Gérondif

habitation élevant sur trois niveaux à sept travées auquel ajoutent deux voilure en retour, inconsidérément plus collant et autant en sept travées14. réunion est entouré de fossés. supra de la cour est fermé par un mur percé une guichet cochère15. Or XIII gérondif singulièrement à élaboration du plan de ce premier édifice16. s’il fonder son entrevue de chasse favori, il ne forme pourtant qu’une building sauvage et purement utilitaire13. La disposition bastionnée de terre et les fossés qui l’entourent, se

sur ternaire niveaux à sept travées auquel ajoutent deux ailes en retour, inconsidérément plus basses et autant en sept travées14. ensemble est enrober de fossés. dans le passé de la cour est parquer par un mur percé une pas cochère15. Louis XIII gérondif personnellement à édification du plan de ce premier édifice16. s’il constitue son rendez-vous de chasse favori, il ne chair cependant qu’une construction fort et correctement utilitaire13. La disposition bastionnée de bien et les fossés qui l’entourent

noir (vers 3), elle porte une robe longue, terminée par une pièce de broderie en forme de guirlande de feuilles (« feston »), qu'il faut en marchant soulever pour éviter que l'« ourlet », c'est-à-dire le bas de la robe, ne traîne par terre. Les gérondifs (« soulevant, balançant ») précisent le mouvement : le rythme binaire (3-3//3-3) et l'allitération en [l] et en [s] (dans toute la strophe) font entendre le bel balancement des étoffes ou le frottement du tissu, et suggèrent la fluidité, la finesse

contraires. L’intérêt du poème réside alors dans le fait que ces effets de l’amour ne se succèdent pas mais coexistent, ce que traduisent plusieurs procédés : - parataxe v 1 « Je vis, je meurs », qui accélère, rapproche voire superpose les 2 états. - le gérondif « en endurant » v2 qui indique la simultanéité. - Des expressions comme « tout à un coup »/ « tout en un coup » v5 et 8 - Le participe passé employé comme adj « entremêlé » qui achève de tisser les 2 champs lexicaux du plaisir et de la douleur

Beckett écrite directement en français. Elle met en scène deux couples de personnages — les clochards Estragon et Vladimir, les maître et esclave Pozzo et Lucky — et répète le même scénario sur deux actes. publié en 1952 Le titre est énigmatique : gérondif, on dirait qu’il ne se passe rien « en attendant ». attente des deux personnages. L’action se déroule le soir sur une route de campagne. Le seul élément de décor est un arbre dénudé. Introduction : Le monologue ou tirade de Lucky surgit dans le

structure dans une nouvelle situation de communication (ex : l’indicatif présent) 3. Retrouver dans le texte de la chanson une certaine forme verbale, faire comprendre son fonctionnement, puis associer des phrases contenant cette forme verbale (ex : le gérondif) 4. Texte lacunaire: Conjuguer les verbes au temps entendus dans la chanson (ex : présent / imparfait / futur simple) 5. Identifier un type de structure grammaticale (ex : les conjonctions qui expriment le temps) 6. Identifier un type de structure

rapport à un autre verbe de la phrase. On parle parfois de temps absolu quand l'action est datée par rapport au moment de la parole et de temps relatif lorsqu'elle est datée par rapport à un autre événement. Chaque mode possède plusieurs temps. Le gérondif n'en a qu'un, tandis que l'indicatif, le plus riche, en compte huit. L'indicatif, par exemple, peut être au : présent, passé composé, imparfait, passé simple, plus-queparfait, futur, simple, passé antérieur, futur antérieur. L'impératif, uniquement

groupes de mots sont de plus en plus longs (2-2-3-5) tandis que pour le vers 4, le rythme est régulier (3-3-3-3), l’allitération en [L] imite cette légèreté. Ses mouvements outre sa démarche sont eux aussi gracieux et dansant, comme le suggère les gérondifs "Soulevant, balançant" qui indique une vivacité. Le vers 10 "Dont le regard, m’a fait soudainement renaître" témoigne de l’idéalisation de cette passante puisqu’elle à fait renaître le poète. Cependant cette idée de renaissance suggère une mort.

allitération en 'v' dans la 1ère strophe• La 2ème et 3ème strophes accumulent des sonorité désagréables avec une assonance en 'e' ('honteux, piteusement, à côté d'eux, veule, gueule') et une allitération en 'c' et 'gu'• Le vers 12 donne un décrochement au gérondif et une cadence plus lente, qui suggère le boitementAinsi le jeu des sonorités accentue la différence de l'albatros au fur et à mesure du poème.c. L'attitude hostile des marins :• Baudelaire débute en insistant sur 'souvent' : les Hommes pour rompre

élevant sur trois niveaux à sept travées auquel renforcer deux ailes en retour, légèrement plus basses et régulièrement en sept travées14. ensemble est couronner de fossés. supra de la cour est fermé par un mur percé une guichet cochère15. Or XIII gérondif singulièrement à fabrication du plan de ce premier édifice16. s’il constitue son réceptacle de fauconnerie favori, il ne forme pourtant qu’une building rustique et candidement utilitaire13. La disposition bastionnée de sol et les contrevallation