abri des obligations et des contacts humains. Mais il est aux prises avec deux malédictions

ce poème, a cause de se sentiment nouveau. Poèmes du XIXème siècle: Le romantisme est le mouvement littéraire dominant dans cette première partie de siècle. Il est représenté principalement par la poésie avec Victor Hugo, Aloysius Bertrand, Gérard de Nerval et Charles Nodier. C'est le renouveau du « moi » par les poètes. Ils parlent de leurs expériences et les transmettent à leurs lecteurs. A Jeanne Ces lieux sont purs ; tu les complètes. Ce bois, loin des sentiers battus, Semble avoir

du musicien. Film : le prologue évoque la mort de Monsieur de SC , comme si Corneau le cinéaste dialoguait avec le romancier Quignard ; inscrivait son prologue dans la continuité du roman et validait le personnage de Marin Marais adulte et âgé / Gérard Depardieu (narrateur en voix off) comme le successeur de SC dont il conte l’histoire : le prologue s’achève sur l’évocation de la mort de SC: « J’avais un maître , les ombres l’ont pris. » ; l’âge de Marin , vieillard déjà , « maître » de viole reconnu

sur l'opposition du beau et du laid, du sublime et du grotesque. Il préconise la liberté et le naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. A sa tête, il y a Victor Hugo, puis viennent Théophile Gautier, Gérard de Nerval, Alexandre Dumas, Alfred de Vigny, Alphonse de Lamartine et Jacques Michelet. Le romantisme est né en Angleterre et en Allemagne autour de 1795, mais déjà une sensibilité nouvelle s'exprimait avec des œuvres comme les Nuits (1742) de Young

(1790) * Deux versions par Friedrich Maximilian Klinger (1791 puis 1797) * Faust, eine Tragödie in einem Akt, ein Versuch par Adalbert von Chamisso. * Les Faust de Johann Wolfgang von Goethe (1749 - 1832) * o Faust I - Gérard de Nerval (1828) o Faust I et II - en vers, de Henri Lichtenberger o Faust I et II - en vers, de P. Bregeault de Chastenay (1949) o Faust I et II - en vers, de Jean Malaplate (1984) o Faust I - en vers,

manière, le fonctionnement réel de la pensée. Dictée de la pensée, en l’absence de tout contrôle exercé par la raison, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale. Dans la Seconde moitié du XIXème siècle, le « supernaturalisme » de Gérard de Nerval, le « surnaturalisme » d’Emmanuel Swedenborg et de Charles Baudelaire et aussi le symbolisme de Stéphane Mallarmé et, pour finir surtout, le romantisme allemand de Jean-Paul (dont les rêves annoncent l’écriture automatique) et d’Hoffmann

impressionnent le jeune Éluard qui prend avec elle son premier élan de poésie amoureuse, un élan qui se prolongera dans tous ses écrits. Elle dessine son profil, et il ajoute à la main : « Je suis votre disciple ». Ils lisent ensemble les poèmes de Gérard de Nerval, Charles Baudelaire, Lautréamont et Guillaume Apollinaire. Le 11 mai 1918, il écrit à l'un de ses amis : « J'ai assisté à l'arrivée au monde, très simplement, d'une belle petite fille, Cécile, ma fille ». Maison de Paul Éluard à Eaubonne