Goujet

blanchisseuse et accepte d'épouser Coupeau, un ouvrier-zingueur qu'elle n'aime pas vraiment mais auquel elle cède par lassitude et par faiblesse. Ils auront une fille, Nana, héroïne d'un autre roman des Rougon-Macquart. Gervaise, grâce à son voisin Goujet, un forgeron amoureux d'elle mais qui n'ose avouer sa flamme, achète une blanchisserie qui lui permet d'acquérir très vite une certaine aisance, malgré le fait que Coupeau, tombé d'un toit, soit désormais pour elle un fardeau plus qu'une source de

la fin de cet extrait, le lecteur ne sait plus qui parle car cela devient flou et évolue. Le narrateur semble omniscient, rendre compte de ce qu’il observe sans porter de jugement sur les faits décrits : « il y eut là », « Gervaise, énorme […] », « Goujet, d’ailleurs,[…], « Les Lorilleux passaient », puis « Mme Lerat, Mme Boche, Mme Putois ». Toutefois, une insertion, remarque affective nous met la puce à l’oreille « C’était même touchant… ». Ainsi le narrateur est neutre mais donne son point de vue 

soigne chez elle, dépense les économies du ménage. Il prend son métier en aversion et, pour tromper l’ennui de sa convalescence, il se met à fréquenter “L’assommoir”, cabaret où trône l’alambic. Gervaise, cependant, grâce à son voisin, le forgeron Goujet qui l’aime d'un amour chaste, peut réaliser son rêve : acheter une blanchisserie, qui est très vite prospère grâce à son activité et à son esprit avisé. Mais Coupeau a peur désormais de monter sur les toits et ne travaille plus régulièrement. Il consomme

décrit de manière détaillée et élaborée par Zola -Claude et Étienne Lantier : Les deux fils de Gervaise. -Anna Coupeau, dite Nana : Fille de Gervaise et de Coupeau. Elle est seulement qu’une fillette dans le roman, son rôle est minime mais… -Goujet : Il est le voisin de Gervaise et de Coupeau. C’est un forgeron sobre et économe, qui mène une vie simple. Il est secrètement amoureux de Gervaise, et l’aidera financièrement à ouvrir sa propre blanchisserie. Mais endettée jusqu’à sa mort, Gervaise

paternelle meurt, les parents d’Etienne l’emmènent à Paris. A huit ans, il est mis dans une pension. Après avoir été abandonné par Lantier, Gervaise épouse Coupeau qui est un ouvrier zingueur qui maltraite l’enfant. Quand Etienne a douze ans, Goujet l’accepte comme apprenti. A cet âge, il a les cheveux coupés ras. On l’envoi à Lille pour faire un apprentissage puis par la suite devient mécanicien. A vingt et un ans, c’est un joli garçon très brun, l’air fort malgré ses membres menus. Physiquement

amassent une certaine somme. La blanchisseuse pense à ouvrir son propre magasin, mais un incident la contraint à oublier son projet: son mari tombe d'un toit sur lequel il travaillait et reste convalescent plusieurs mois. Gervaise, grâce à son voisin Goujet, un forgeron amoureux d'elle mais qui n'ose l'avouer, achète une blanchisserie qui lui permet très vite d'acquérir une certaine aisance. Elle a plusieurs ouvrières: Mme Putois, Clémence et une apprentie Augustine (que Zola nomme systématiquement "ce

Gervaise le fait ramener chez elle, décide de le soigner et pour cela puise dans ses économies. Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - L'Assommoir - Emile Zola Ayant pratiquement abandonner son rêve, Gervaise retrouve l'espoir grâce à son voisin, Goujet, qui lui prête l'argent nécessaire à l'achat du magasin. Celui-ci aura comme enseigne Blanchisseuse de fin. Anti-copie - Résumé et fiche de lecture - L'Assommoir - Emile Zola Gervaise est heureuse et fait prospérer sa blanchisserie, elle engage

une pareille indigestion sur la conscience. Gervaise, énorme, tassée sur les coudes, mangeait de gros morceaux de blanc, ne parlant pas, de peur, de perdre une bouchée; et elle était seulement un peu honteuse devant Goujet, ennuyée de se montrer ainsi, gloutonne comme une chatte. Goujet, d'ailleurs, s'emplissait trop lui-même, à la voir toute rose de nourriture. Puis, dans sa gourmandise, elle restait si gentille et si bonne ! Elle ne parlait pas, mais elle se dérangeait à chaque instant, pour soigner

came to the ears of Gervaise, who was none too well pleased. It was at this supper that Gervaise became acquainted with her neighbors on the other side of the house. These were Mme Goujet, a widow, and her son. Up to this time they had exchanged a good morning when they met on the stairs or in the street, but as Mme Goujet had rendered some small services on the first day of her illness, Gervaise invited them on the occasion of the baptism. These people were from the Department du Nond. The mother repaired

faire des économie pour ainsi ouvrir sa propre boutique ; mais son mari tombe du toit lors d'un chantier et se casse une jambe. Celle-ci insiste pour soigner Coupeau chez eux, seulement la convalescende est longue et il prend pour habitude de boire. Goujet, un forgeron, amoureux secrétement de Gervaise, donne de l'argent à la jeune femme pour lui permerttre d'ouvrir sa blanchisserie. Heureuse, travailleuse, elle aime faire plaisir et arrive à nourrir sa famille. Tandis que Coupeau qui n'a toujours pas