Gérondif

|partir: romper | |Por más que + subj: avoir beau |Le dio miedo , pavor |orar: rezar: prier | |Aspect de l'action: ir+ gérondif |cuanto más ... más |llover: pleuvoir | | | |llorar: pleurer

celui-là comme un emporté d’une colère aveugle ». La mort est comique puisqu’elle n’est pas montrée en l’avantage de l’Egyptien : « L’Egyptien jette un cris horrible et meurt en se débattant. Par l’emploi du verbe « jeter » au présent de narration et au gérondif : « en se débattant ».La fin est ridicule, c’est une caricature et une parodie. Le héros est capable d’éprouver de la compassion et de l’horreur en même temps, il est aussi capable de jugement et de naïveté : «  il juge à la violence, l’un était

Quantifieurs et indéfinis 3. Articles 4. Le génitif (cas possessif) 5. Singuliers et pluriels particuliers 6. Dérivations 7. Mots composés (adjectifs et noms) 8. Expression de la comparaison (comparatif et superlatif des adjectifs) 9. Infinitif, gérondif, base verbale 10. La proposition infinitive 11. Structures causatives 12. Les propositions subordonnées relatives 13. Les subordonnées circonstancielles 14. Le style indirect 15. La voix passive 16. Prépositions et particules adverbiales

nombreuses énumérations telles que «les coudoyer, leur parler, les tutoyer…se sentir près d’elles » ou « les grands cafés, pleins de monde, débordaient …étalant leur publics ». Ici, l’effet de surplus, par l’adverbe « plein », le verbe « débordaient » et gérondif « étalant » oppresse le lecteur. Dans tout ce fantastique bouillant, Maupassant introduit une touche de fraîcheur et de répit. A la fin du texte apparaît une fraîcheur qui devient salvatrice. Cette dernière est symbolisée par la clarté « lumière

Deuxièmement, aux vers 3 et 7 le verbe « s’empoisonne » nous renforce l’idée que le poète est comme les vaches. Dans ce poème, l’amant est ridiculisé, nous pouvons nous figurer un homme grotesque, cette métaphore est presque cruelle, au vers 13 le gérondif « meuglant » nous conforte dans cette image, nous pouvons voir l’amant qui se plaint. En deuxième lieu, une répétition de l’adverbe « lentement » aux vers 3 et 7, accentue la lenteur du poème, l’amour qui est impossible. Nous éprouvons également

Analyse "La vie antérieure"Page sur 1 2 Analyse du poème « La Vie Antérieure », Fleurs du Mal, Baudelaire Basaltique : roche volcanique de couleur foncée. Mystique : religieux, sacré ; relatif au mystère, à une croyance surnaturelle ; caché, secret. Volupté : plaisir sensuel intense Languir : vivre diminué par la souffrance, dépérir ; souffrir d’une passion insatisfaite ; se morfondre. Introduction Contexte: - Symbolisme : passion pour l’ésotérisme, les mystères + recherche de correspondances

par assonance en 'en' et allitération en 'v' dans 1ère strophe • 2 et 3ème strophe accumulent sonorité désagréables avec assonance en 'e' ('honteux, piteusement, à côté d'eux, veule, gueule') et allitération en 'c' et 'gu' • Vers 12, décrochement gérondif et cadence + lente, suggère boitement Ainsi jeu sonorités accentue différence A au fur et à mesure du poème c. L'attitude hostile des marins : • B débute en insistant sur 'souvent' : H pour rompre ennui, se divertissent dans cruauté habituelle

logis élevant sur trio qualité à sept travées auquel ajoutent deux ailes en retour, légèrement plus dégoûtant et de plus en sept travées14. ensemble est entouré de fossés. avant de la cour est plier par un mur percé une porte cochère15. Pièce XIII gérondif singulièrement à préparation du plan de ce premier édifice16. s’il constitue son entrevue de tenderie favori, il ne forme pourtant qu’une construction rustique et purement utilitaire13. La disposition bastionnée de bien et les fossés qui l’entourent

Ionesco (Roumain), Beckett (Irlandais), Adamov (Russe). En attendant Godot a été publié en 1952 par Samuel Beckett (prix Nobel de littérature 1969), narre l'attente de deux personnages étranges : Vladimir et Estragon. Le titre est énigmatique : gérondif, on dirait qu’il ne se passe rien « en attendant ». La scène d'exposition de En attendant Godot s'inscrit dans la modernité et est déroutante pour le spectateur. Samuel Beckett Lecture du texte Route à la campagne, avec arbre

vie meurtri par cette misère qui le ronge. Néanmoins le mot «solitaire», nous replonge dans un état de malaise et de pitié. Puis, on note une opposition entre l'homme et Dieu introduit par les contraste entre la terre et le ciel et entre les deux gérondifs tendant et joignant. L'un exprimant la charité et l'appel à un quelconque secours, l'autre traduisant la croyance pour Dieu mais aussi quelque chose de bien plus terrible. En effet, lorsque l'auteur qualifie le ciel de «triste» , cela peut nous laisser