Giulio Romano

Presented at the EU Presidency Conference 'The Governance and Regulation of Financial Institutions: Lessons from the Crisis' in Madrid 16th June 2010 Title Corporate Governance, Corporate and Employment Law, and the Costs of Expropriation Author(s) Giulio Ecchia, University of Bologna, Martin Gelter, WU Vienna University of Economics and Business, and ECGI, Piero Pasotti, University of Bologna Date July 2009 Serial No Law Working Paper No. 128/2009 Keywords corporate governance, ownership structure

Presented at the ​ EU Presidency Conference 'The Governance and Regulation of Financial Institutions: Lessons from the Crisis'​ in Madrid 16th June 2010 Title Corporate Governance, Corporate and Employment Law, and the Costs of Expropriation Author(s) Giulio Ecchia​ , University of Bologna, ​ Martin Gelter​ , WU Vienna University of Economics and Business, and ECGI, ​ Piero Pasotti​ , University of Bologna Date July 2009 Serial No Law Working Paper No. 128/2009 Keywords corporate governance, ownership

161-175 Luisa Pomar L’immagine del Messico nel «Costume antico e moderno» di Giulio Ferrario 177-192 Indice Massimo De Giuseppe, Missionari e religiosi italiani in Messico tra porfiriato e rivoluzio- ne: documenti dal vicariato apostolico della Baja California 193-230 Franco Savarino Le relazioni fra l’Italia e il Messico tra le due guerre mondiali 231-247 Hilda Iparraguirre La experiencia de Ruggiero Romano en la historiografía italiana en torno a México 249-257 Ma. Alicia Puente

le (pt) Piero di Cosimo (pt) Pontormo, Jacop Carucci dit le, (pt) Primatice, Francesco Primaticcio, dit le (pt, déc) Quarton, Enguerrand (pt) Raphaël, Raffaello Sanzio, dit (pt) Robbia, Andrea della (sc, cé) Robbia, Luca della (sc, cé) Romano, Giulio (Romain, Jules) (pt, arch) Rosselino, Antonio (pt) Rosselino, Bernardo (sc) Rosso Florentino, Giambattista di Jacopo Fiorentino, dit (pt, déc) Salò, Gasparo da (lut-v) Salviati, Francesco (joa) Sambin, Hugues (arch, sc, éb) Sangallo, Giuliano

du Vatican Ce fut le cas de De Gasperi bibliothécaire auxiliaire qui écrivait parfois dans les publications vaticanes sous le pseudonyme de Fortis et de Gonella qui eut une large audience sous le nom bizarre de Gog par ses articles dans Osservatore Romano Le Pape Pie XI les avait protégés surtout De Gasperi lorsque Mus solini avait exigé on les lui livrât Mais le Souverain Pontife avait sûre ment pas misé sur eux pour créer un parti après expérience de Don Sturzo33 Le vide pour les catholiques était

568. En effet, cette zone marécageuse, difficile d'accès pour des navires à quille, était restée sous la juridiction de Venise l'exarchat de Ravenne, province de l'Empire romain d'Orient. Elle fut donc initialement un refuge de la civilisation romano-byzantine mais au fur et à mesure de son développement, son autonomie s'accrut pour aboutir à l'indépendance. Profitant de l'antagonisme entre l'exarchat de Ravenne et les Lombards, les Vénitiens élargirent leur marge de manœuvre politique et se dotèrent

forme classique vêtue de lumière et de couleur : c’est l’aboutissement de toute la Renaissance. Au contraire Michel-Ange porte à son plus haut degré de tension la rudesse et la violence plastique de ses personnages. Le style de Raphaël survit chez Giulio Romano sous forme d’une élégance raffinée. C’est cependant la manière de Michel-Ange qui domine le climat romain. Plus tard s’affirme à Rome d’une part une tendance à la rigueur et le dépouillement en accord avec l’esprit nouveau de la Contre-Réforme

Sangallo ou des humanistes ou savants comme Pic de la Mirandole. À Ferrare, Hercule Ier d'Este eut un rôle comparable. Le banquier siennois Agostino Chigi soutint financièrement des artistes et des écrivains tels que Le Pérugin, Giovanni da Udine, Giulio Romano, Baldassarre Peruzzi, Sebastiano del Piombo, Le Sodoma, Raphaël et L'Arétin. À la même époque, le cardinal et ministre Georges d'Amboise, grand mécène, fut l'un des principaux introducteurs de la Renaissance en France. Le roi François Ier ainsi

d’un rejet de la classe politique et de l’opération « mains propres » qui met au grand jours la corruption d’un grand nombre de parlementaires et qui aboutit à la condamnation notamment de deux anciens présidents du Conseil : le démocrate-chrétien Giulio Andreotti et le socialiste Bettino Craxi. Les partis du système s’effondrent notamment la Démocratie chrétienne. Les forces politiques se recomposent : à droite avec la création de « Forza Italia » de Silvio Berlusconi qui occupe l’espace laissé

Italiens se sont déplacés pour le référendum qui l’a entérinée ! Cinq ans après, le même scénario semblait devoir se répéter : le gouvernement Bossi-Berlusconi a en effet lancé une autre réforme constitutionnelle, qui, après des polémiques très vives – Romano Prodi, alors chef de l’opposition, a été jusqu’à la définir comme « une tragédie pour le pays »1- a été adoptée par le Parlement mais a du elle aussi être soumise à référendum populaire, faute d’une majorité suffisante à la Chambre. Cette fois, le