Glaive Epee

qui veut partir au plus vite, est arrêté par l’arrivée de Phèdre. Scène 5 : Sous couleur de lui peindre son amour pour Thésée, Phèdre avoue à Hippolyte l’amour qu’elle éprouve pour lui. Repoussée avec horreur par le jeune homme, elle lui arrache son épée dont elle veut se transpercer. Mais Oenone l’entraîne. Scène 6 : Le fils de Phèdre a été reconnu comme roi par Athènes. Le bruit court que Thésée n’est pas mort. Acte III Scène 1 : Phèdre, qui ne veut pas régner, confesse qu'elle n'a pas perdu tout

chevalier doit prier toute la nuit et fait serment de protéger l’Eglise. Un serment est prêté, par lequel on s’engage à défendre l’Eglise, les miserabiles personae (veuves, orphelins, etc.) et la paix et, au contraire à lutter contre le mal. Son épée est au service de Dieu et de la justice, de l’équité. On constate que l’Eglise a essayé de moraliser une société violente en juxtaposant à des rites militaires un idéal chrétien. À l’origine, tout chevalier peut armer chevalier un roturier

Karl, son compagnon dans la vie, et dont Alaric était le parrain. D’où l’ardeur que ce dernier mettait à accomplir son travail. Certes, il avait été consciencieux avant l’incident. Après tout, combien d’autres carrières vous autorisaient l’usage d’une épée ? Fort peu, à sa connaissance. Or, Alaric adorait son arme, affectueusement surnommée Triste-Fin. Contrairement aux humains, la lame ne mentait pas. Elle ne trichait pas non plus, frappait sans discrimination, même si les vampires étaient bêtes

chevalier doit prier toute la nuit et fait serment de protéger l’Eglise. Un serment est prêté, par lequel on s’engage à défendre l’Eglise, les miserabiles personae (veuves, orphelins, etc.) et la paix et, au contraire à lutter contre le mal. Son épée est au service de Dieu et de la justice, de l’équité. On constate que l’Eglise a essayé de moraliser une société violente en juxtaposant à des rites militaires un idéal chrétien. À l’origine, tout chevalier peut armer chevalier un roturier

le chevalier doit prier toute la nuit et fait serment de protéger l’Eglise. Un serment est prêté, par lequel on s’engage à défendre l’Eglise, les miserabiles personae (veuves, orphelins, etc.) et la paix et, au contraire à lutter contre le mal. Son épée est au service de Dieu et de la justice, de l’équité. On constate que l’Eglise a essayé de moraliser une société violente en juxtaposant à des rites militaires un idéal chrétien. À l’origine, tout chevalier peut armer chevalier un roturier ou même

forces lui revinrent ; et on le promenait dans la cour, le vieux moine et le bon seigneur le soutenant chacun par un bras. Quand il fut rétabli complètement, il s'obstina à ne point chasser. Son père, le voulant réjouir, lui fît cadeau d'une grande épée sarrasine. Elle était au haut d'un pilier, dans une panoplie. Pour l'atteindre, il fallut une échelle. Julien y monta. L'épée trop lourde lui échappa des doigts, et en tombant frôla le bon seigneur de si – 57 – près que sa houppelande en fut coupée

forces lui revinrent ; et on le promenait dans la cour, le vieux moine et le bon seigneur le soutenant chacun par un bras. Quand il fut rétabli complètement, il s’obstina à ne point chasser. Son père, le voulant réjouir, lui fît cadeau d’une grande épée sarrasine. Elle était au haut d’un pilier, dans une panoplie. Pour l’atteindre, il fallut une échelle. 98 Julien y monta. L’épée trop lourde lui échappa des doigts, et en tombant frôla le bon seigneur de si près que sa houppelande en fut coupée.

forces lui revinrent ; et on le promenait dans la cour, le vieux moine et le bon seigneur le soutenant chacun par un bras. Quand il fut rétabli complètement, il s'obstina à ne point chasser. Son père, le voulant réjouir, lui fît cadeau d'une grande épée sarrasine. Elle était au haut d'un pilier, dans une panoplie. Pour l'atteindre, il fallut une échelle. Julien y monta. L'épée trop lourde lui échappa des doigts, et en tombant frôla le bon seigneur de si près que sa houppelande en fut coupée. Julien

Est-il aussi beau que toi, Iokanaan ? IOKANAAN Arrière ! Arrière ! J'entends dans le palais le battement des ailes de l'ange de la mort. LE JEUNE SYRIEN Princesse, je vous supplie de rentrer ! IOKANAAN Ange du Seigneur Dieu, que fais-tu ici avec ton glaive ? Qui cherches-tu dans cet immonde palais ?... Le jour de celui qui mourra en robe d'argent n'est pas venu. - 20 - SALOMÉ Iokanaan ! IOKANAAN Qui parle ? SALOMÉ Iokanaan ! Je suis amoureuse de ton corps. Ton corps est blanc comme le lis d'un

écrire, des poëmes aussi vastes que la nature, aussi resplendissants que le ciel, aussi pathétiques que les gémissements de brises de mer dans les têtes des pin-liéges et dans les feuilles des lentisques, qui coupent le vent comme autant de petits glaives, pour le faire pleurer et sangloter dans des millions de petites voix. La nuit me surprenait souvent ainsi, sans pouvoir m'arracher au charme des fictions dont mon imagination s'enchantait elle-même. Oh! quels poëmes, si j'avais pu et si j'avais su