Glaive

de spectacle, celle des condamnés à mort.A l'heure du déjeuner, devant des gradins souvent vides, martyrs chrétiens et condamnés étaient exécutés lors de spectacles sanglants. D'après la loi romaine, les citoyens condamnés à mort périssaient par le glaive ; mais on livrait aux bêtes fauves, dans les amphithéâtres, les esclaves ou les étrangers condamnés. On variait les destructions au gré de ceux qui les ordonnaient. Tantôt, le condamné était poussé à coups de fouet, par un valet d'amphithéâtre, contre

scène de la Piéta (La piéta est la scène ou la vierge Marie pleure son fils Jésus après la crucifixion) cette figure donne une dimension religieuse au tableau et elle témoigne aussi de l’innocence des victimes. Un soldat mort qui tient dans sa main glaive brisée. Ce soldat démontre l’inégalité des forces lors du bombardement de la ville de Guernica. Une jument qui d’après Picasso représente le peuple espagnol se faisant brutaliser par le taureau qui lui représente la force qui est Franco. Au fond

moyen d'éliminer sa douleur. | |Preuves |« Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, | | |le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante | | |rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. […] Tout mon être s'est tendu | | |est

mes sourcils a coulé d'un coup sur les paupières et les a recouvertes d'un voile tiède et épais. Mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel. Je ne sentais plus que les cymbales du soleil sur mon front et, indistinctement, le glaive éclatant jailli du couteau toujours en face de moi. Cette épée brûlante rongeait mes cils et fouillait mes yeux douloureux. C'est alors que tout a vacillé. La mer a charrié un souffle épais et ardent. Il m'a semblé que le ciel s'ouvrait sur toute

que je prends pour arbitres. Bdélycléon - Eh bien, moi aussi. [Aux esclaves.] Lâchez-le donc tous. [Ils obéissent.] Philocléon - Oui, et donnez-moi une épée; si je suis vaincu dans ce débat, je me transpercerai de mon glaive. Ce passage dénonce le fait que les juré sont manipulé, ici le père ne se rend pas compte qu'il est presque un esclave, il se crois même commandant. Le comique de cette scène est que les rôles sont inversés, le père devient le fils ( il est naïf

avaient pour rôle de surveiller les poids et mesure des marchés. Il a aussi établit une politique de « libre-échange » qui était très ouverte aux nouveau courants. Caracalla lui, est né le 4 avril 188 à Lugdunum et, est mort assassiné d'un coup de glaive, par Martialis près de Harran. D'origine gauloise* punique** et berbère*** par son père Septime Sévère et syrienne par sa mère Julia Domna. Il est empereur romain, homme politique et homme d’État ayant commencé sa carrière en 211 et fini en 217

devant mes yeux » ; « mes yeux étaient aveuglés derrière ce rideau de larmes et de sel » ). La luminosité n'éclaire pas, au contraire, elle est source de confusion : « il avait l'air de rire ». Ce qui conduit le couteau à devenir une « épée » et un « glaive », ce qui fait croire à Meursault qu'il est agressé. Le mot « soleil » est d'ailleurs répété huit fois dans le passage, comme pour l'accuser de la responsabilité des faits. La chaleur a aussi un rôle dans le meurtre. C'est un élément vivant dans le

de plus perçu « indistinctement », et une fois de plus moins pour lui-même que pour la source de lumière qu’il représente, ce qui donne lieu à cette formule curieuse : « le glaive éclatant jailli du couteau », c’est-à-dire une lame sortie d’une lame, ce qui témoigne de la confusion qui règne dans l’esprit de Meursault. Le glaive, au fur et à mesure que la douleur devient de plus en plus insoutenable, se fait « épée brûlante ». Le narrateur achève alors la description de son état physiologique : la

qui m'étreint, qui me brûle et entame. Pour briser donc, pour éteindre et guérir Ce dur lien, cette ardeur, cette plaie, Je ne quiers fer, liqueur, ni médecine: L'heur et plaisir que ce m'est de périr De telle main ne permet que j'essaie Glaive tranchant, ni froideur, ni racine. Joachim du Bellay A une femme Enfant ! si j'étais roi, je donnerais l'empire, Et mon char, et mon sceptre, et mon peuple à genoux Et ma couronne d'or, et mes bains de porphyre, Et mes flottes, à qui la

et prépare ses troupes à un affrontement avec l’armée romaine d’Octave. C’est en –31 avant JC qu’a lieu la bataille d’Actium. Marc Antoine est vaincu, sa flotte anéantie. Persuadé que Cléopâtre est morte, il se suicide en retournant contre lui un glaive. Octave, malgré la promesse qu’il avait faîte à Cléopâtre, assassine son fils Césarion en –30 avant JC. Une reine humiliée L’Egypte est à présent le grenier de l’empire romain. Octave veut ramener Cléopâtre à Rome comme une vulgaire esclave