Germaine de Staël

matières AVANT-PROPOS ..................................................................... 4 I LA PECHE MIRACULEUSE.................................................. 8 II SAINT-LOUIS-EN-L'ILE ....................................................21 III GERMAIN PATOU............................................................ 38 IV LE COEUR D'OR ................................................................ 51 V LA BORNE .......................................................................... 68 VI LA

siècles, la femme savante n'est-elle pas l'épouvantail qui détruit le bonheur des familles bourgeoises ? Balzac n'est pas le moins systématique dans cette position seule susceptible de garantir au mari qu'il ne sera pas déshonoré. Il faut être Germaine de Staël ou Stendhal (dans De l'amour ) pour être en mesure d'analyser qu'une femme d'exception par son instruction peut n'être pas à l'aise dans la société, faute de modèle d'identification et de femmes semblables dans son entourage : son comportement

dans les années 1820 en France comme un mouvement libéral et littéraire, de jeunes écrivains sont désireux de transposer les acquis politiques et sociaux de la Révolution dans le domaine des Lettres. Ces écrivains réclament, comme le définit Germaine de Staël, "une littérature plus vaste, plus libre, plus sentimentale, plus énergique" qui soit "l’expression de la société". Elle ajoute que cette littérature doit se libérer du clacissisme et de ses contraintes dont "l’effet est d’étouffer les nobles

de la paix en 1952 Louisa Siefert (1845-1877) – Écrivain Jules Siegfried (1837-1922) - négociant et homme politique, fondateur des Écoles de Commerce de Mulhouse, Lyon, Rouen, Le Havre, père de la Loi sur l'Habitat à Loyer Modéré (HLM) Germaine de Staël (1766-1817) – Écrivain Maximilien de Béthune, duc de Sully (1559-1641) - pair de France, prince souverain d'Henrichemont et de Boisbelle, ministre des finances du roi Henri IV Henri de la Tour d'Auvergne-Bouillon, vicomte de Turenne (1611-1675)

permanente de la société. Un autre plus classique a conduit à s'interroger sur la première révolution, la révolutions de 1793 ou les résultats de la Terreur et le consulat puis la Restauration. Les écrits ou débats de la période qui suit la Terreur (Germaine de Staël, Tocqueville et Benjamin Constant) font apparaitre l'hétérogénéité de « l'esprit de 1789 » avec « l'esprit de 1793 » mais aussi une défense de la liberté politique qui repose sur la condition égalitaire de tous les citoyens au pouvoir politique

révolution. Après la terreur, il va a Paris et obtient la nationalité française et est nommé membre du tribunat par Napoléon Bonaparte. A Paris, il va animer avec Germaine de Staël des cercles de pensées libéraux au point de devenir un véritable foyer d'opposition libérale à Bonaparte. Napoléon le démet de ses fonction et exile Germaine. Il la suit en Suisse et il devient alors un opposant déclaré au 1er consul et à l'empereur. Pendant cet exil, il rédige ses principes politiques applicables à tous

convaincu. Rochambeau met en œuvre une politique de massacres et de terreur qui n'obéit pas aux mêmes règles que celles des guerres européennes, comme la noyade de 1800 noirs dans la ville du Cap quand celle-ci est assiégée par Dessalines, selon Mme de Staël. (NB que dire de la répression vendéenne, les massacres de la Terreur pendant la Révolution). Tortures, exécutions de prisonniers, chiens dressés pour la chasse aux nègres : ces méthodes suscitent l'indignation en France dans les milieux libéraux (Sophie

orleansMBA_visites_3.doc 1 MUSÉE DES BEAUX-ARTS D’ORLÉANS SERVICE CULTUREL ET PÉDAGOGIQUE Niveaux conseillés : cycles 2 et 3 de l’école primaire, collèges et lycées La nature morte du XVIe siècle au XX e siècle Le terme de "nature morte" est donné aux tableaux qui représentent des objets et des choses inanimées telles les fleurs, fruits, légumes, gibiers ou poissons. Jusqu’au 17e siècle, on parle de "nature reposée", de "choses mortes et sans mouvement", de "vie immobile"

remarquable peintre de l’hiver parisien, de ses couleurs, de ses éclairages. Au début de ‘’La prisonnière’’’, furent évoqués les « bruits de la rue » (III, page 9). L’attention se porta surtout sur le faubourg Saint-Germain, quartier du VIIe arrondissement, situé entre Saint-Germain-des-Prés et les Invalides, la Seine et Montparnasse, qui fut très à la mode au XVIIIe siècle, alors que des aristocrates et de riches banquiers y firent ériger de belles demeures dont l’agrégation fut bien montrée par

période des salons, notamment celui de Madeleine de Scudéry qui prendra la relève à Paris. Des salons beaucoup moins aristocratiques mais plus bourgeoisie financière. Par exemple : Mme de Sablé + Mlle de Montpensier (la grande mademoiselle : cousine germaine du roi), elles côtoient les salons les plus aristocratiques quant à Mme de Scarron et Mme de Maintenon, elles occuperont les salons bourgeois. Les salons représentent en fait plus un phénomène social avant le phénomène littéraire. C'est en quelque