Gestion Actif Passif Banque Populaire

formes que de la monnaie en possédant des actifs : actifs financiers ou actifs réels. Quels sont les avantages de la monnaie par rapport aux 2 autres types d’actifs ? - 1er avantage : sa liquidité cad que la monnaie est immédiatement disponible pour effectuer un achat. On dit de la monnaie qu’elle à la liquidité maximale. - 2ème avantage : En l’absence d’inflation, elle ne perd pas sa valeur. C’est un actif sans risque. (TOBIN) Contrairement aux autres actifs telles les actions, elle n’est pas soumise

FICHES 60 QUESTIONS ITB ENTREPRISE BANQUE La banque est elle une entreprise comme les autres ? 1) Introduction Une entreprise est une entité économique qui met en œuvre des moyens (humains, matériels, financiers etc..) dans le but de produire des biens et services destinés à la satisfaction des besoins d’une clientèle. Les conditions à réunir pour qu’il y ait entreprise sont les suivantes : * La finalité économique, * La gestion des flux financiers, * La mise en œuvre

d’une bombe sur la place financière, la chute de la plus prestigieuse des banques d’investissement internationales a permis de révéler au grand jour l’état des bilans de ces établissements prêts à tout pour accroitre leur rentabilité. Depuis plusieurs mois, le Comité de Bâle s’attache à rédiger de nouvelles règles bancaires censées prévenir le secteur de toute crise telle que l’on a connue. Venant renforcer les bilans des banques, « Bâle 3 » se heurte pourtant au refus catégorique des établissements

correspondant au 26 mai 2008 portant application des dispositions de la loi n° 07-11 du 15 Dhou El Kaada 1428 correspondant au 25 novembre 2007 portant système comptable financier. Art. 2. — Les règles d’évaluation et de comptabilisation des actifs, des passifs, des charges et des produits, le contenu et le mode de présentation des états financiers ainsi que la nomenclature et les règles de fonctionnement des comptes, sont fixés en annexe 1 du présent arrêté. Art. 3 . — Le système de comptabilité financière

 monétaire     Page  1  sur  2     Economie  monétaire   bouquin  :                     Laure  KLEIN  :  «  La  crise  des  subprimes  »  revue  Banque,  20  €   Andrée  ORLEAN  «  De  l’euphorie  à  la  panique  :  penser  la  crise  financière  »,  7  €   Henri  BOURGUINAT  «  L’arrogance  de  la  finance  »,  17

2 : les règles de bonne gestion Section 3 : les conditions d'exercice de l'activité des établissements de crédit PARTIE II : Les risques bancaires et l'accord de Bâle C hapitre I : Inventaire des risques Section 1 : les risques traditionnels Section 2 : les risques de nature qualitative Section 3 : les risques opérationnels C hapitre II : Les principes de l'accord de Bâle I Section 1 : les grands traits de l'accord de Bâle I Section 2 : le processus de gestion des risques -3- Section

N° 47 46ème ANNEE Mercredi 10 Rajab 1428 Correspondant 25 juillet 2007 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE CONVENTIONS ET ACCORDS INTERNATIONAUX - LOIS ET DECRETS ARRETES, DECISIONS, AVIS, COMMUNICATIONS ET ANNONCES (TRADUCTION FRANÇAISE) Algérie Tunisie Maroc Libye Mauritanie ETRANGER (Pays autres que le Maghreb) DIRECTION ET REDACTION SECRETARIAT GENERAL DU GOUVERNEMENT WWW. JORADP. DZ Abonnement et publicité: IMPRIMERIE OFFICIELLE Les Vergers, Bir-Mourad

Financement Attijariwafa bank Bank Al-Maghrib Banque de détail à l’international Banque Commerciale du Maroc Banque Centrale Populaire Banque Marocaine pour l’Afrique et l’Orient Banque Marocaine du Commerce Extérieur Banque Marocaine pour le Commerce et l’Industrie Banque Nationale pour le Développement Economique Banque des Marocains sans Frontière Bénéfice Net Réel Bénéfice Net Simplifié Boîte Postale Banque des Particuliers et des Professionnels Banque Sénégalo-Tunisienne Bâtiments et Travaux

proposer une information financière plus pertinente, d'un point de vue économique, sur les comptes des entreprises. Cependant, la juste valeur a très rapidement essuyé de vives critiques. En effet, ses opposants et plus particulièrement les banques et les compagnies d'assurance ont estimé qu'une évaluation en juste valeur de leur bilan n'était pas compatible avec leurs activités. Notre étude s'intéressera aux avantages et limites d'une comptabilité en juste valeur appliquée aux instruments

son environnement global Modèle 2 : C oncurrence : Conccurents directs (Ex. : Metro & IGA) F ournisseurs : Entreprises qui apportent les matières premières M arché : Clientèle potentielle et directe I ntermédiaires : Partenaires directs (banques, comptables, détaillants, etc) P ublics : Groupe de contestation, mouvements de consommateurs, actionnaires, ONG, partis Politiques, mouvements religieux, syndicats etc. Ce modèle repose sur les interactions quotidiennes de l’entreprise avec