Gerhard Schröder

février 1992), encore que cette Union soit et demeure imparfaite. Teintée de pragmatisme économique, la rhétorique de la réconciliation franco-allemande, de Robert Schuman à la commémoration du soixantenaire du débarquement (Jacques Chirac et Gerhard Schröder, 6 juin 20041), rappelle le romantisme comme élan commun. Le romantisme imprègne la conscience européenne. Néanmoins, il reste au second plan et ne saurait disputer à l'intégration marchande et économique sa place de moteur européen. C – Les

médiation, de la notion de projets, de contrats etc. on ne joue plus sur la réparation mais sur l'implication au niveau local. Fausse ro ute ? L'Etat social actif s'inscrit dans la troisième voie" chère à Tony Blair et Gerhard Schröder. Il apparait comme une solution provisoire puisant ses sources dans le libéralisme et le socialisme. Il peine à s'imposer et suscite de nombreuses contradictions. Il donne l'impression d'être une roue de secours. Mais les donnes de l'expérience

les Länder, majoritairement gouvernés par le SPD et les Verts ont refusé, avec leur majorité au Bundesrat, l’accord à plusieurs lois décisives pour la réforme du système social et à la réforme fiscale proposées par le gouvernement. Le gouvernement Schröder se retrouve actuellement dans la même configuration où son action gouvernementale dépend fortement de la volonté de l’opposition chrétienne-démocrate et libérale de coopérer avec le gouvernement au Bundesrat. Refédéralisation ou « fédéralisme concurrentiel

2004 Les travaux de transformation du stade olympique s’achèvent le 30 juin. Ils ont duré près de quatre ans. 2005 La République fédérale d’Allemagne inaugure le 10 mai à Berlin son mémorial central de l’holocauste en présence du chancelier Gerhard Schröder et du président de la République Horst Köhler. Le mémorial est ouvert aux visiteurs deux jours plus tard. La fondation du mémorial indique que pendant le premier mois suivant l’ouverture, plus de 60 000 personnes ont visité ce mémorial composé

est l’abbé Stock. Edmond Michelet va le voir trois fois. Plus tard, il œuvre à la réconciliation via l’I.C.L. et le Centre Européen de Documentation et d’Information (C.E.D.I.) animé par Otto de Habsbourg. Il tisse des liens personnels avec Gerhard Schröder, ministre de l’intérieur puis des affaires étrangères et membre de la C.D.U. (à ne pas confondre avec le chancelier S.P.D.), Gustav-Adolf Gedat membre de la C.D.U. et vice-président de l’I.C.C.L., Hans-Joachim von Merkatz, monarchiste passé à

France en tête des puissances récalcitrantes dans le bloc allié. Sa visite en Israël et dans les territoires palestiniens est également remarquée, car il y attaque nettement la politique menée par Israël. Il se rapproche des alliés allemand (Gerhard Schröder) mais aussi russe (Vladimir Poutine). Même s’il bénéficie d’une certaine aura dans l’opinion, le mandat est pourtant difficile pour le président. Les affaires judiciaires le concernant directement ternissent son image. La situation économique

attentats, le lendemain des attaques la télévision d'État irakienne déclara : « Les cow-boys américains récoltent les fruits de leurs crimes contre l'humanité... », puis qualifia les attaques d'« opération du siècle ». Le chancelier allemand Gerhard Schröder déclara après les attentats : « Ce n'est pas là une bataille entre les civilisations, c'est une bataille pour la civilisation. » De nombreux pays renforcèrent leurs mesures de sécurité, comme par exemple la France qui augmenta le niveau d'alerte

une certaine respectabilité. Pourtant, le parti n’a pas survécu à la fin de la RDA. Son héritage est repris par un nouveau parti socialiste, le PDS (Partei des Demokratischen Sozialismus). Le SPD revient au pouvoir en 1998, avec le chancelier Gerhard Schröder. Il choisit de s’allier avec le parti écologiste. La politique qu’il mène reste attachée au libéralisme économique et mécontente une partie de la gauche : une gauche qui ne se reconnaît plus dans la social-démocratie s’affirme alors. Le PDS élargit

d’austérité (cf les critères de convergence sur le plan européen), et une parole qui reste très à gauche ; en tous cas parmi les plus progressistes d’Europe. A l’inverse, sous l’impulsion de Frank Vandenbrouck, le SPa prend le sillage de Tony Blair et Gerhard Schröder, dans une “3e voie” qui met en avant les logiques d’activation et de responsabilité individuelle en matière de politiques sociales. Mais le parti reste très pacifiste (contestation de la participation en Afghanistan) ou encore très en pointe

Allemagne 90 75 70 72 74 76 78 80 82 84 86 88 90 92 94 96 98 00 02 04 Source : OCDE. 19 Revue de l’OFCE 98 Jérôme Creel et Jacques Le Cacheux L’Agenda 2010 * Entre le 14 mars 2003, date à laquelle le chancelier allemand Gerhard Schröder annonce un programme de réforme du système allemand de protection sociale et le 19 décembre de la même année, où la quasiintégralité du programme dit Agenda 2010 fut voté par le Parlement, l’Allemagne va vivre un véritable tournant dans son histoire