Gerhard Schröder

ravitailleurs et une capacité de transport stratégique renforcée, de même qu'avec des moyens de renseignement spatial. [pic]Les projets fédéralistes européens de Joschka Fischer, ministre des Affaires étrangères écologiste dans le gouvernement de Gerhard Schröder, projets qui ont été défendus au sommet de Nice en décembre 2000, montrent une Allemagne consciente de sa puissance et du rôle que sa pratique historique du fédéralisme peut lui faciliter dans l'Europe de demain. *En décembre 1971, le prix

réunification de l'Allemagne. A) La surprise de la chute du mur de Berlin En 1989, malgré les difficultés auxquelles est confrontée la RDA, la perspective d'une réunification des deux Allemagne paraît encore lointaine. En effet, en juin 1989, Gerhard Schröder, futur chancelier, déclare que les chances d'une réunification sont inexistantes. De même, le dirigeant de la RDA, Erich Honecker, promet que le Mur de Berlin durera encore cent ans. C'est donc par surprise que tous les Allemands et les autres

administrée. Il y a des institutions et des partis, mais leur fonctionnement n’est pas démocratique ». Caricature néerlandaise représentant Vladimir Poutine muselant les médias, en 2008. Le pessimisme n'est pas partagé par l'ex-chancelier allemand Gerhard Schröder, actuellement président du Conseil de surveillance du consortium gazier germano-russe North-European Gas Pipeline Co (détenu à 51 % par Gazprom), qui a mis en garde, lors d'une rencontre russo-allemande à Berlin le 18 janvier 2007, contre « les

(atteint 12,6% en janvier 1998). Défaite de la coalition sortante aux élections législatives de septembre 1998 et retour au pouvoir des sociaux-démocrates, allies cette fois aux écologistes. B) L'Allemagne de Gerhard Schröder (1998-2005) 1) L'action de Schröder a) gouvernement Schröder satisfaite deux de leurs principales revendications : modification du code la nationalité avec adoption du droit du sol ; abandon a terme de la production d'électricité d'origine nucléaire b) Mène une politique

imposer ses règles aux autres. » Le projet a toutefois une connotation politique particulière. En effet, en décembre 2005, l’ancien Chancelier Gerhard Schröder accepte de prendre la présidence du conseil de surveillance du consortium qui doit construire le futur gazoduc nord-Européen. Cette décision a soulevé un tollé dans la presse allemande : Gerhard Schröder n’aurait pas du accepter de travailler directement pour Gazprom seulement trois mois après avoir quitté le pouvoir, alors qu’il avait signé

mai 2011, a été approuvé un mois plus tard à une large majorité de 513 voix contre 79 par le Bundestag, fédérant alors les membres de la coalition au pouvoir et les membres de l’opposition. Il reprend l’idée initiée en 2000 par le Chancelier Gerhard Schröder, qui avait alors fait voter une loi visant l’abandon de l’atome. Alors que certains, parmi lesquels Anne Lauvergeon, alors PDG d’Areva, ont décrié cette mesure qu’ils percevaient comme purement électoraliste et destinée à endiguer la montée des

Les chefs des États membres doivent s’accorder unanimement sur l’adhésion de la Turquie pour qu’elle puisse se réaliser. Ainsi, l'Allemagne a été un des principaux pays à défendre la candidature de la Turquie sous la direction du chancelier Gerhard Schroder. De plus, ce pays a une longue histoire de relations diplomatiques avec la Turquie. Cependant, la prise du pouvoir au cours de l'automne 2005 par les Chrétiens démocrates, menés par Angela Merkel, pourrait modifier la position du pays. Mme

Kinkel, ministres des Affaires étrangères français et allemand, à Sarajevo. Ils se rendent également les 18 et 19 mars 1998 à Zagreb et Belgrade. 1998 : Victoire de la coalition rouge-vert (SPD, les Verts) lors des élections législatives. Gerhard Schröder devient chancelier fédéral. 1999 : À l'occasion du dixième anniversaire de la chute du Mur de Berlin, de nombreuses polémiques gâchent des festivités au demeurant boudées par les Allemands de l'Est. Ces derniers se reconnaissent plus dans

le même temps pour une liste et un candidat) n’empêche pas que ce soit là encore le leader du parti dominant de la coalition minoritaire qui soit le chef de l’opposition, comme ce fut le cas lors des législatives de 1998 avec la candidature de Gerhard Schröder au poste de chancelier. 13 Ces logiques collusives liées au mode de scrutin restent toutefois parasitées dans certains cas par des variables personnelles (ou tout du moins présentées comme telles) et/ou par l’image parfois négative qui est attachée

allemand. Une publication du Trésor, Trésor-Eco n°79, d'octobre 2010, donne une autre explication à la baisse du chômage en Allemagne : elle met en avant l'effet des réformes Hartz mises en place entre 2003 et 2005 sous le mandat du chancelier Gerhard Schröder. Cette réforme renforce la lutte contre le chômage volontaire, supprime les trappes à inactivité qui poussent les membres de la population active à vivre des allocations chômage plutôt que d'accepter un emploi dont ils jugent le salaire trop