Theophile gautier
Né le : 30 aout 1811 et mort le : 23 octobre 1872
Nationalité : Française
Siècle : XIXème
Courant littéraire : Le Parnasse : courant romantique tournée vers l’antiquité (Rome et Grèce), et l’Orient
1) Les événements de sa vie
Enfance : Né à Tarbes, sa famille s’installe a Paris lorsqu’il a 3 ans, il s’habitue mal au changement. Il est « surdoué « et sait lire dès 5 ans.
Jeunesse : Il fait un bref passage au Lycée Louis le Grand, puis passe au collège Charlemagne ou il fait la connaissance du futur poète Gérard de Nerval. Il se destine à la peinture, En terminale fréquente les ateliers des peintres, mais la lecture des premiers écrivains romantiques (Victor Hugo) le font changer d’objectif et il décide de s’orienter vers la littérature
L’âge Adulte : Sa passion : l’écriture, il deviendra tout d’abord Chroniqueur dans le journal La Chronique de Paris ou il publie La Morte amoureuse et La Chaîne d’or, il devient également critique d’art et critique littéraire. Il travaille pour le journal : La France littéraire, et pour le quotidien La Presse. Dans ce journal, Théophile Gautier se charge d'abord de la rubrique critique d’art On évalue à plus de deux mille le nombre des feuilletons et articles qu'il aurait rédigés pour ce journal.
Cette tâche de chroniqueur l'occupe toute sa vie. « J'ai travaillé à La Presse, au Figaro, à La Caricature, au Musée des Familles, à la Revue de Paris, à la Revue des Deux Mondes, partout où l'on écrivait alors. » Souvent pesante, cette besogne quotidienne ne l'empêche pas de faire du sport (de la boxe et du canotage et de continuer à créer des œuvres poétiques et dramatiques.
Il se passionne aussi pour les voyages : l’Italie, l’Espagne, L’Algérie, la Grèce, la Turquie, l’Egypte puis la Russie. Ces voyages influenceront ses récits, romans et poésies.
En 1862, il est nommé président de la société nationale des beaux arts
La chute de l'Empire marqua la ruine de ses espérances et l'obligea, avec