Gisèle Halimi

mettre en avant, souhaitant en finir avec les inégalités, avec l’apparition de nouvelles figures militantes féministes. En effet, lors du procès de Bobigny concernant l’avortement clandestin de la jeune Marie- Claire Chevalier en 1972, l’avocate Gisèle Halimi, connu pour ses combats féministes, parvient à faire relaxer l’accusée : une première dans l’histoire. La loi sur l’avortement de 1920 sera classée à la suite de l’affaire. Un autre procès de l’avocate à Aix-en-Provence, où deux jeunes femmes

prix dans la capitale suédoise. Pendant « La Bataille d’Alger », et durant toute l’année 1957, Albert Camus a suivi avec attention, intensément, différentes « affaires algériennes ». A plusieurs reprises, Yves Dechezelles et sa jeune assistante Gisèle Halimi lui demandent son appui pour sauver différents algériens musulmans condamnés à mort. Et, comme le souligne Herbert Lottmann dans sa biographie de Camus, « défendre un musulman accusé de terrorisme constituait un acte de bravoure »… Mais contrairement

pays de l'Union du système électoral imposant la parité. En France depuis la censure par le conseil constitutionnel de la loi votée en 1982 instaurant des quotas, de nombreux mouvements féministes choisis avec des personnalités politiques comme Gisèle Halimi, n'avaient pas renoncé à leur combat pour faire bouger les choses, même s'il fallait, pour y parvenir, modifier la constitution. L'affaire des « jupettes » a re-mobilisé les femmes. Certaines d'entre elles qui s'étaient retrouvées peu après

plus tard un rassemblement de protestation eut lieu non loin du Sénat le lundi 6 mai 1991. Quelque 400 personnes environ y participèrent. En revanche, une pétition circula, signée par des personnalité telles que Nicole Croisille, Juliette Gréco, Gisèle Halimi, Georges Moustaki... Nous l’avons fait paraître, sous forme de publicité, dans le journal le Monde. Celle-ci obtint un franc succès auprès des gais et des lesbiennes : 5 000 signatures furent recueillies en un temps record. La proposition de loi

m'a regardée ». ↑ Le Parisien, mardi 10 octobre 1989, « Leila, Fatima et Samira iront à l'école en tchador » ↑ a et b L'Humanité, jeudi 5 octobre 1989, « Le foulard de Fatima ». ↑ a et b Le Monde, samedi 7 octobre 1989, « Les réactions » ↑ Gisèle Halimi démissionnera d'SOS-Racisme à la suite de cette position ; cf. Lang d'accord avec le ministre de l'Éducation, Le Quotidien de Paris, Paris, 4-5 novembre 1989. ↑ Libération, mardi 10 octobre 1989, « devoirs religieux et cas de conscience laïcs

grossesse s’exprime deux courants particulièrement opposé. Si la première est relativement accepté partout, la seconde est un combat dans nombreux pays, même occidentaux. En effet, la contraception est désormais un droit acquis, malheureusement et Gisèle Halimi en témoigne aujourd’hui, l’avortement est loin d’être acquis même en 2010. L’avancée de la science, le développement de nouvelles techniques attachées à l’homme vont continuer à poser la question de l’éthique face à l’Homme. Ainsi on peut par

médecin l’interruption volontaire de grossesse avant la fin de la 10ème semaine de grossesse. » La loi ne devient définitive qu’en 1979.  DOCUMENT D’ACCROCHE : Affiche de l’association féministe Choisir, créée en juillet 1971, autour de Gisèle Halimi. 1. Le contexte : Au début des années 70, est dressé un constat alarmant : près d’un million de femmes se font avorter chaque année en France, et cela dans des conditions extrêmement dangereuses en raison de la nécessaire clandestinité

un reniement de son athéisme et y voyait l'influence de son nouveau et dernier secrétaire. « Détournement de vieillard » accusera Olivier Todd, tant semble différente la parole de Sartre dans ces entretiens sur la religion judaïque. L'avocate Gisèle Halimi, qui a été une amie très proche du philosophe depuis 1957, est revenue, en 2005, sur ces propos en affirmant : « Cet interview est incontestablement un faux (…). Ce n'est pas du Sartre libre jouissant de toutes ses facultés. »21 Atteint d'urémie

Mao-Tsé-toung «n’est pas plus dictatorial que celui qu’a détenu par exemple un Roosevelt.» _________________________________________________________________________________ Simone de Beauvoir milita contre la politique française en Algérie. Avec Gisèle Halimi et Élisabeth Badinter, elle obtint la reconnaissance des tortures infligées aux femmes lors de la guerre d'Algérie. Elle fit de la recherche d’une morale authentique, qui était le thème de ses romans, l’objectif d’une série de récits autobiographiques

Mao-Tsé-toung «n’est pas plus dictatorial que celui qu’a détenu par exemple un Roosevelt.» _________________________________________________________________________________ Simone de Beauvoir milita contre la politique française en Algérie. Avec Gisèle Halimi et Élisabeth Badinter, elle obtint la reconnaissance des tortures infligées aux femmes lors de la guerre d'Algérie. Elle fit de la recherche d’une morale authentique, qui était le thème de ses romans, l’objectif d’une série de récits autobiographiques