Germano-Baltes

des nations  Multiplication des « fronts populaires nationaux » affirmant leur droit à l'autodétermination  Les états baltes sont en pointe pour la revendication d'indépendance  Violents affrontements en Géorgie ainsi qu'entre arméniens et azéris 2. 1990 : démantèlement de l'Union  Mars 90 : proclamation de la souveraineté de la Lituanie  Les autres états baltes suivent, puis toutes les autres républiques  La Russie elle-même proclame sa souveraineté en juin 90 et Boris Eltsine, Président

E. Le Royaume-Uni traditionnellement hostile à une défense commune européenne qui affaiblirait le lien transatlantique, s’est finalement rallié à cet objectif lors du Sommet franco-britannique de Saint – Malo (décembre 1998). Un accord franco-germano-britannique sur plusieurs aspects de la défense européenne a été scellé à Berlin (20 septembre 2003). Il prévoit notamment la création d’une capacité de planification européenne en matière de défense (autrement dit un « quartier général européen »)

Karatchaïs (75 737), Balkars (42 666), Kalmouks (134 271), Allemands de la Volga (380 000), Tatars de Crimée (200 000) -Les déportations partielles concernent les opposants à la soviétisation et à la collectivisation ; importantes dans les Etats Baltes -Toute culture nationale non russe devient interdite ; les mouvements de résistance comme celui de Kirghiz sont brisés par le parti -A partir de 1946 commence la mise au pas des intellectuels accusés d’être contaminés par les idées de l’Occident

(Junker 87 « Stuka ») qui attaquent en piqué. La guerre éclair désorganise l’armée adverse. Le déclenchement de la guerre Le 23 août 1939, Molotov et Ribbentrop ont signé le pacte germano-soviétique dont les clauses secrètes prévoient l’invasion et le partage de la Pologne, mais aussi la répartition des pays baltes. Le 1er septembre, la Wehrmacht passe la frontière polonaise en quatre points et encercle l’armée polonaise qui n’a à opposer aux 70 divisions allemandes (dont 7 divisions blindées)

bombardiers (Junker 87 « Stuka ») qui attaquent en piqué. La guerre éclair désorganise l’armée adverse. Le déclenchement de la guerre Le 23 août 1939, Molotov et Ribbentrop ont signé le pacte germano-soviétique dont les clauses secrètes prévoient l’invasion et le partage de la Pologne, mais aussi la répartition des pays baltes. Le 1er septembre, la Wehrmacht passe la frontière polonaise en quatre points et encercle l’armée polonaise qui n’a à opposer aux 70 divisions allemandes (dont 7 divisions blindées)

et Verdun (1916) et du Chemin des Dames (1917). 3. Entre 1914 et 1917, le front russe est percé par les armées allemandes avant de se stabiliser à l’intérieur de la Russie. 4. L’entrée en guerre des États-Unis en avril 1917, puis l’armistice germano-russe en décembre 1917 changent les rapports de force alors en place. 5. Au printemps 1918, les armées allemandes prennent l’offensive et gagnent une cinquantaine de kilomètres d’épaisseur entre la Manche et Châlons. Mais l’aide américaine pousse

l’URSS, ces gens-là ne me soutiendront pas ; mieux vaut faire alliance avec les fascistes. Le secrétaire général du Parti communiste russe reçut le ministre des Affaires étrangères du Reich, Ribbentrop, à Moscou. Ce fut le coup de théâtre du « pacte germano-soviétique », le 29 août 1939. Des milliers de militants communistes français quittèrent, dégoûtés, le Parti, mais le Führer avait le champ libre : depuis le Rhin jusqu’au Japon, il n’avait plus d’ennemi ! Cela constituait un énorme espace continental

était à la fois le démembrement de la Russie impériale mais aussi l'adjonction d'Etats voisins, membres de la fédération (comme les Etats baltes par exemple). On avait donc à la fois des Etats venant d'un phénomène d'agrégation et d'autres d'un phénomène de ségrégation. Ceci abouti à l'indépendance dans les 1990 d'un certains nombres de pays (dont les Etats baltes). Pour les autres : constitution d'une vague Communauté des Etats Indépendants (CEI) dont on a bien l'impression qu'elle recouvre fort peu

était à la fois le démembrement de la Russie impériale mais aussi l’adjonction d’Etats voisins, membres de la fédération (comme les Etats baltes par exemple). On avait donc à la fois des Etats venant d’un phénomène d’agrégation et d’autres d’un phénomène de ségrégation. Ceci abouti à l’indépendance dans les 1990 d’un certains nombres de pays (dont les Etats baltes). Pour les autres : constitution d’une vague Communauté des Etats Indépendants (CEI) dont on a bien l’impression qu’elle recouvre fort peu

traité, au nom de l’avatar du pangermanisme qu’a constitué le nazisme. Sans qu’elles revêtent la même gravité, les revendications contemporaines constituent une menace non négligeable – minorités hongroises en Romanie ou Serbie, russes dans les pays baltes ou autres portion de l’ex-U.R.S.S. Le risque est celui de l’irrédentisme, de l’aspiration à l’indépendance voire au rattachement à la « mère partie ». Les exemples de l’Irlande du Nord, de Chypre, entre Grecs et Turcs, mais aussi de Crimée sont présents