Globalisation Phénomène étatique

de la réunification allemande. En 2000-2001, le cycle se retourne, avec une phase de ralentissement assez marquée jusqu’en 2003-2004. Ici encore, la reprise est plus précoce aux Etats-Unis jusqu’à la crise des subprimes de 2007. On observe des phénomènes de volatilité du taux de croissance qui change d’une période à une autre. La volatilité à court terme de la croissance a un impact sur la croissance à long terme. L’impact est double et en sens contraire : - Relation positive : les innovations

mouvements concernent les pays les plus développés, même si des pays en voie de développement sont depuis peu concernés. Ils affectent également la plupart des secteurs mais de manière prépondérante les plus globalisés. Cependant, pour beaucoup, le phénomène n’a rien de fondamentalement nouveau. De fort longue date, la concentration fait partie intégrante de la vie des entreprises. En effet, alors que certaines choisissent de croître sans s’unir à d’autres firmes, en développant leurs propres capacités

internationale , on parle de globalisation , de mondialisation . Il y a différents éléments qui attestent de l'existence de la société internationale : Le tourisme, circulation des capitaux/Marchandises ; Évolution technologique ( internet, transport etc... ) => « grand village planétaire » = 7 milliards d'individus : 1/5 chinois ; 2030 : Inde > Chine ( population) . Société caractérisée par une décomposition en société élémentaire , c'est à dire en État , donc société inter-étatique car est le principal

CHAPITRE I- Qu'est-ce que les relations internationales ? Les RI désignent un type particulier de phénomènes et la discipline de l'étude de ces phénomènes Section 1: le phénomène de relations internationales. l'expression qui le désigne la nature qui le caractérise son origine son évolution. 1. L’expression relations inter. Elle date du 18s L'adjectif international est forgé par Jeremy Bentham (droit des gens en droit international) Le mot se banalise eu 19s Le terme

LA GOUVERNANCE, UN NOUVEAU PARADIGME ÉTATIQUE ? Jacques CHEVALLIER Professeur à l’Université Paris II Panthéon-Assas Directeur du CERSA-CNRS La « gouvernance » est devenue depuis les années 1990 le mot-clé, le mot fétiche, censé condenser et résumer à lui seul l’ensemble des transformations qui affectent l’exercice du pouvoir dans les sociétés contemporaines : promue à tous les niveaux et dans les organisations sociales de toute nature, la logique de la gouvernance affecterait en tout premier

concentration, par le moyen de fusions ou d'acquisitions. Ainsi l'importance des plus grandes multinationales comparée à toutes les autres s'accroît, augmentant leur influence individuelle. Les multinationales sont les vecteurs incontournables de la globalisation économique et financière. Leur rôle est devenu si important que l'on parle au début du XXIe siècle de « diplomatie triangulaire » (Susan Strange), c'est-à-dire de relations entre gouvernements, entreprises et entreprises-gouvernements. Pour Robert

un peu le capitalisme. Ils vont tenter d'objectiver les phénomènes économiques, d'avoir une analyse plus rigoureuse et plus neutre et en somme ils essaient de donner, par exemple, un fondement objectif à la valeur des choses (cf. chapitre 1 sur la valeur des marchés). L'ambition des classiques est de créer une théorie générale de l'économie, c'est-à-dire dégager toutes les lois économiques existantes et surtout considérer que les phénomènes économiques sont inter-dépendants. Sur le fond, ils sont

XIXe. A partir de cette période, les relations internationales sont marquées par trois phénomènes : D'abord l'institutionnalisation de la société internationale (la création d'institutions internationale). En 1919 création de la SDN et de l'OIT. Puis en 1945, la création de l'ONU, des organisations du système des nations unies. Aujourd'hui il y a environ 400 organisations internationales. Ce phénomène marque de son empreinte la société internationale. Toutes les activités humaines sont organisées

chercherons à expliquer les facteurs de ce développement conjoint des banques et marchés financiers. On note plusieurs idées : La plupart des pays ont mis en place des banques universelles Les 2 autres idées porte autour de la question de la globalisation financière. Les innovations financières malgré les évolution positive il y a un bémol celui de l’instabilité financière. « La mutation des systèmes financier » Plusieurs faits reconnus a un système financier : Collecter l’épargne en vue de

objets aux définitions normatives et aux appareils formels créés par les États, à l'exception notable des travaux de certains anthropologues et ethnographes. Ce réductionnisme semble, à première vue, renforcer l'idée qu'en dehors des mécanismes étatiques, formels et officiels de contrôle social et de résolution de conflits, il n'y a pas autre chose. Cela pose un problème épistémologique considérable - le droit, la loi, le crime et la justice étant soumis à des interminables débats depuis plus