Germinal Critique De La Société

vraisemblables, populaires, satiriques : Roman de Renart Personnages : Renart le goupil Ysengrin le loup Chantecler le coq Noble le lion Les romans sont anonymes, pas de besoin de propriété littéraire. Toujours satiriques envers la société Les fabliaux : histoires courtes, comiques, grossières, populaires, satiriques. Le 16ème siècles La légende du roi Arthur influence toujours les auteurs. C’est un siècle de poésie. Grand romancier du 16ème siècle : Rabelais. œuvres : Gargantua

injustices de la société comme l’affirme Victor Hugo dans cette citation : « Mon livre avance. J’en suis content… Je crois que ce sera une bonne revanche de l’intelligence contre la force brutale. Encrier contre canon. » Nous commencerons par traiter du pouvoir et de la portée de la littérature engagée dans une première partie puis nous parlerons de ses limites dans une seconde partie. De tout temps la littérature engagée a été utilisée pour dénoncer les injustices dans la société. Afin d’évaluer

circonstances qui le conduisent à l’écriture : En 1862 Il entre comme employé chez Hachette. Il y restera quatre ans et deviendra rapidement chef de publicité. Il publie ses premières chroniques dans la presse. -Activités autres que l’écriture littéraire : Critique littéraires et d’œuvre d’art, journaliste, photographie. -Les relations de maturité : les frères Goncourt, Edmond et Jules, Flaubert, Alphonse Daudet, Ivan Tourgueniev, Guy de Maupassant, Paul Alexis, Joris-Karl Huysmans, Léon Hennique et Henri

naturalisme est un mouvement littéraire international apparu dans les dernières décennies du XIX siècle. Les naturalistes introduisirent dans leurs romans des descriptions scientifiques et objectives des réalités humaines : ces auteurs montraient la société telle qu’elle était, aucun sujet n’était tabou. On remarque cependant que les différents thèmes abordés dans ces œuvres ont préalablement fait l'objet d'une certaine recherche et d'une documentation poussée ; l'auteur émet alors une hypothèse qu'il

suscitèrent, lui suggéra d'aller vivre désormais de son art. Il passa alors au journalisme et écrivit des articles littéraires et artistiques dans L'Evènement, où ses contributions se firent remarquer par leur virulence. Le ton de sa défense de Manet, ses critiques du jury du Salon annuel et ses attaques contre le Second Empire suscitèrent une telle réprobation publique qu'il dut arrêter d'y écrire ses articles. Zola fut un grand lecteur de Balzac, et nul doute que c'est la « Comédie humaine » qui lui inspira

est légitime de se demander si la page de roman doit être exclusivement un témoignage de la société de son auteur. Les romans sont reconnus pour avoir un fort impact didactique, ce qui soulève le problème suivant : est-ce vraiment la seule fonction d'un roman de faire foi, tel un témoignage, de la société de celui qui l'écrit ? S'il est vrai que la page de roman a souvent pour but de refléter la société de son auteur, nous verrons que son autre visée principale est de divertir le lecteur, délaissant

d'un moment crucial de l’histoire de France, puisqu'elle marque la fin de l'Ancien Régime, et le remplacement de la monarchie absolue française par une monarchie constitutionnelle, puis par la Première République. Elle a mis fin à la royauté, à la société d'ordres et aux privilèges. Elle nous a légué la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, qui proclame l'égalité des citoyens devant la loi, les libertés fondamentales et la souveraineté de la Nation, apte à se gouverner au travers de représentants

roman va donc être un creuset des différentes formes de discours (descriptif, argumentatif, explicatif...) mêlées à la narration. En son sein, les différents genres vont s’enchevêtrer pour assurer l'originalité de ce genre littéraire. I-Roman et société Le roman, bien qu'il soit une œuvre de fiction, souvent considéré comme un divertissement dépaysant, entretient avec la réalité sociale un ensemble de relations complexes. Sur le plan artistique, il révèle les choix esthétiques de son époque. Sur

ou il fait les travaux manuels. Mais grâce à son intelligence, il est deplacé au secteur de la publicité. Au monde des journalistes, il s’introduit avec ses premières écrits : les inspiration romantiques, les feuilletons et les articles critiques. Il admire les frères Goncourts, qui l’influennent dans son évolution du réalisme au naturalisme. En 1868 il formule le projet du cycle des « Rougon-Macquart» et trois années plus tard il publie sa première tomme. Puis, il publie chaque année

mini-feuilletons. Son engagement dans les causes s’intensifie, si bien des causes sociales, artistiques ou littéraires qui lui semblent justes. Il fera sa renommée plus tard dans une série de romans regroupés dans les Rougeons-Maquart dont L’Assommoir, Nana et Germinal. Il fera ensuite des poésies lyriques puis dramatiques. Il sera dans sa vie considéré comme chef de fil du naturalisme après avoir longtemps écris dans le mouvement du réalisme. Il meurt en 1902, intoxiqué par un feu domestique que certains