Git

où descendait un corbillard. Ce jour-là, Victor Hugo était honoré par des funérailles nationales et ses cendres déposées dans la crypte du Panthéon. Maurice Barrès, dans Les Déracinés, après avoir décrit la ferveur de la foule, ajoutait : « Hugo gît désormais sur l'Ararat du classicisme national ». Comme nous sommes loin de la réticence d'André Gide qui s'exprimait ainsi... »

distributionONCF : Offre LogistiqueNos référencesPonce Entrepots Transport combiné hors et sous douane Rail / Route Offre globale Port Sec Hub transport routier hors et sous douane 7 Moyens de ee | Superficie aEGeaitens Installations STU git} ° 6,5 Hectares * 4engins de * Capacité: plus de 30T 150000 chacun EVP/an * dengins de * Parking de moins de 8T 7000m2 * 2voies * 28 caméras férrées de de vidéos 600 ml surveillance chacune * Systeme * Pont bascule anti 60T Intrusion * Bureau

des vieux clans, des nains et des démons,Ami, te garde encor, sur le granit des monts,L’homme immobile auprès de l’immuable chose. Viens. Partout tu verras, par les landes d’Arèz,Monter vers le ciel morne, infrangible cyprès,Le menhir sous lequel gît la cendre du Brave ; Et l’Océan, qui roule en un lit d’algues d’orIs la voluptueuse et la grande Occismor,Bercera ton cour triste à son murmure grave. Heredia, « les trophées » - 1893  LE SYMBOLISME - Milieu du XIXème Le Symbolisme se

m'effraye pas, moi qui suis craintif, Pas plus que les mots impies prononcés contre les dieux sacrés. Si nous avons désormais rempli les années fixés par le destin, Fait que la pierre se dresse au-dessus de mes os avec ces caractères inscrits : « Ci gît Tibulle, qui a succombé à une mort cruelle, Pendant qu'il suivait Mesalla sur terre et sur mer » 2. Commentaire : Tibulle est un auteur latin de l'époque des autres grands auteurs : Virgile,

(entre 1937 et 1939), il est exposé au musée centre de l'art Reina Sofia de Madrid. Au premier plan, on voit une assiette remplie de seulement 5 haricots (dont 1 éclaté), et d'une photo déchirée de Hitler. Au dessus de cette assiette, un téléphone cassé gît sur une branche coupée. Sur cette même branche, un parapluie est accroché, derrière lequel une femme se cache. En dessous de l'assiette, une coquille d'huître est posée sur le sol. Du téléphone sort une goutte, le micro est cassé. Il y a 2 chauves-souris

| |A droite du cheval une femme accourt malgré sa blessure à la jambe. Sa pose est orientée selon la diagonale tombante, elle referme la composition. | |En bas de cette pyramide le soldat mort, il gît, démembré, la tête et un bras sont coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée. De cette main sort une| |fleur symbole d’espoir et de renaissance. Mais sa fragilité est soulignée par la finesse du contour.

anges noirs! dans l'après-midi, tard, Comme il est douloureux de voir un corbillard, Traîné par des chevaux funèbres, en automne, S'en aller cahotant au chemin monotone, Là-bas vers quelque gris cimetière perdu, Qui lui-même, comme un grand mort gît étendu! L'on salue, et l'on est pensif au son des cloches Elégiaquement dénonçant les approches D'un après-midi tel aux rêves du trépas. Alors nous croyons voir, ralentissant le pas, À travers des jardins rouillés de feuilles mortes, Pendant que

différents animaux et personnages aux traits déformés. Le centre est occupé par une lampe en forme d’un °il, et qui domine toute la scène. Au-dessous, la silhouette d’un cheval, dont les violentes contorsions traduisent une immense frayeur. Au sol, gît le corps écartelé d’un soldat : au bout du bras, détaché du corps, la main étreint encore une épée et une fleur. A gauche, sous la tête menaçante d’un taureau, une femme crie désespérément en serrant dans ses bras le petit corps inerte d’un enfant

langue pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé, basculé vers le haut, la mère hurle au ciel sa détresse. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. Le soldat mort Il git, démembré, dans le bas du tableau, la tête et un bras sont coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée C’est la figure du combattant. De cette main sort une fleur,symbole d’espoir et de renaissance. Mais sa fragilité est soulignée par la

ainsi que celle de Roland. En effet, aux v1, v3, v12, v21, on observe deux répétitions différentes : « Roland sent que la fin est proche » v1/ « Roland le sent, sa vie est épuisée » v12 et : « Dessous un pin il est allé courant » v3/ « Le comte Roland git dessous un pin ».   Ces répétitions forcent le lecteur à s’imaginer Roland souffrir, allongé sous un pin, en train de mourir. En lisant ces vers, on ne peut pas s’empêcher de se figurer le Chevalier à l’agonie. De cette manière, le narrateur renforce