Gérard Oury

accompagné de Louis De Funès. Dans ce film, on peut voir que Bourvil est fidèle à lui-même car on le voit comme une personne naïve mais sympathique, il se fait passer pour un imbécile heureux pour le plus grand plaisir des spectateurs. Dans ce film de Gérard Oury, Bourvil a été préféré à son idole Fernandel. L’histoire du film est qu’Antoine Maréchal, représentant de commerce, est utilisé à son insu par le trafiquant Léopold Saroyan pour convoyer, de Naples à Paris, de l'or, des pierres précieuses et de

observé comment le succès d'une comédie est d'autant plus marqué que le public est nombreux. Le rire est en effet contagieux, il crée une communion, une complicité précieuse dans la dynamique de groupe tout comme dans le film « Le corniaud » de Gérard Oury 1965 dans lequel un personnage naïf est clairement abusé par un homme d’affaire. Henri Bergson pour qui le rire est toujours un rire de groupe, cache derrière une pensée d’entente, de complicité afin de rassembler plusieurs rieurs. Le rire peut

toute sa gratitudes lorsqu’il se trouve a ses côté. De plus, tout comme Sganarelle, le personnage de Jacquouille est attirer par l’argents. On peut citer aussi le couple de Louis de Funes et Yves Montand dans le film « La folie des grandeurs » de Gérard Oury ou l’on retrouve la relation maitres-valet mais cette fois c’est le maitre qui est hypocrite avec son valet. Il se sert de lui a ses dépends mais malgré cette hypocrisie, il en résulte une certaine amitié. Ce film parodie aussi Ruy Blas de Victor

caractéristiques du rire Le rire est un sentiment réflexe propre de l’homme. Premièrement, le rire se manifeste grâce à nos muscles faciaux comme nous le cite Jim Holt et comme nous pouvons le constater dans l’affiche du film « Le Corniaud » de Gérard Oury, les acteurs Louis de Funès et Bourvil ont tous les traits de leur visage en mouvements, tirés et une bouche très ouverte. En voyant cette photographie nous comprenons tout de suite le message qu’ils souhaitent nous faire passer : un fou rire.

Long-métrage français Durée : 120 min Sortie en France : 1966 Réalisateur : Gérard Oury Genre : Comédie Un grand classique du cinéma français La Grande Vadrouille fait partie des grands classiques du cinéma français. C’est LE classique par excellence du genre comique à la française. Pendant près de trente ans, ce film a détenu le record des entrées en France avec 17 millions de spectateurs. Son immense succès repose à la fois sur le jeu de deux acteurs fétiches, Louis de Funès et Bourvil

Gentilhomme écrite par Molière en 1670. Le document 3 est un essai philosophique tiré du livre Propos rédigé par le philosophe Alain en 1910. Le quatrième document est l'affiche du film Le Corniaud qui est un film français et qui a été réalisé par Gérard OURY en 1965. Le dernier texte est un essai historique écrit par Georges MINOIS en 2000 et s'intitule Histoire du rire et de la dérision. Ces cinq documents traitent tous du même sujet : le rire. Le rire est quelque chose de spontané qui se traduit par

confirme : plus le nombre de personnes joyeuses augmente, plus la joie de chacun devient intense ; or plus les individus d’un groupe rient ensemble, plus les liens se créent et se resserrent. Le rire communicatif tel qu’on le trouve dans Le Corniaud de Gérard Oury en 1965 invite également à la complicité, en effet nous pouvons voir que De funès alias Saroyan utilise Bourvil alias le Maréchal pour exporter sa drogue et son diamant (Le yukunkun) alors qu’il ne se doute pas qu’il va lui arrivé une tonnes de

dépendant de la volonté de l’homme, bien que le rire soit bénéfique dans les relations interpersonnelles car susceptible de créer de la complicité et du lien social. Et c’est en cela que l’affiche du film Le Corniaud, film parut en 1965 et réalisé par Gérard Oury, est significative. Elle complète bien l’idée selon laquelle le rire est communicatif et synonyme de lien social. Même si pour ce film, l’un des acteurs rit pour se moquer de l’autre, un personnage naïf dont il profite pour mener son objectif à

Couteau Générique : Eurocitel Date de sortie : 9 décembre 1981 Pays d'origine : France Format : Cinémascope, 35 mm, 2,35:1 (couleurs, son Dolby numérique) Genre : comédie Durée : 1 heure 30 minutes Tout public Distribution [modifier] Gérard Depardieu : M. Campana Pierre Richard : François Perrin Michel Robin : Alexandre Bens André Valardy : M. Meyer Corynne Charbit : Marie Bens Pedro Armendáriz Jr. : Chef de police Robert Dalban : Le technicien Michel Fortin : Le type à

long-métrage en tant que réalisateur, Le Jouet. Veber et Richard entament alors, au début des années 1980, une collaboration fructueuse qui verra naître La Chèvre, Les Compères et Les Fugitifs, trois comédies à succès où Richard partage l'affiche avec Gérard Depardieu. Il revient à la réalisation avec On peut toujours rêver en 1991 et Droit dans le mur en 1997. Pierre Richard obtient ses plus grands succès dans des rôles de personnages maladroits, souvent lunaires. Lui-même voit une constante dans