Git

larmes, la langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé, basculé vers le haut, la mère hurle au ciel sa détresse. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. Le soldat git, démembré, dans le bas du tableau, la tête et un bras sont coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée C’est la figure du combattant. De cette main sort une fleur,symbole d’espoir et de renaissance. Mais sa fragilité est soulignée par la

lunaire et non le paradis terrestre qui est blanc. Jusque dans la mort Cyrano refuse d’appartenir au monde des hommes il est l’homme lunaire. Le héros tragique : Cyrano le chevalier déchu qui pense à sa mort. Cyrano écrit lui-même son épitaphe. « Ci gît etc… » C’est la seule façon de ne pas être déçu et de ne rien oublier de ce qu’il fut. L’énumération est longue. « Mon panache » dernier sursaut avant une mort brutale et inattendue. Le public ne veut pas que Cyrano meurt. Par son « panache » il devient

une rivière remplie de canaux qui fuient le danger et les retombées de l’explosion. Au milieu du 2e plan à droite on peut voir aussi une route, des personnes qui fuient aussi le danger comme des Fourmies insifignantes. Encore au 2eme plan, un homme git au sol et agonise, il a surement été blessé par l’explosion, il crie à l’aide mais personne ne vient. Des lignes de fuites mettent en évidence le personnage central du tableau. Au 1er plan à droite et au milieu, des monstres mort eux aussi. Meidner

ballants. Ces deux personnages représentent la vie, l’innocence assassinée. Le soldat mort Il git, démembré, dans le bas du tableau. Sa main est encore refermée sur une épée brisée, c’est la figure du combattant. De cette main sort une fleur, symbole d’espoir et de renaissance. Mais sa fragilité est soulignée par la finesse du contour. La femme

espace fermé. Il s’agit d’une représentation de la ville de Guernica après le bombardement du 26.04.1937. Organisé comme une frise ce tableau nous montre une femme qui tient un enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, au premier plan à gauche git un soldat,. Au centre du tableau sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. En bas à droite une femme a un genou à terre, et au-dessus une femme levé les bras au ciel. Il est exposé à Madrid en Espagne - La répression figurée:

à ne pas avoir de problèmes au point de sembler différent des communs mortels. Son joujou, dont il n’est pas dit ce que c’est, est en harmonie avec lui (aussi frais que... ), est riche, colorié et recouvert d’ornements. L’enfant pauvre, par contre, git dans les herbes de champ, est sale, ne jouit pas de bon santé, est comme un parias, et sa beauté est difficile à découvrir. Il est en harmonie avec son joujou qui est un rat. Ce qui sépare les deux mondes est le portail du château. 5. Pour voir la beauté

est le plus important. Il représente une tranchée. Comme le soleil est à l’horizon, on peut penser que c’est la fin d’une journée de combat. Le seul personnage de la scène porte un masque à gaz. Il est immobile et emmitouflé dans un drap. A sa gauche gît un cheval éventré par une mitrailleuse. Sur la droite du panneau s’élève un charnier humain. Les corps sont transpercés, éventrés. Au milieu d’eux il y a un fusil baïonnette au canon. Une charpente tient encore debout et un squelette y est suspendu

soutien pour continuer la lutte. La lampe est dirigée vers le cheval ou le peuple. Elle renvoie à la statue de la Liberté de Manhattan et aux symboliques de femmes portant des lampes, incarnant l'avenir, la sagesse. - Le guerrier et l'épée: Au sol gît le combattant décapité. Son bras sectionné démontre l'horreur et la violence de la guerre. Les bras en croix évoquent un crucifié, mort pour avoir pris la défense de la liberté. L'enchevêtrement du soldat avec les pattes du cheval symbolise leur union

de la BrentaSous une treille. Sans doute tu l’as vue aussi,Vivante encore, Dieu merci !Malgré nos armes,La pauvre vieille du Lido,Nageant dans une goutte d’eauPleine de larmes. Toits superbes ! froids monuments !Linceul d’or sur des ossements !Ci-gît Venise.Là mon pauvre coeur est resté.S’il doit m’en être rapporté,Dieu le conduise ! Mon pauvre coeur, l’as-tu trouvéSur le chemin, sous un pavé,Au fond d’un verre ?Ou dans ce grand palais Nani ;Dont tant de soleils ont jauniLa noble pierre ? L’as-tu

médecins convainquent la mère de Lauren que celle-ci ne se réveillera jamais, et qu'il vaudrait mieux pour elles de pratiquer une euthanasie. Comment s'aimer quand un des deux amants risque de disparaître dès qu'on décidera de débrancher le corps qui gît à l'hôpital ? Il faut y croire. Il faut refuser l'inéluctable. Il faut bouger, rire, inventer. Et ils s'y emploient tous les deux avec une énergie et un enthousiasme magnifiques.