Commentaire sur le mendiant
Victor HUGO est un des plus grands romantiques français et le chef de fil du romantisme, mouvement littéraire et artistique européen du début du XIXe siècle. Lié aux grands changements politiques entre 1800 et 1850, ce mouvements provoque « le vague des passion » chez les romantiques, ils se retournent sur eux-même ce qui crée la poésie lyrique. « Le mendiant » de Victor HUGO est un poème de se genre, qui illustre l'accueil d'un mendiant chez Victor HUGO. Ce poème fait parti de les Contemplations écrit en 1856 qui est l'une de ses œuvres les plus importantes. Dans un premier temps, ce texte évoque la misère, mais dans un deuxième temps, il évoque aussi une ambiance chaleureuse.
Dans la première partie, nous remarquons que la misère est présente dans le texte.
Premièrement, on constate que le champs lexical de la tristesse est présent. Hugo restitue par la structure simple du premier vers, l’impression de découverte, de rencontre due au hasard : « Un pauvre homme passait dans le givre et le vent ». Quand l'auteur écrit « pauvre homme », « le pauvre » puis « le vieillard », la métamorphose est progressive. « le vieux qui vit dans une niche » démontre que le poète exprime la misère mais en même temps l'acceptation de celle-ci , une niche fait référence à un abris pour chien qui a un espace très réduit, et l'appellation « le vieux » est péjoratif. Dans cette phrase, le mendiant est un être inférieur à l'homme. Plus loin, quand Hugo précise que c'est un homme « solitaire », nous remarquons que cet adjectif renforce encore plus l'idée que le mendiant vit dans la misère. « Son manteau, tout mangé des vers, et jadis bleu » nous informe qu'il est ancien, que ce vieillard n'a pas pu s'en acheter un autre et qu'il est misérable. Les « mille trous » dans sa bure, synonyme de pauvreté, sont pitoyables.
Deuxièmement, nous analysons que la vie dehors est malheureuse. Dès le premier vers,