Giambologna

célèbres ou inconnus récapitulèrent en les illustrant les douze travaux : métopes du temple de Zeus à Olympie, mosaïques de Valencia, de Meknès (Volubilis) et de Maaret al-Nouman en Syrie, toiles de Francisco Zurbaran, Gustave Moreau, statues de Giambologna, Vincenzo De’ Rossi…, burins de Heinrich Aldegrever. Ces œuvres touchent à tous les domaines, s’adaptant au goût du moment et aux techniques disponibles, allant de nos jours jusqu’à conquérir le septième art avec des navets ou des vidéos qui

: Les Noces de Cana de Vinci : La Joconde de Vinci : La Cène β. Sculpture & architecture Bramante & Michel-Ange : San-Pietro in Vaticano Brunelleschi : Santa Maria del Fiore (in Firenze) Cellini : nymphe de Fontainebleau Donatello : Bacchus Giambologna : L'enlèvement des Sabines Goujon & Lescot : façade du Louvre Michel-Ange : David Michel-Ange : Pietà Palladio : Villa Capra ("Rotonda", in Vicenza) Palladio : Teatro Olimpico (in Vicenza) γ. Genres littéraires du Bellay, Regrets ("Heureux qui

Hercule et Antée, conservé au Musée du Bargello à Florence. Au XVIe siècle, le sculpteur italien Baccio Bandinelli sculpte un groupe colossal Hercule et Cacus, placé devant le Palazzo Vecchio à Florence. À la même époque, le sculpteur italien Giambologna réalise un ensemble représentant Hercule luttant contre le centaure Nessos exposée par la suite à la Loggia dei Lanzi. Durant la même période, avant 1560, le sculpteur italien Guglielmo della Porta réalise un Hercule tue les serpents représentant

Gréco). • En architecture, le maniérisme est caractérisé par le contraste, le pittoresque et la combinaison de matériaux (chef d’œuvre : palais du Té à Mantoue, par Giovanni Romano). • La sculpture se développe avec Benvenuto Cellini, Giambologna, Alonso Beruguete, Hubert Gerhardt et Adriaan De Vries. Quelques artistes maniéristes Le Parmesan (1503 1540) Forme élégante et originale du maniérisme. Il s’inspire de la manière toscane et de l’œuvre de Michel Ange et Raphaël

cadre. Les places sont souvent conçues comme une scène au milieu de laquelle est érigée une statue équestre du prince. Florence est la première ville à dresser une statue équestre en bronze d’un prince. Le grand-duc Ferdinand Ier commande à Giambologna une statue de son père, Côme Ier qu’il fait installer en 1594 sur la place de la Seigneurie, dans le cœur politique de la capitale. Ces statues sont conçues sur le même modèle. Le cheval marche au pas et l’une de ses pattes avant est levée pour

Volterra Volterra Dominiquin Domenichino Dughet Pousset (Gaspard) Gellée Claude Lorrain Ghislandi Galgario (Fra Vittore del) Giambologna Bologna (Giovanni da) Gontcharova (Natalia) Goncharova (Natalia) Gossaert (Jan) Mabuse Guerchin Guercino (Il) Herrera Herrara Jean de Bologne Giambologna Léonard de Vinci Leonardo [da Vinci] Lorenzo di Credi Credi (Lorenzo di) Lorenzo Monaco Monaco (Lorenzo) Lorrain Claude Lorrain Maître

demeure par moins mortel et sa mort est l’affaire de toute la communauté. La théorie du double corps du roi offrait les moyens de maintenir un ordre politique et social. A sa mort, un double du prince est exposé. Pour Côme Ier de Médicis, c’est Giambologna qui fut chargé du masque mortuaire. L’effigie était vêtue des habits d’apparat du prince. Parfois, elle avait les yeux ouverts, symbolisant le fait que la dignitas du prince continuait. Au XVIe, en Italie, les funérailles se complexifient et

querelle des origines des courants artistiques ou intellectuels. Les noms sous lesquels certains individus passent à la postérité prêtent à confusion puisque des artistes ou des marchands italianisent leurs patronymes comme Giovanni Strada, Giambologna pour Jean de Bologne de Douai, ou des Della Faille, marchands anversois). Mais on constate que cette volonté de travestissement est réversible avec le peintre hollandais connu en France sous le nom de Corneille de Lyon, ou en Espagne Alejo Fernandez)

toutes les recherches avec Persée (1553) tenant la tête de la Méduse. Il y a une « multifacité » dans la sculpture maniériste notamment au niveau des fontaines avec notamment la Fontaine de Neptune de Bartolomeo Ammanati. Giambologna : Jean de Bologne, appelé Giambologna (1529-1608), adopte comme d'autres la ligne serpentine, c'est à dire un jeu au niveau des diagonales, des courbes sensuelles des corps lisses et hanchés ainsi qu'une forme longue des cous et des extrémités. L’Enlèvement de la

Cellini ont par leur talent, pu concilier la puissance des œuvres de Michel-Ange et la nonchalance du maniérisme. Le courant maniériste disparaît pour faire place aux puissants reliefs accentués par une décoration abondante du mouvement baroque : * GIAMBOLOGNA, dit JEAN DE BOLOGNE (1529 à Douai-1608 à Florence) - LA FONTAINE DE NEPTUNE SUR LA PLACE DE LA SEIGNEURIE à Florence (1571-1575) Le charme de ses œuvres explique son succès. Il est l’artiste qui parvient à s’adapter au goût de son temps, son maniérisme