Gestuelle Théatre

Estragon (clochards). Didascalies et décor = dénuement extrême. La scène est quasi vide et les imprécisions sont flagrantes à divers propos. *Problématique : Il s’agit ici d’une anti-scène d’exposition : déconstruction des règles classiques (théâtre de l’absurde), des codes de l’incipit, de la scène d’exposition. Déconstruction du monde et de la parole. -L. 1 à 16, absence de repères. -L. 16 à 44, dialogue, intrigue semble amorcée. -L. 45 à fin, déconstruction. -Mimes, didascalie de

costumes sombres, créant une atmosphère sérieuse. Ex : L’interprétation que Louis Jouvet fait de Dom Juan laisse de côté l’aspect comique en utilisant de tels effets. B. L’orientation du jeu théâtral (gestuelle, intonations) renvoie différents messages Le choix des gestes effectué est crucial au théâtre. Ainsi, le comique passe très souvent par des gestes. Ex : Dans la comédie dell Arte, les gestes sont très évocateurs, tandis que le texte est parfois improvisé. C. La liberté d’interprétation du metteur

discuter, s’en occuper Les Charlatans italiens de Karel Dujardin, dépeignant une représentation sur une scène de fortune en Campanie (Louvre, 1657). La commedia dell'arte est un genre de théâtre populaire italien apparu avec les premières troupes de comédie avec masque, en 1528. Signifiant littéralement : « théâtre interprété par des gens de l’art » ; autrement dit : des comédiens professionnels, le terme est, de nos jours, utilisé dans de nombreuses langues, dont l' Anglais. Sommaire 1 Histoire

TD Histoire du théâtre : représentation. Le premier élément problématique : caractère rituel du théâtre antique, (fête religieuse pour Dionysos). Dialogue entre Electre et le chœur en souvenir de son père Agamemnon. Le 2éme élément problématique : le théâtre antique est un théâtre codé. Ca n’est pas un théâtre réaliste et psychologique. Ce sont des hommes qui jouent masqué. Un jeu d’acteur très codé fixé par le port du masque et la gestuel. Avec des postures type pour exprimer des émotions

valeurs figées et aux idées toutes faîtes. I Qu'est-ce que le théâtre ? C'est un texte littéraire qui expose une intrigue sous forme de dialogue entre les personnages. (Exposition ; péripéties ; dénouement) Le théâtre peut-être un spectacle, un représentation théâtrale, un art visuel, devant un public, selon des conventions, une suite d’événements. C'est aussi une construction : lieu où l'on joue des pièce de théâtre. II Le personnage de Cyrano Cyrano est héros éponyme. Éponyme :

considérer le théâtre comme le lieu de la plus grande liberté ? Introduction : De Leonard de Vinci à Jean Anouilh, en passant par Molière, les artistes ont toujours été considérés comme acteurs de liberté à travers ce qu’ils ont pu peindre, ou écrire. Les artistes revendiquent justement cette liberté comme Ionesco lorsqu’il dit que « le théâtre peut être le lieu de la plus grande liberté, de l’imagination la plus folle ». Cependant, tout art a ses contraintes et ses règles, le théâtre lui aussi.

piéces de théatre ont réussi a faire rire les gens a travers le temps car en effet cet auteur arrivaient a melanger les effets comiques tel que le quiproco( le quiproquo consiste à faire interagir deux personnages qui se méprennent sur ce dont parle l'autre. Le quiproquo est un comique de situation) ou la répétition (l'effet consiste à répéter plusieurs fois les mêmes mots. C'est un comique de situation) Partie 2 : Molière écrivit ces textes pour qu’ils soit ensuite joués au théatre. En effet

coquette qui joue la outré, qui ne veulent pas de liaison mais joue avec les sentiments des hommes. C’est une vision de la société qui démontre la façon de ridiculiser les maîtres. II) Le Théâtre dans le théâtre a)Changement de rôles Arlequin et Cléanthis joue à leur manière, une petite scène de théâtre impromptue. Ils vont accéder au statut d’acteur, quant aux maîtres, ils deviennent spectateurs. La didascalie laisse clairement entendre que les personnages se donnent la comédie. Arlequin

l’histoire, de la guerre, de la justice et de l´injustice. Rempli d´une horreur sacrée, son théâtre est encore statique propre à susciter avec ses amples récits, ses longues déplorations, terreur et pitié. Sophocle : reprend les même légendes, mais son théâtre, plus dynamique, plus optimiste, exalte de nobles figures héroïques aux prises avec le destin et dont les éclatantes vertus forcent l´admiration. Le théâtre sophocléen (de la liberté et de l’héroïsme tragique parait inspirer celui de Corneille

Cours sur Caligula de Camus Pièce en quatre actes et en prose d’Albert Camus (1913-1960), Caligula fut publiée à Paris chez Gallimard en 1944, et créée à Paris au théâtre Hébertot le 26 septembre 1945. Camus avait tracé dès janvier 1937, dans ses Carnets, le plan d’une pièce qu’il envisageait d’intituler Caligula ou le Sens de la mort. L’argument s’inspire de l’Histoire des douze Césars de Suétone, mais aussi des préoccupations personnelles de l’écrivain (aggravation de son état de santé, difficulté