Gouffre

pas : il faut en profiter Coulisse : thème du theatrum mundi, vie : comédie avt de retourner ds obscurité qd spectacle fini = mort Clepsydre = matérialisation tps qui passe, objet crée par l’hô pr penser qu’il le domine, mais s’écoule inexorablement Gouffre comme un ivrogne a toujours soif : il symbolise l’insatiabilité, le néant Insecte : travail ténébreux, voix désagréable, zézayant, vibrante, insecte qui vous pompe le sang et croit et fortifie : image qui symbole l’immondice de la mort et de la putréfaction

s'enfonçait dans l'ombre et la brume, effaré, Seul, et derrière lui, dans les nuits éternelles, Tombaient plus lentement les plumes de ses ailes. Il tombait foudroyé, morne silencieux, Triste, la bouche ouverte et les pieds vers les cieux, L'horreur du gouffre empreinte à sa face livide. Il cria:Mort!les poings tendus vers l'ombre vide. Ce mot plus tard fut homme et s'appela Caïn. Il tombait. Tout à coup un roc heurta sa main; Il l'étreignit, ainsi qu'un mort étreint sa tombe, Et s'arrêta. Quelqu'un, d'en

L’intolérance et la violence, voilà les gouffres où l’humanité menace de s’écrouler gouffres dans lesquelles elle est déjà tombée trop souvent. Ce n’est pas l’indifférence toute relative de l’accusé, ni son manque d’ambition, ni sa naïveté qui constituent une menace pour l’humanité, bien au contraire. Sa faiblesse, Messieurs les jurés, c’est sa force, ce qui fait que cet homme n’est pas un danger public, n’est pas une menace pour l’ordre social, ne peut en aucun cas être considéré comme une crapule

s'interroge: ''Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme?'' Ainsi qu'au neuvième: ''Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres?'' On remarque que la beauté semble toujours émerger d'une profondeur, parfois ténébreuse. ''ciel profond, abîme, gouffre noir'' vers 1-9. Une série de mots nous montrent la contradiction de la beauté: le haut et le bas ''ciel et abîme'' vers 1, ténébre et lumière ''gouffre et astres'' vers 9. Baudelaire cherche à cerner l'origine de la beauté et son identité. Axe2:Une

 Baudelaire – Le possédé Le soleil s'est couvert d'un crêpe. Comme lui, Ô Lune de ma vie ! emmitoufle-toi d'ombre ; Dors ou fume à ton gré ; sois muette, sois sombre, Et plonge tout entière au gouffre de l'Ennui ; Je t'aime ainsi ! Pourtant, si tu veux aujourd'hui, Comme un astre éclipsé qui sort de la pénombre, Te pavaner aux lieux que la Folie encombre, C'est bien ! Charmant poignard, jaillis de ton étui ! Allume ta prunelle à la flamme des lustres ! Allume le désir dans les regards

Suite Cours Texte1 : Victor Hugo, Les Contemplations, « Ce que dit la bouche d’ombre » p.236Introduction : Voir coursI- La rencontre entre la mort et le poète (voir cours)II- Le questionnement de la mort :La mort transporte le poète au bord du gouffre qui représente le deuil de l’homme ; il le contemple, elle lui parle et il rapporte ses révélations au discours direct dans la longue tirade du vers 7 au vers 34. Dès lors le poète devient prophète, il est inspiré, transporté par elle (v.5) parle en

pecus » (le type lambda), au service du capitaine = pouvoir ; « indolents compagnons »=> cruauté envers un innocent ; « navire » = société ; « glissant sur gouffres amers » (nb : amer ( vide, profond) => ne voyant pas le vide métaphysique, le néant de notre condition humaine (Baudelaire l’a dit : « pour moi, tout est gouffre » cf. le poème Le Gouffre ds les FdM) ; donc société aveugle, inconsciente, frivole (« glissant ») ; « déposent » => la société est en bas, le poète en haut ( symbole… « l’un, l’autre » =>

avant JC , l’action se situe en un temps mythique, à l’âge des héros . L’un d’entre eux , Ulysse , est célèbre pour son voyage maritime de retour de Troie à Ithaque ,contrarié par la colère de Poséidon. L’espace de la mer , la « saumure » , « le gouffre » , est caractérisé par ses tempêtes. Or ce motif est devenu , au fil des siècles , un véritable topos littéraire . Quel usage Homère en fait-il dans son poème ? Nous verrons que la tempête , ouvrant et refermant l’espace des aventures , a d’abord

symbolique, une allégorie du Poète? I) RECIT D'UNE DECHEANCE: une anecdote dramatisée: a) le roi de l'azur, l'albatros avant sa déchéance: - Les champs lexicaux du ciel et de la mer caractérisent l'univers de l'oiseau (''mers, navires'', ''gouffres amers'', ''avirons'', ''azur'', ''voyageur aîlé'', ''tempête, nuées''). Sa patrie est en effet celle des grands espaces, des hautes altitudes. Les oiseaux sont présentés dans la première strophe comme en totale symbiose avec leur milieu. Tout dans

6), « honteux » (v.6) c. Les réseaux symboliques -lecture de la poésie sous un nouvel angle, à travers tout un réseau de symboles. Poésie symboliste : Albatros symbole du poète Equipage -- -- de la société Navire -- -- de la terre Gouffre -- -- de la mort . II. L’IDEAL DE BAUDELAIRE : POESIE ET LIBERTE L’oiseau et le poète ont en commun la plume, l’outil de liberté. La plume de l’albatros l’aide à voler, celle du poète lui permet d’écrire : pour tous les deux, c’est le seul