Git

personnages et d'animaux dans un espace fermé. Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite: Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au-dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras.

pointue sort de la bouche hurlante. Le visage, à la fois de face et de profil est renversé, basculé vers le haut, la mère hurle au ciel sa détresse. L'enfant dans ses bras a les yeux vides, la tête et les bras ballants. Le soldat mort Il git, démembré, dans le bas du tableau, la tête et un bras sont coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée C’est la figure du combattant. De cette main sort une fleur, symbole d’espoir et de renaissance. Mais sa fragilité est soulignée par

de la fête. • v14 : "sans ombre" caractère surnaturel (→ marraine de Dieu). Elle s'agenouille : geste de vénération, d'acceptation. Pont-au-Change : richesse + métamorphose (ce pourquoi elle prie). Changement d'un état à un autre. • v15 : le coeur gît : changement opéré. • v16 : constat. L'univers se transforme, description hérotisée ? • v17 : les baisers viennent au secours du poète qui était plongé dans le désespoir • v 20/21 : joie d'avoir atteint la signification parfaite, un monde idéal,

n’est privilégié et le spectateur est invité à tourner autour du groupe et à s'approcher pour sentir l'angoisse émanent des deux protagonistes. La scène est puissamment rendue et l'échelle quasi humaine du duo rend ce tableaux très réaliste. Méduse gît au sol, hurlante, le regard plein de rage. Elle n'en reste pas moins sublime. Vraie femme fatale, cette représentation de méduse s'inscrit dans un siècle où la femme, sujet de prédilection de l'art, est sexualisée. Même si la représentation antique

Dans le tram, dans mon bureau, sur mon vélocypède, je vois des escaliers,qui montent;et descendent,le train de la réalité. Le train ne s’arrête jamais,Tiré par la locomotive pensée,Où chaque idée n’est déjà plûtDONG DOONG DOOONGLa Grande Gaïa sonne , les murs de la chambre tremblent et des boûts de plâtre noirs de crasse se détachent par plaques fines du mur nord avant de s’écraser au sol en un bruit mât. Dans la petite chambre sous les combles le toit semble vouloir s’effondrer, se tasser sur le

altier, Quand la mort ancienne est comme pour Gautier De n’ouvrir pas les yeux sacrés et de se taire, Surgisse, de l’allée ornement tributaire, Le sépulcre solide où gît tout ce qui nuit, Et l’avare silence et la massive nuit. Dans cette dernière strophe, Mallarmé réintègre l’image de la tombe. Mais non plus comme cet objet présent où gît la dépouille de Gautier : la tombe apparaît presque comme une récompense, la rémunération de l’effort du poète. La mort ne suscite nullement l’imagerie baudelairienne

personnages et d'animaux dans un espace fermé. Organisé comme une frise, Guernica peut être décrit de gauche à droite : Une femme tient son enfant dans ses bras, la tête rejetée en arrière, derrière elle un taureau et un oiseau. Au premier plan à gauche gît un soldat. Au centre du tableau, sous une ampoule électrique, un cheval se tord de douleur. A droite, en bas, une femme, un genou à terre. Au dessus d'elle, le buste d'une femme portant une lumière. Enfin, à droite, une femme levant les bras. L’œuvre

du pays, faire la terre. Ce qui représente le terroir du Québec. Samuel Chapdelaine décrit avec enthousiasme et entêtement ce qu'est le principe de faire la terre pour lui: « Faire la terre! C'est la forte expression du pays qui exprime tout ce qui gît de travail terrible entre la pauvreté du bois sauvage et la fertilité finale des champs labourés et semés.²» Le terroir du Québec de Louis Hémon est bien illustré lorsqu'il parle de l'amour de la terre de la part de la famille Chapdelaine mais ce roman

légumes que l’on trouve en Provence. On trouve encore un puits, qui est certainement à sec, ce qui est un mauvais signe pour la vie de cet endroit. Après cette petite visite impromptue, je me repose un instant et je m’assieds sur une ancienne meule qui gît ici comme une relique. Je ferme les yeux et je m’interroge, qui a bien pu habiter cet endroit et pourquoi il n’y a plus personne ? Assis sur ma pierre, je me laissais doucement caresser par les rayons du soleil et le vent qui venait de se lever balançait

personnages composent la toile : 3 animaux et 6 Hommes. -Le taureau représente la brutalité. -La femme est en larme elle incarne le peuple qui souffre. -L’enfant mort symbolise, à travers l’enfance, l’innocence assassinée. -Le soldat git, démembré, dans le bas du tableau, la tête et un bras sont coupés. Sa main est encore refermée sur une épée brisée. L’épée brisée montre la défaite. Le soldat représente les républicains. La fleur, au dessin faible et effacé c’est l’espoir qui disparait