Giraudoux Style Electre

capacité à contextualiser œuvres et textes ; – en relation avec celle-ci, la perception des intertextes, manifestations premières et fondamentales de tout contexte, conduit à une observation plus approfondie des singularités des textes et des faits de style ; – la comparaison de différents langages s’inscrit dans une démarche générale de compréhension et de maîtrise des discours ; – l’étude de la langue et la maîtrise de l’expression rejoignent cet objectif. Les connaissances : domaines et objets d’étude

pastiche Ce sujet demande d’écrire « à la manière de Jean-Philippe Toussaint ». Implicitement, il suggère donc de rédiger une forme de pastiche. Le pastiche est une imitation formelle consistant à reproduire les principales caractéristiques du style d’un auteur, souvent par jeu, par défi ou par hommage. Tout pastiche repose nécessairement sur une analyse précise de l’auteur pastiché. Ici, il faudra donc commencer par comprendre et identifier les spécificités du texte de Jean-Philippe Toussaint

le gout du théâtre, a huit ans, il assistait à l'opéra dans un casino ou travaillait sa mère. À l'âge d'adolescence, il a admiré les théâtres de paris comme celui de Shaw Claudel, Pirandello, Cocteau et surtout quand il voit les pièces de Jean GIRAUDOUX, il décida de vivre par et pour le théâtre. Les personnages qui ont influencé a Jean Anouilh , Siegfried et sa représentation en 1928, son amitié avec Georges Pitoëff avec ce dernier il a découvert les problèmes de mise en scène ,aussi Jean Anouilh

révèle ses pensées ...Ex. : MFL, p. 164, Balzac, Une ténébreuse affaire. b) par le personnage lui-même, - quand le personnage est ... le narrateur (cas du récit à la 1° personne). Ex. : Litt. 2de, p. 341, Proust ; - lorsqu'il parle de lui au style direct ou encore utilise le monologue intérieur. c) par un autre personnage. Ex. : Mr Enfield décrit Mr Hyde à Utterson au chapitre 1. Remarque : Le romancier, par la présence du narrateur, est maître d'un certain nombre d'interprétations qu'il

en 405 avant. J-C. . Sophocle s’est vu attribué 126 pièces dont 72 au moins furent couronnée. Il nous en est parvenu sept pièces complètes et le fragment d’un drame satyrique ; (chronologiquement)  Ajax, Les Trachininennes, Antigone, Œdipe Roi, Electre, Philoctète, Œdipe à Colonne et les fragments de Limiers. Honoré comme « l’Athénien Parfait », appelé «l’homérique », Sophocle apparait comme le type par excellence de l’homme grec classique. Né dans une famille aisée (son père étant propriétaire

venait de me faire un cadeau somptueux et frivole : il venait de me donner la poésie du théâtre3. » À cette époque, Anouilh se nourrit des lectures de Paul Claudel, Luigi Pirandello et George Bernard Shaw. Deuxième grande découverte celle deJean Giraudoux en 1928, au poulailler de la comédie des Champs-Élysées, à travers sa pièce Siegfried, qu'Anouilh finit par apprendre par cœur4. Après avoir travaillé quelques semaines au bureau des réclamations des Grands Magasins du Louvre puis pendant deux ans

», ne faiblit pas. En ce seul printemps, on peut voir dans l’hexagone Les Bacchantes d’Euripide à la Comédie française, Le Sang des Atrides, d’après L’Orestie d’Eschyle, au Théâtre de la Bastille, Ajax de Sophocle au Théâtre du Granit de Belfort, Electre de Sophocle au Théâtre Sorano de Toulouse, Hécube, d'après Euripide, au Théâtre Gyptis de Marseille, Médée de Sénèque au Théâtre Rutebeuf de Clichy, et une variation contemporaine, Médée-Matériau d’Heiner Müller, au Théâtre des Amandiers de Nanterre

pseudonyme de François Anatole Thibault, qui est l’auteur de romans d’analyse. Il est un des représentants du dilettantisme, mouvement littéraire en France de 1860 à 1914, qui se caractérise par l’amour du beau, le scepticisme, l’ironie et le culte du style. Outre ses romans, M. Bergeret à Paris (1901), Anatole France a encore écrit des critiques littéraires et des livres historiques. Il entre à l’Académie Française en 1896 et a obtenu le Prix Nobel en 1921. Les romanciers du XXème siècle avaient l’intention

Feydeau...) ; extraits de tragédie (pistes multiples dans la tragédie antique et dans la tragédie classique : l'aveu de Phèdre, Phèdre, II,5 ; les deux dernières tirades d'Oreste dans Andromaque, V,5 de Racine, tirade d’Electre à Oreste dans Electre I,8 de Giraudoux ), poèmes lyriques (cf. Chansons de Charles d'Orléans, les Sonnets de Louise Labé, Les Regrets de Du Bellay, « La mort du loup » Alfred de Vigny, « L'amour qui n'est pas un mot » in Le Roman inachevé de Louis Aragon, « Femme noire » in

ont lieu l’après-midi. William Shakespeare (1564-1616) est le meilleur représentant du théâtre élisabéthain. Mêlant tous les genres, la comédie, la féerie, le drame, la tragédie, il s’adresse aussi bien à l’aristocrate qu’à l’homme du peuple. Son style passe avec aisance du rire aux larmes, de la grâce aérienne au réalisme le plus sordide, de la noblesse au vice le plus noir. Ses drames historiques traitent de l’histoire des rois d’Angleterre (Henri IV, Henri V, Richard I, Richard IIII). Les héros