Commentaire de texte
En effet il y a de nombreuses comparaisons dans la strophe : « Comme la vitre pour le givre » Il est vrai que l’hiver apporte le froid et l’apparition de givre sur les vitres est un quelque chose de logique. Cette chose qui paraît logique et normal est comparée au fait qu’ils sont « faits pour être heureux » et « libres ». Les comparaisons s’enchaînent avec notamment : « et les vêpres pour les aveux ». Les vêpres désignent l’heures de l’office, entre none et complies, que l’on récite ou que l’on chante. Les vêpres sont associées aux « aveux ». Une fois de plus Aragon compare sa relation avec quelque chose de conforme. Il continu et