Giuliano da Sangallo

projection, chacune pourvue de deux grands contreforts radiaux, qui devaient équarrir sa forme demi-circulaire. Raphaël Après la mort du pape Jules en 1513, Bramante (mort en 1514) fut remplacé par Giuliano da Sangallo, Fra Giocoldo, qui moururent tous deux en 1515, et Raphaël. Le changement principal dans le plan de Raphaël fut la nef à cinq baies, avec une série de chapelles absidiales dans les allées latérales. Le plan de Raphaël pour le chœur et les transepts

croisée. Dans les édifices de petit volume, il adoptait le plan centré (c'est à dire constitué par un volume unique qui peut être inscrit dans un cercle), lequel avait disparu depuis les baptistères romains : Madonna delle Carceri de Prato (Giulano da Sangallo). Le plan centré se prêtant mal à la réunion de grandes foules, on eut l'idée au XVe siècle d'établie un sanctuaire de plan centré au bout d'une nef : Annunziata de Florence (Michelozzo), Santa Maria delle Grazie à Milan (Bramante). Le concile de

août 1580. C’est un architecte de la Renaissance Italienne. L’auteur d’un traité intitulé Les quatres livres de l’architecture. Formation : A 13 ans il est inscrit par son père pour 6 ans dans l’atelier de l’architecte et sculpteur Bartolomeo Cavazza da Sossano à Padoue. En avril 1523, il s’enfuit à Vicence, mais il est contraint de revenir pour rupture de contrat. Un an plus tard, il s’inscrit à la corporation des sculpteurs de Vicence. En 1537, il est appelé comme maître d’œuvre par le Comte Giangiorgio

perspective comme une sorte de mesure de l’espace (géométrisation de l’espace). Il relie cela au développement de la cartographie, et également à la mesure du temps qui se développe : l’horloge mécanique. Masaccio (1401-1428). Peut-être élève de Gentile da Fabriano, peintre du gothique international (… TD), qui a sans doute assimilé la leçon de Donatello et de Brunelleschi. Vasari fait de lui un artiste un peu bizarre, qui n’a aucun soin pour ses vêtements, son logement, quelqu'un de désordonné, mais

Masseot (cé) Alberti, Léon Battista (arch, sc) Altdorfer, Albrecht (pt) Amati, Andrea (lut-v) Amati, Antonio (lut-v) Ammanati, Bartolommeo (arch) Andreoli, Giorgio (cé) Androuet du Cerceau, Jacques (arch, déc, gr, éb) Angelico, Fra Giovanni da Fiesole (pt) Avelli, Francesco Xanto (cé) Avernier, Antoine (sc) Bataille, Nicolas (tex) Bellini, Giovanni (pt) Bosch, Hieronymus, en fr. Jérôme (pt) Botticelli, Alessandro di Mariano di Vanni Filippepi, dit Sandro (pt) Boucher, Guillaume (orf)

croisée. Dans les édifices de petit volume, il adoptait le plan centré (c'est à dire constitué par un volume unique qui peut être inscrit dans un cercle), lequel avait disparu depuis les baptistères romains : Madonna delle Carceri de Prato (Giulano da Sangallo). Le plan centré se prêtant mal à la réunion de grandes foules, on eut l'idée au XVe siècle d'établir un sanctuaire de plan centré au bout d'une nef : Annunziata de Florence (Michelozzo), Santa Maria delle Grazie à Milan (Bramante). Le concile de

du réel. La perspective serait pour lui, le caractère propre de la modernité, un monde dont Dieu se serait absenté, déjà cartésien où n’existent que l’étendue & la matière. On a plus besoin de Dieu, un mode de représentation déthéologisé. Masolino da Panicale, Miracle de la neige 1428 : Le tableau fait coexister 2 espaces : 1 espace théologique, la vision spirituelle du Christ & sa mère / Le monde réglé par la perspective rigoureuse et centrée. Le monde de la perspective, monde de l’humanité, rationnel

Si Alberti apparaît davantage comme un savant, épris d'architecture, Baccio Pontelli ou Chimenti Camicia avant tout comme ingénieurs-architectes, et Léonard de Vinci comme ingénieur-artiste, génial autodidacte, et architecte, Bramante, Giuliano et Antonio da Sangallo sont présentés comme des architectes à part entière, véritables phares de la profession autour de 1500. La carrière de Brunelleschi (1377-1446) est à cet égard exemplaire. Associé comme sculpteur à la réalisation des portes du baptistère

minutie descriptive est également indépendante du modelé. Au moyen d’un modelé rigide et relativement peu contrasté, Piero di Cosimo montre les moindres bombements et creusements des tempes, des pommettes, des joues et du menton (Portrait de Giuliano da Sangallo, Amsterdam) aussi efficacement qu’Andrea del Sarto le fait au moyen d’un modelé souple et assez fortement contrasté (Portrait du maître verrier Becuccio, Edimbourg), tandis qu’avec un modelé lui aussi contrasté et souple, Pontormo tend à ramener