Gina Del Dongo

amoureuse ( Bildungsroman à l’image des Souffrances du jeune Werther ). Le « héros » (désigné par l’auteur en tant que tel) évolue en effet de l’inceste (incarné par Gina) à l’Amour de loin ( Amour mystique incarné par Clélia). Ces deux pôles, loin d’être des créations originales de Stendhal, sont des motifs bien connus de la littérature que Stendhal articule

Neuve-des-Capucines et en mourut dans la nuit à l’âge de 59 ans. (Catherine Bonjean) 2. Résumé Le livre s'ouvre sur l'entrée de Napoléon dans Milan, jusqu'alors Autrichien. Le marquis del Dongo, fidèle à l'Ancien Régime, se retire dans son château avec sa famille, en dehors de Milan. Sa sœur, la comtesse Gina Pietranera, se range du côté français. Le marquis est contraint d'accueillir le lieutenant français Robert sous son toit. Ce lieutenant conquis la marquise et un an plus tard naît Fabrice

Aucun des cinq n’a de passeport. Tout s’arrange, et Clélia est accueillie pour le retour dans la voiture de Gina. - F est contraint de s’exiler et la comtesse intercède pour lui auprès du baron Binder (par l’intermédiaire du chanoine Borda, très attiré par Gina, et jaloux de F : « La voilà qui fait l’amour avec son neveu ! […] tout s’explique maintenant ! Au fait, ce jeune Fabrice est plein de grâces, grand, bien fait, une figure

Cette situation familiale particulière se retrouve dans toutes les œuvres fictionnelles de l’auteur, et, plus particulièrement, le Rouge et le Noir (1830) et la Chartreuse de Parme (1838) où les deux personnages principaux Julien Sorel et Fabrice Del Dongo sont en butte aux persécutions de leurs pères mais trouvent refuge et appui auprès de femmes, à la fois, amoureuses et maternelles. Admirateur de Bonaparte, mus par des rêves de gloire, de grandeur, d’héroïsme, les jeunes héros stendhaliens (avatars

autres danses italiennes. Les officiers avaient été logés, autant que possible, chez les gens riches ; ils avaient bon besoin de se refaire. Par exemple, un lieutenant nommé Robert eut un billet de logement pour le palais -8- de la marquise del Dongo. Cet officier, jeune réquisitionnaire assez leste, possédait pour tout bien, en entrant dans ce palais, un écu de six francs qu’il venait de recevoir à Plaisance. Après le passage du pont de Lodi, il prit à un bel officier autrichien tué par un boulet

et autres danses italiennes. Les officiers avaient été logés, autant que possible, chez les gens riches ; ils avaient bon besoin de se refaire. Par exemple, un lieutenant nommé Robert eut un billet de logement pour le palais -8- de la marquise del Dongo. Cet officier, jeune réquisitionnaire assez leste, possédait pour tout bien, en entrant dans ce palais, un écu de six francs qu’il venait de recevoir à Plaisance. Après le passage du pont de Lodi, il prit à un bel officier autrichien tué par un boulet

GT : En quoi le point de vue est-il essentiel au topos de la jalousie ? 1) Stendhal, La Chartreuse de Parme, 1839 5 10 15 20 25 30 35 40 Le comte Mosca pense que la duchesse Gina de Pietranera, sa maîtresse, le trompe avec Fabrice del Dongo (le neveu de Gina). Il s’était juré de ne pas aller chez la duchesse ce soir-là, mais il n’y put tenir ; jamais ses yeux n’avaient eu une telle soif de la regarder. Sur le minuit, il se présenta chez elle ; il la trouva seule

morale et de la société : c’était Le Rouge et le Noir, et c’était Stendhal. On rêverait longtemps sur les quelques paroles échangées sur le fleuve, du côté de Valence ou d’Avignon, entre les amants de Venise et le père de Julien Sorel et de Fabrice del Dongo. Votre premier souvenir de lecteur est-il lié à l’école ? On devrait finir sa vie par l’école. Je rêve d’un monde où l’on ne ferait rien quand on est jeune et où l’on entrerait à l’école quand on est vieux. On s’amuserait d’abord ; on apprendrait

Apprend-on à aimer ? - Corrigé1 APPREND-ON À AIMER ? Introduction : Fabrice del Dongo, le jeune et beau héros de La Chartreuse de Parme, ne connaît pas l’amour. Certes, il a multiplié les conquêtes féminines. Certes, sa tante Gina, la brillante et pétulante duchesse de Sanseverina, éprouve pour lui un sentiment qu’il faut bien reconnaître comme étant celui de l’amour. Mais Fabrice lui-même n’aime pas. Incapable de s’attacher à l’une de ses maîtresses, nourrissant pour sa tante une affection

légende de Don Juan et la légende d'un Seigneur espagnol qui a réellement existé Don Manara qui était un dbauchée qui a finit par se racheté et finit par être d'une grande piété. Fabrice del Dongo La Charteuse de Parme (1839) Stendhal C'est la dernière oeuvre de Stendhal, on a le jeune marquit Fabrice de Dongo qui grandit pendant une époque politiquement assez mouvementée, qui grandit pendant l'époque de napoléon. En 1815, il apprend que Napoléon revient de l'île delbe et il décide d'aller combattre