Germinal Critique De La Société

un cadre précis et époque identifiable. • Le roman de mœurs s’attache à décrire la société et ses travers (ex : Manon Lescaut de l’abbé Prévost) • Le roman autobiographique = conquête de vraisemblance, narrateur-personnage • Le roman épistolaire est fondé sur des voix énonciatives. Cherche authenticité, impression du réel (ex : Les Liaisons dangereuses de Laclos) • Remise en cause du genre : réflexion critique, interrogation de la philosophie, amener le lecteur à prendre conscience de l’illusion

Camus, le monde romanesque est le reflet du nôtre. Il y apparaît les même qualités et défauts et il n'est pas meilleur ou pire. C'est une imitation du réel. Ainsi, l'unique type de roman pour Camus est le réalisme, appelé cependant anti-roman car il critique le roman traditionnel dont il montre le caractère illusoire. A partir du XVIII ème siècle, les écrivains tiennent au réalisme de leur histoire avec le réalisme corporel et psychologique des personnages. Notamment dans Les liaisons dangereuses de

est un autre moyen pour toucher le public, ou généralement la satire est exprimée, l’humour, le pathétique… Le roman généralement vise à critiquer la société, la lutte des classes, la révolte sociale avec par exemple Germinal d’Emile Zola ou se trouve un plaidoyer en faveur des déshérités et des exploités, mais aussi avec L’Ingénu ou Voltaire fait une critique de la cour : un indien souhaite s’adresser au roi mais n’arrive pas à lui parler, il y à une complexité de la cour qui est exprimée.

beauté corporelle. A la mode au XVIème ms trouve des traces ds romans courtois du M-Age. Elégie : Poème lyrique dt le ton est le + svt tendre ou triste Déterminisme : XVIIIème, 2 théories :- Rousseau = l’ho nait bon ms la société le perverti -Voltaire = société améliore l’ho Et théorie de Balzac au XIXème : hérédité, milieu pr expliquer comportement des gens DC nvelle percep° de l’o. Maintenant, plus l’humanité ms être à part entière. Théorie de l’évolu° : adapta° au milieu Epicurien :

définit généralement le roman comme un long récif fictif en prose : le roman est donc à priori ancré dans l’imaginaire, dans la fiction. Le roman peut influencer l'avis des hommes, il nous aide à mieux comprendre le monde dans lequel nous vivons, la société, les autres modes de vie et de réflexions... la lecture de roman aide à la compréhension de réalités psychologique et existentielles ou sociales, politiques, naturelles, voire économiques. En m'appuyant sur des textes d'Honoré de Balzac, Albert

(1804-1869), Les Lundis (critique littéraire). Jules MICHELET (1798-1874), Histoire de France (historiographie). 2. Le réalisme, le naturalisme et le Parnasse (± 1850-1880). Réalisme: On ne parle plus de sentiments, mais de comportement. On décrit la nature extérieure, de manière objective, en respectant les faits matériels. On étudie l’homme dans son milieu. Le roman est le lieu où se réalise la confrontation d’un être, venu souvent du plus bas de l’échelle sociale, avec la société. Balzac construit

naturalisme n'admet pas les héros, seulement la vie telle qu'elle est sans aucune exagération. C’est un mouvement littéraire principalement animée et illustrée par Emile Zola, fixant comme mission au romancier de peindre objectivement l'Homme et la société. Le roman naturaliste est la reproduction exacte de la vie, en l'absence de tout élément romanesque. Le romancier s'engage à reproduire le plus fidèlement la réalité dans ses œuvres. L’écrivain possède la même démarche que le savant. Celui-ci formule

poème, A tous les enfants, se réfère à la dédicace des monuments ériges pour les «morts pour la France».  Boris Vian dénonce ici l’ horreur de la guerre et le carnage exercé contre ses jeunes soldats, a qui il leur rend hommage . Et par de la il critique les décideurs de cette guerre , ces états majors qui envoie les jeunes au casse pipe. Boris Vian énonce un discours antimilitarisme . C’était un pacifiste notoire ainsi qu‘un adversaire de la bourgeoisie * « A tous les enfants  qui sont

sociocritique et son aspect novateur. Il n’est pas inutile ici de revenir au point de départ, où l’on insistait bien sur toutes les ambiguïtés de la situation, mais, notons-le, sans mettre en question la notion – sinon le concept – de texte. La socio-critique n’a pas la prétention d’inventer le texte. Mais trop de commentaires sociologiques, ou d’analyses marxistes d’inspiration philosophique, esthétique ou politique ont jusqu’ici traversé le texte pour s’établir au-delà et considérer le statut externe

d’obtenir les mêmes résultats. En effet, il sollicite à la fois l’imagination et la raison et concilie le concret (personnage, péripétie) et l’abstrait (pensée philosophique). On retrouve souvent le registre humoristique et le registre didactique ou critique. Il vulgarise une doctrine et la met a portée de tous pour persuader plus aisément son public. Voltaire, qui a souvent utilisé cette forme littéraire pour instruire ses concitoyens, les appelait « petits morceaux de philosophie allégorique ». Ce