Gisant

terre et en chemise couché tout de son long sur le carreau. Celui qui était à terre était le colonel. Les deux autres étaient un médecin et un prêtre qui priait. (…) A la clarté crépusculaire de la chandelle, on distinguait sur la joue du colonel gisant et pâle une grosse larme qui avait coulé de son œil mort. L’œil était éteint, mais la larme n’était pas séchée. Cette larme, c’était le retard de son fils. Marius considéra cet homme qu’il voyait pour la première fois, et pour la dernière, ce visage

sa tâche par celui-ci, symbolisé par la lettre G qui palpite au milieu de la rose mystique. Comme si, en ces instants, le chevalier commençait à prendre pleinement conscience , grâce au travail effectué précédemment en faisant appel aux outils gisant désormais brisés, qu'il se trouvait à mi chemin entre l'immanence et la transcendance, entre la lettre G et la rose mystique. Alors, les 9 figures géométriques seraient tout à la fois le symbole de tout son parcours antérieur, tentative malheureusement

personnage que l’on suit est le soldat Binet. S’inquiétant pour son ami Faucheux parti en reconnaissance dans la nuit, Binet sort de la tranchée et part à la recherche de son ami dans le no man’s land. Il finit par le retrouver mort, son corps gisant dans une flaque de boue. Mais à ce moment une mitrailleuse allemande lui tire dessus et il meurt dans de terribles souffrances. Juste avant de mourir, il voit apparaître un soldat derrière lui, ce soldat est le narrateur. Le narrateur est le seul

mérite. Reconnaissons, surtout, qu'à mesure que les événements faisaient renaître l'espérance, la masse de la nation portait vers la France Combattante son adhésion et sa confiance. Il est donc arrivé que nous avons vu se remettre debout notre pays gisant sous l'oppression et que les résultats ont correspondu aux buts fixés et aux promesses faites, c'est-à-dire : la victoire remportée, la liberté reconquise, la souveraineté du peuple intégralement rétablie. Cependant, une fois accomplie notre libération

dégradée sont également contraires au respect du principe de la dignité de la personne humaine. Il est d’ailleurs tout à fait remarquable que la Cour de cassation considère qu’une photographie représentant le corps et le visage d’un préfet assassiné gisant sur le sol était attentatoire à la dignité de la personne humaine, par un arrêt de la première chambre civile, du 20 décembre 2001. On voit de cette façon la dignité de la personne humaine rejoindre le droit à l’image. S’ajoute à cela que la

de Ouistreham est maudite. Un mois jours pour jours après le décès de Lucie Renoir, celle qui partageait sa vie préfère la rejoindre plutôt que de se reconstruire. Hier, aux alentours de vingt et une heure trente, son corps sans vie à été retrouvé gisant dans la cuisine de son petit appartement avec pour seules explications un bout de papier écrit de la main de la suicidaire : « Je n’aurais pas tenu ma promesse. Pardonne-moi … » Pour le moment, on ne sait pas encore à qui sont destinés ces quelques

textuelle : 1-Synopsis : Kurt Krausmann, un médecin allemand qui mène une vie ordinaire, limitée à ses allés-retours entre son cabinet de consultation et son appartement bourgeois. Fou amoureux de sa femme, la belle Jessica, il la retrouve un soir gisant dans sa baignoire : elle s’est donné la mort en ingurgitant deux boites de somnifères. Le jour de l’enterrement, une amie de Jessica a dit à Kurt que sa femme désespérée de n’avoir pas pu obtenir la promotion espérée dans son entreprise, a met fin

terre et en chemise couché tout de son long sur le carreau. Celui qui était à terre était le colonel. Les deux autres étaient un médecin et un prêtre qui priait. (…) A la clarté crépusculaire de la chandelle, on distinguait sur la joue du colonel gisant et pâle une grosse larme qui avait coulé de son œil mort. L’œil était éteint, mais la larme n’était pas séchée. Cette larme, c’était le retard de son fils. Marius considéra cet homme qu’il voyait pour la première fois, et pour la dernière, ce visage

fréquemment employés y sont la victoire, Germania, l’aigle aux ailes déployées, ou l’obélisque, emblèmes traditionnels des vainqueurs. Les monuments en l’honneur des morts proprement dits sont des représentations baroques de sarcophages, d’urnes ou de gisants. Cette prolifération de monuments est favorisée par une loi de 1890 qui confie la responsabilité de leur érection aux communes. À partir de cette date en effet on voit se multiplier les nouveaux monuments à la guerre de 1870, en particulier lors

longtemps, et ce fut son cri, déchirant, qui me renvoya à la réalité : « AAAHHH, J’AI MAL ! JE SUIS TOMBÉ ! MON DOS, AAAHHH J’AI MAL ! »      Et là l’horreur fut totale : A travers l’encadrement de la fenêtre, je regardais François, qui hurlait, gisant sur la terrasse du jardin, en bas. Et les cris émis par ce qui était derrière la porte devinrent complètement fous et assourdissants. Les coups portés devenaient plus fréquents, à un rythme monstrueux, insoutenable : Je devenais fou, tout cela était