Globalisation Financiere Et Croissance Mondiale

début de la crise asiatique de 1996-1997 commence avec la Thaïlande, investisseurs et traders commencent à douter que la croissance économique y continue de peur de voir leur profit et bénéfice chuter, du coup, ils retirent leur investissements : la Thaï Central Bank se voit forcé de dévaluer sa monnaie le Baht. C’est ainsi que commence le processus qu’on va appeler la crise financière asiatique de 1997. S’en suit une réaction en chaîne : gouvernement indonésien renversé, dépression dans d’autres pays

économiques à venir. Parmi ces indicateurs, on trouve des indicateurs quantitatifs qui sont des indicateurs dont la valeur provient d’une mesure quantitative. Ainsi, les indicateurs quantitatifs mis en évidence dans cette note sont : le PIB, la croissance, la production, l’emploi, le chômage, le salaire, les revenus des ménages, la consommation et investissements des ménages, investissements et stocks des entreprises, les résultats des entreprises, le commerce extérieur (balance des transactions

processus en cours comme allant dans le sens du progrès, de l’humanité entière et ceux qui au contraire, estiment que la mondialisation aggrave les inégalités entre grandes puissances et le reste, les nations ou les pays en développement. L’espace mondial est marqué par la multiplication des flux de toute nature : échanges commerciaux (produits manufacturés et services), migrations, déplacements touristiques, capitaux, informations et savoirs.

révolution industrielle. i. Les héritages. D’abord dans les « pays noirs » (charbon) mais après partout à la recherche de main d’œuvre abondante, marché. Veille de la guerre : USA, Allemagne et France fournissent 85% des productions mondiales de charbon et d’acier. ii. De nouvelles énergies de nouveaux produits. iii. De nouvelles méthodes de travail. Taylor et l’OST appliquée par Henry Ford dès 1913. iv. Les progrès des transports et des communications

La crise met-elle en péril la mondialisation ? LE monde d’aujourd’hui est frappé par une crise sans précédent, d’une ampleur mondiale cette crise n’avait été prévu que par quelque économistes qui non guère été écoutés, la crise de 2008 soulève plusieurs questions car elle d’une crise financière, nous arrivons à une crise social et identitaire en effet la conjoncture économique actuel favorise la monté des parties extrêmes droite et gauche qui sont contre la mondialisation et la tienne en partie

Globalisation et gouvernance Depuis les cinq derniers siècles, les nations principalement occidentales ont été préoccupées par l’accumulation des richesses, par leur développement et par leur positionnement sur la scène internationale. Hors, aujourd’hui, la mondialisation est en train de changer cette donne puisqu’elle bouleverse l’ordre établi par les nations occidentales. La mondialisation est un phénomène multiforme. D’un coté et dans les faits, elle prend la forme de délocalisation vers

Chapitre 2 : Le triomphe de la globalisation des années 80 ( Milieu années 80 : dérèglementation financière + innovations financières (nvx produits financiers) ( ( Libre circulation des capitaux financiers ( Cette libre circulation des capitaux va aboutir à la constitution de mouvements spéculatifs successifs qui vont eux mêmes être a l’origine de crises spéculatives à répétition qui entraine des crises éco (⇒ cho, précarité sociale). ( Ce chapitre va suivre le déroulement de la crise de 1929

la guerre entre libéralisme et communisme a été gagnée par le premier. Francis Fukuyama voit l’avènement de la « Fin de l’Histoire » avec l’atteinte du meilleur modèle : l’économie de marché et la démocratie. Par exemple, on peut pas relancer la croissance par la baisse des taux d’intérêts comme aux states car la banque européenne est complètement indépendante. De plus les critères en terme de déficit public n’existe pas aux states (100% de déficit), ni au Japon (200%). On a une déréglementation

Depuis quelques années, la presse économique se fait l’écho de la place grandissante des marchés financiers dans le financement de l’économie. A observer les différentes études, les agents économiques s’orientent de plus en plus vers les places financières pour trouver les fonds dont ils ont besoin, ce qui pose la question du rôle des banques aujourd’hui dans l’activité économique. 2. L’activité bancaire peut être considérée comme un commerce ordinaire : effectuer pour le compte d’autrui des recettes

Cours d’HFE du 28/10/2011 L’union européenne des paiements : double contrainte pour les pays signataires. (voir cours précédent) L’instabilité financière insatisfaisante qui aboutisse au serpent monétaire européen avec les accords de Bale pour relance la dynamique. Le serpent monétaire européen : double contrainte car les pays qui y rentrent doivent limiter leurs écarts de change à un maximum de 2.25% premièrement mais les monnaies doivent avoir 2.25% avec le dollar. C’est un système très exigent