Giovanni Bellini

ressemble encore plus au Portrait d'un homme avec un monnaie de l'empereur Néron, qu'à notre oeuvre. On pourrait encore citer de nombreux artistes s'étant inspiré de Memling dans leur portrait : Léonard de Vinci, Raphaël, Domenico Ghirlandaio, Giovanni Bellini. Etc... III ) -L'oeuvre a tout d'abord fait partie de la collection Manfrin, à Venis, puis elle a été acquise par l'empereur d'Autriche François Joseph en 1856 pour le Kunsthistorisches Museum de Vienne. Elle sera par la suite transférée

symétrie = Héritage de PDF -Scène centrée + Interactions entre les figures // spectateurs -Composition = équilibrée + symétrique : Connaissance de la perspective atmosphérique apprises des Flamands G. Architecture, sculpture et peinture à Venise : Bellini, Antonello da Messire, Carpaccio, Codussi, Rizzio -Venise = Art de la renaissance en lien avec la crise de son empire maritime (Contrôle de toute la Méditerranée) 1453 = Chute de Constantinople : Reconversion +++ dans l’agriculture = Conservation

cylindrique qu’il donne au corps, poussant cette déformation aussi loin que le lui permet la réalité visuelle que pourtant il ne veut pas trahir. 2. Biographie de l’artiste : Antonello, de son vrai nom Antonio di Salvadore d’Antonello di Giovanni degli Antoni, est né vers 1430, à Messine en Italie et mourut, d’après des écrits officiels, avant le 25 février 1479. Toute fois, cette date reste incertaine pour plusieurs d’entre nous. Né d’un père sculpteure et d’une mère qui s’appelle Guarita

l’apprentissage. Guy Berti pousse ces idées plus loin. Dessin comme moyen d’expression intellectuel. Support papier blanc, couleurs, pointe métal, fusain, sanguine, plume pinceau, lavi (encre+eau), gouache, pierre d’Italie. L. De Vinci, M. Ange, Titien, Bellini. Thèmes religieux, mythologique (scène de guerre). Le dessin est moyen de recherche et de préparation à la peinture. BAROQUE LE dessin est plus dynamique. Forme plus contorsionnée, moins rigide, le mouvement est plus présent. Gestuel plus théâtrale

Dionysos Mystes, p. 128-137 Smith, R. R. R. La sculpture hellénistique. [Londres] ; Paris, Thames & Hudson, 1996. 288 p. (L'univers de l'art, 60) Salle F – Art – [733.3 SMIT s] Contient : Le monde de Dionysos, p. 127-154 Voir aussi : Bellini, Giovanni ; Donatello ; Michel-Ange ; Poussin, Nicolas Cassandre Davreux, Juliette La légende de la prophétesse Cassandre d'après les textes et les monuments. Liège, Faculté de philosophie et de lettres ; Paris, E. Droz, 1942. 238 p. Salle F –

Titre : PORTRAIT DE GINEVRA D'ESTE ; DIT AUSSI PORTRAIT DE MARGUERITE DE GONZAGUE Auteur/exécutant : ANTONIO PUCCIO DI GIOVANNI DI CERRETO, PISANELLO (dit) Période création/exécution : 2e quart 15e siècle Exécution : 1436 vers ou 1438 Matériaux/techniques : Tempera sur bois (planche de peuplier) Mesures : 43 H ; 30 L Sujet représenté : Portrait (Este Ginevra d', femme, à mi-corps, de profil, effet de tissu, broderie, coiffure, Italien) ; Ornementation (branche : genévrier) ; ornementation

rejoint les couleurs de la terre le haut du corps est de plus en plus bleu nuance du visage de zeus = du bleu-gris à l'oranger gradation = de la terre vers le ciel point de vue des arts visuels : changement d'état du corps lui même. Giovanni BELLINI (1433-1516) : la jeune fille au miroir, 1515, huile sur toile Format allongé, figure centrée, grandes horizontales jeu de miroir ligne du vêtement correspond à la ligne de la colline il traite de la même manière les volumes utilisés

enrichit l’ouverture et les parties instrumentales. C’est par le biais de l’opéra que le romantisme gagne l’Italie. Les sujets en sont le patriotisme et l’Histoire, la tension sentimentale, l’amour exprimé avec un lyrisme dramatique comme dans Norma de Bellini. En France, le grand opéra français est l’héritier direct de l’ancienne tragédie lyrique, il est entièrement chanté .Tous les moyens à effet sont déployés pour ce grand spectacle : airs solistes virtuoses, chœurs à grands effectifs, ballets

Venise, surtout, avec Giorgione, puis avec le long règne de Titien (et, un peu plus tard, celui de Palladio en architecture). À cette époque, le nouvel art commence à se diffuser en Europe. Dürer s'imprègne de la première Renaissance vénitienne (Giovanni Bellini), et le voyage de Gossart à Rome (1508) prépare, pour la peinture des Pays-Bas, la voie du « romanisme ». L'Espagne et la France sont d'abord touchées, surtout par le biais du décor : grotesques et rinceaux, médaillons, pilastres et ordres plaqués

que les théologiens dénonçaient régulièrement dans leurs sermons, mais d'une manière stéréotypée et plutôt inutile. L'opinion laïque réprouvait en général l'idôlatrie des peintures comme un abus qui ne con- L'œil du Quattrocento 17 9. Matteo di Giovanni, L'Assomption de la Vierge. : damnait pas l'institution des images elle-même ; comme l'a décrit le Chancelier de Florence, l'humaniste Coluccio Salutati Je pense que les sentiments (d'un Romain de l'Antiquité) à l'égard des images pieuses romaines