Glycosurie

Examen des urines On utilise des bandelettes pour le dosage. Urines simples : les paramètres demandés sont : albuminurie, glycosurie, cétonurie Albuminurie : on procède à l’analyse qualitative en plongeant la bandelette dans l’urine, puis on procède à la lecture après 2minutes au plus en comparant la couleur de la paramètre albumine de la bandelette à celle du flacon . Glycosurie : même procédé que celui de l’albumine mais cette fois ci c’est la couleur de la paramètre sucre qu’on compare à celle

ammoniacale. NB: bandelette urinaire Selon l’article R. 4311-5 n° 39, « l’infirmier peut réaliser dans le cadre de son rôle propre : un recueil des données biologiques obtenues par des techniques à lecture instantanés suivantes : Urines : glycosurie, acétonurie, protéinurie, recherche de sang, potentiels en ions d’hydrogène, pH ». Définition: examen qui met en évidence de façon qualitative et/ou quantitative, différents paramètres afin de dépister ou de surveiller certaines pathologies

sujets jeunes et l’un des premiers symptômes est l’amaigrissement. Il est traité obligatoirement par l’injection d’insuline. Les cellules sont capables d’absorber le glucose qui s’accumule dans le sang ( hyperglycémie) ce qui entraîne : * Une glycosurie : présence de sucre dans les urines. * Une polyurie : urine en quantité abondante due à cette présence massive de sucre. Il en résulte une déshydratation importante malgré une polydipsie ( absorption massive d’eau) compensatrice. Les conséquence

entraînant un taux de sucre trop bas (hypoglycémie). En cas de nutrition parentérale prolongée, le glucose peut affecter la production de l’insuline. Afin d’éviter cet effet indésirable potentiel, et de minimiser le risque d’hyperglycémie et donc de glycosurie, il peut s’avérer utile d’ajouter de l’insuline à la perfusion. Les solutions hypertoniques de glucose doivent être administrées avec précaution chez les patients présentant une décompensation cardiaque ou une fonction rénale déficiente, car il

depuis l’âge de 15 ans, env. 20/jours, il s’est arrêter 3 ans il y a 6 ans. Il est allergique à la pénicilline. Lors de son entré dans notre service il présentait : ‣ Une TA à 14/7 p# 70 T36,9°C ‣ Une hyperglycémie à 4,11 g/L ‣ Une BU à 5g/L de Glycosurie et 0,15g/L d'acétones (hyperglycémie et céto-acidose) ‣ Un ECG normal Suite à la visite de l’interne, il a été prescrit : Une surveillance des urines à chaque miction, Une perfusion de G5 avec pousse seringue d’insuline avec un débit à 2UI/H, Surveillance

(urines, poumons, peau, dents). Toute infection déséquilibre le diabète. II. Glycémie, Glycosurie =>Définitions Glycémie : Taux de glucose (sucre) dans le sang. Celui-ci varie en fonction de : * L’activité de l’individu * Son alimentation * Ses capacités hormonales * Des capacités de l’insuline (l’hormone fabriquée par le pancréas, et dont le rôle est la régulation de Glycosurie : Taux de glucose (sucre) dans le sang. Celui-ci varie en fonction de : * L’activité de

glucose quand la glycémie est supérieure à 1,7 g,L-1 qui est le seuil d'élimination rénale du glucose : il y a alors glycosurie. Avant la pancréatectomie : la glycémie diminue progressivement il n'y a pas glycosurie le glycogène hépatique est à peu près constante Après pancréatectomie : la glycémie augmente rapidement : il y a hyperglycémie la glycosurie apparaît quand la glycémie est supérieure à 1,7g.L-1 qui est le seuil d'élimination rénale du glucose le glucose

plasmatique: vers la 8ème semaine 50 à 100 mg/l puis augmentation régulière : 10 à 14 mg/l en fin de grossesse (relation directe avec la masse placentaire). Une diminution = mole, insuffisance placentaire, souffrance fœtale. 3) Recherche de la glycosurie et de la protéinurie : Ce dépistage se fait systématiquement lors des consultations prénatales à la recherche d’un diabète et/ou d’une HTA 4) Autres analyses : • Glycémie à jeun : à réaliser dès le début de la grossesse et le 2ème et le 3ème

un individu mince et jeune (généralement avant 20 ans et avec un pic de survenue à 12 ans). La maladie évolue rapidement et est caractérisée à une échelle clinique par une émission d’urine excessive (polyurie) et une présence anormale de glucose (glycosurie) et de composés cétoniques (acétone) dans l’urine ; une soif intense (polydipsie) et un amaigrissement malgré une prise abondante de nourriture. A la suite de ces symptômes, un traitement leur est proposé. De plus, l’hyperglycémie chez les diabétiques

cellulaire : Sècheresse des muqueuses Hypovolémie (hypotension : risque collapsus cardio-vasculaire) Pli cutanée Hypotonie des globes oculaires Acidose métabolique : hyperventilation pulmonaire H+ + HCO3-  H2CO3  CO2 + H2O   Glycosurie / cétonurie Ionogramme Hyponatrémie Hyperkaliémie : risque d’arrêt cardiaque si trop important Traitement coma acido-cétosique Réhydratation voir remplissage vasculaire si collapsus CV Correction acidose métabolique par perfusion d’un soluté bicarbonaté