Ghetto de Cracovie

accélère le processus d’élimination. L’obsession de se débarrasser des populations juives et tziganes conduit le régime nazi à les enfermer dans des camps de concentration ou dans des ghettos. 400 ghettos ont été crées, tous situés dans des villes d’Europe orientale, notamment en Pologne à Varsovie, Lublin, Lodz et Cracovie. Les Juifs doivent porter un écusson ou un brassard qui permet de les identifier, sont soumis au travail forcé et finissent par ne plus avoir le droit d’en sortir. La faim, la fatigue

telle chose, alors qu’ils ont toujours, pour la plupart, suivi les lois. Organisation du film : Le film est organisé en trois parties : La première est représentative de la discrimination des juifs et de la déportation de ceux-ci dans les ghettos. Ce qui marque le début de la guerre. C’est dans cette première partie que tout les personnages sont décrits dont tout particulièrement Schindler : comme un homme d’affaires nazis, riche, élégant et raffiné. Il cherche de profiter un maximum de la

PROTECTORAT 1936 sept 1935 Lois de Nuremberg 1937 1938 déc 1938 Liquidations des biens juifs 1940 avril 1939 Regroupement dans des « maisons juives » octobre 1939 Travail forcé imposé aux juifs mars 1940 Premier grand ghetto à Lodz POLOGNE/ TERRITOIRES DE L’EST PAYS-BAS (exemple de territoire occupé) Quels sont les formes et les facteurs de la guerre d’anéantissement durant la Seconde Guerre mondiale ? Quelles sont les étapes de la destruction des juifs

et à un bégaiement de la succession - 1978 : Jean-Paul Ier qui meurt au bout d’un mois, c’est le pape du sourire Le Conclave est alors bloqué, il n’y a pas d’Italien pour faire l’unité des cardinaux et ils finissent par choisir l’archevêque de Cracovie. On choisit un pape de l’autre côté du rideau de fer dans un monde surmilitarisé. La Pologne est le maillon faible dans le bloc communiste, c’est le pays le plus catholique. - 1978/2005 : Jean-Paul II qui réinvente la fonction en créant la figure

la Wehrmacht, pour acquérir une usine de métal. Le bon fonctionnement de son usine lui permettra de sauver desjuifs de la déportation dans les camps de concentration avant que lui-même découvre les horreurs du ghetto de Cracovie. Ce film permet donc de découvrir le fonctionnement du ghetto et renseigne sur les terribles heures de cette époque, ancrant ainsi dans notre être le devoir de mémoire. Découvrir la vie de personnages réels ou fictifs invite aussi à explorer les lieux dans lesquels ils habitent

qui tombent sur une terre qui naquit pourtant dans le soleil et pour la paix“. Le dictateur (The great dictator) de Charles Chaplin (1940). Avec Charles Chaplin, Jack Oakie, Henry Daniell, Paulette Goddard, Billy Gilbert, Grace Hayle ... Dans le ghetto juif, un petit barbier, sosie d’un dictateur, est arrêté au cours d’une rafle, en compagnie d’un compagnon, farouche adversaire du dictateur qui a décidé l’extermination de la race juive. Les deux hommes parviennent à s’évader. Le dictateur, pris

:E ···.D ROIT ...rI , • ~. , •• ~ • •'. .."• ,• • •. , • .- . }t ;' ~ ~ CRA;SJ~VJE' " ", , " ( ISAAC • • .. BLUMCHEN LE DROIT D~ 60 LA CIIIU'IIilII • CRACOVIE ISIDOR-NATHAN GOLDLUST, td;teur - • 1914 • De notre ère, 567' 1 • , DU dME AuTEUR : ~ NOUS L~ f~~/I('E 1. . . . . • 1 Fr. • PABAlTRA PROCHAINEIlENT ) Commenf no.. fenon. les français • ,

La Rosa Mallet 3eme4 Stella Dossier Primo Levi Mme VILLANI Année 2021/2022Sommaire 1)Biographie 2)Analyse de la première de couverture/horizon d’attente/analyse du titre 3)Analyse du poème liminaire:photocopie

d’interventions, EINSATZGRUPPEN, composés de SS et membres de la Gestapo sont chargés d’arrêter et d’exécuter les membres de l’INTELLIGENTSIA polonaise (l’Elite). Les communautés juives de PL sont dans un premier temps enfermées dans des Ghettos. On peut citer celui de Varsovie, Cracovie, Lodz,… Leurs conditions de vie deviennent désastreuses du fait du surpeuplement. Mauvaise alimentation, épidémies (Typhus,..) En 1940 est crée le 1er camp de concentration : AUSCHWITZ. Il va progressivement devenir le plus grand

difficultés rencontrées par les anciens déportés juifs. « Pour la plupart d’entre nous, nous n’avions plus de famille, plus de parents, plus de foyer. Je pense encore plus douloureusement aujourd’hui, à tous ceux qui avaient été déportés depuis les ghettos polonais vers les camps d’extermination et qui, rescapés, sont arrivés en France ou dans d’autres pays d’Europe ; leur détresse était encore plus terrible. Ce retour a été, je le répète, terrible : nous étions seuls, enfermés dans notre solitude