Givre

une atmosphère annonciatrice de mort. - La présentation du héros comme automate. - Aspect ironique et critique de la représentation du duel. I) Décor et angoisses. A- Le froid et anticipation de la mort. Champs lexical du froid: "hiver, givre, gelée, lisse et de glace".L'aspect rude de ce froid. C'est un froid très âpre premier paragraphe "c'était ...cristal" = froid dure = il y a une allitération dentale en "de", "te" = claquement de dent qui soit lié au froid ou à la peur. Réf chapitre

préférence Les gens allaient sans yeux pour vous le jour durant Mais à l'heure du couvre-feu des doigts errants Avaient écrit sous vos photos MORTS POUR LA FRANCE Et les mornes matins en étaient différents Tout avait la couleur uniforme du givre À la fin février pour vos derniers moments Et c'est alors que l'un de vous dit calmement Bonheur à tous Bonheur à ceux qui vont survivre Je meurs sans haine en moi pour le peuple allemand Adieu la peine et le plaisir Adieu les roses Adieu la

ces bises aigres Quoi donc vous arrive ? Dans l’interminable Ennui de la plaine La neige incertaine Luit comme du sable. Paul Verlaine, Romances sans paroles (1874) SOIR D’HIVER Ah ! comme la neige a neigé ! Ma vitre est un jardin de givre. Ah ! comme la neige a neigé ! Qu’est-ce que le spasme de vivre À la douleur que j’ai, que j’ai. Tous les étangs gisent gelés, Mon âme est noire ! où-vis-je? où vais-je ? Tous ses espoirs gisent gelés : Je suis la nouvelle Norwège D’où les

contraste du blanc de la neige et du noir de la nuit : "Noirs dans la neige". Le lecteur retrouve implicitement la même opposition à la fin du poème, lorsque la description abandonne le fournil pour retrouver le spectacle de la rue avec l'évocation du "givre" (v.26) et de la "chemise" qui "tremblote / au vent d'hiver" (la version du Recueil de Douai disait : "Et que leur lange blanc tremblotte" - Rimbaud écrit tremblote ave deux "t"). Tout au long du poème, on peut observer un autre effet de clair-obscur

donnent envie de consommer. Nous allons donc analyser l’image. Tout d’abord, cette image est une photographie. Ensuite, on peut observer que la jeune femme est placée au centre de l’image et sous l’arbre givré. En ce qui concerne les lignes de force, on a donc les lignes de l’arbre givré qui sont situées en haut de l’image, les plis de la robe de la jeune femme forment d’autres lignes de force, ainsi que la porte située derrière la jeune femme. Dans cette annonce, on observe que les couleurs

présente dans le texte. Premièrement, on constate que le champs lexical de la tristesse est présent. Hugo restitue par la structure simple du premier vers, l’impression de découverte, de rencontre due au hasard : « Un pauvre homme passait dans le givre et le vent ». Quand l'auteur écrit « pauvre homme », « le pauvre » puis « le vieillard », la métamorphose est progressive. « le vieux qui vit dans une niche » démontre que le poète exprime la misère mais en même temps l'acceptation de celle-ci , une

III la première nomination des choses, ça n’est pas vraiment ce qu’on appelle de la « lecture ». Je me souviens de la première fois où, bien plus tôt, ma mère me montra et nomma le givre, sur un bouleau pleureur qui a disparu, au carrefour d’un chemin qui n’a pas disparu. J’ai compris en un éclair ce qu’était le givre, et j’ai su son nom : lire Le Grand Meaulnes est une expérience du même ordre. Je lisais Jules Verne ou James Oliver Curwood. Je ne lisais pas Le Grand Meaulnes, il m’était révélé,

terre est tout à fait lamentable. Baudelaire prétend que si ces individus vivent de façon misérable sur terre, alors la mort leurs rendra justice : « A travers la tempête, et la neige, et le givre, C'est la clarté vibrante à notre horizon noir » Les termes « la tempête », « la neige », et « le givre » entrainent le lecteur dans l’atmosphère sombre et maussade de la vie réelle des pauvres. « La clarté vibrante », signifiant le décès, cette lumière au bout du tunnel, vient ensuite produire un

EL TEXTE « Le Mendiant »Instabilités politiques et mutations sociales marques le 19eme siècle, après les espoirs déçus de la Révolution française. Dans un premier temps, les écrivains romantiques expriment donc un désenchantement. Se développe alors ce que Musset appel « le mal du siècle » dont le héro romantique Victor Hugo se fait le chef de file. Ecrivain et homme politique considéré comme le plus important des écrivains romantiques de la langue française, il s'adonne à tous les genres. En 1868

avaient été créés par dieu pour être libre et heureux. L’image de l’amour est aussi peinte à travers les nombreuses comparaisons. En effet il y a de nombreuses comparaisons dans la strophe : « Comme la vitre pour le givre » Il est vrai que l’hiver apporte le froid et l’apparition de givre sur les vitres est un quelque chose de logique. Cette chose qui paraît logique et normal est comparée au fait qu’ils sont « faits pour être heureux » et « libres ». Les comparaisons s’enchaînent avec notamment : «