Goujet

Les références au corps -Le portrait de Gervaise ‘’énorme, tassée sur les coudes ‘’ est une mise en scène du corps. -La comparaison ‘’gloutonne comme une chatte’’l5 renvoie au plaisir de se nourrir -La nourriture fait naitre le désir charnel ‘’Goujet, d’ailleurs, s’emplissait trop lui-même, à la voir toute rose de nourriture’’l9 -Le discours indirect libre suggère également de désir : ‘’Elle restait si gentille et si bonne !’’l10 - Le champ lexical du corps :’’la carcasse, le cou, la peau, la

Objet d’étudeL’homme face aux avancées scientifiques et techniques : enthousiasmes et interrogations | 1) Goujet semble serein et admiratif du travail qui s’accomplit sous ses yeux. « Sacrée mécanique », il est en effet fasciné. Mais ce sentiment est mêlé de crainte et de méfiance vis-à-vis du progrès technique, «  La machine tuait l’ouvrier ». On remarque aussi qu’il ressent de la colère envers ces machines car il prend conscience qu’elles vont trop vite comparer à lui et sont plus solides

propre commerce. Malgré ses réticences, elle épouse un zingueur, Coupeau, mais le bonheur dure peu : Coupeau devient infirme en tombant d'un toit, et la famille ne survit que grâce aux économies de Gervaise. Son désir se réalise pourtant quand son ami Goujet lui prête l'argent nécessaire à l'acquisition d'une blanchisserie. Mais le sort s'acharne, son mari sombre dans l'alcoolisme, Gervaise baisse les bras et laisse péricliter son affaire, pendant que Coupeau et Lantier, de retour, passent leur temps

Gervaise Macquart et d'Auguste Lantier. Devient le protégé d'un vieux monsieur de Plassans, qui le fait entrer au collège. Etienne Lantier , 4 ans, fils de Gervaise Macquart et d'Auguste Lantier. Devient apprenti forgeron à douze ans, aux côtés de Goujet( forgeron). Sera ensuite envoyé à Lille. Nana, Anna Coupeau, fille de Gervaise Macquart et de Coupeau. Ouvrière fleuriste, elle devient fille entretenue et disparaît. -------------------------------------------- [ 1 ]. Cité par Cichelli-Pugeauly

ouvriers Un des 4 mondes sociaux que Zola expose dans les Rougon-Macquart : le peuple ; les commerçants ; la bourgeoisie et le grand monde ; « un monde à part » où se côtoient prostitués, prêtres, meurtriers et artistes. Dans ce roman , l’honnête Goujet, le paresseux Coupeau, l’avare et fier Lorilleux, le bruyant Mes-Bottes en illustrent chacun un aspect. Le récit d’une déchéance Celle d’une femme. Quelles sont les causes qui poussent Gervaise à la ruine ? quel est le rôle de la malchance, du

Elle refuse. Une nuit de janvier Gervaise trouve maman Coupeau morte dans son lit. Les préparatifs de l'enterrement commencent. Mme Lorilleux ne veut rien payer. Mme. Lerat accepte de payer une part. Gervaise n'a plus d'argent. Elle en emprunte à Goujet. Après l'enterrement tous le monde se rend chez le marchand de vin. C'est là-bas que les Coupeau cède le bail de leur boutique à Virginie. Les Poisson paient le retard du loyer, louent un logement au Coupeaux et autorisent Lantier à garder sa chambre

l’acceptation de toute les hontes et de toutes les misères. Chaque personnage a une destiné bien précise, certains personnages seront très paresseux comme Lantier, d’autres rongés par l’alcool comme Coupeau et d’autres seront de très bons ouvriers comme Goujet. Quand Zola a fini son Ebauche et connait le destin de ses personnages, il crée un plan : les années dans lesquelles vont se dérouler son roman, les lieux , le scénario. Il  cite les

(Wtterwulghe, 1998 ; Schmitt, Julien et Lachance, 2002). 1.3. Personnalisation, subjectivite et biais cognitifs dans la prise de decision La representation est l'activite mentale qui consiste a organiser sa connaissance de la realite (Silvestre et Goujet, 1996) : c'est un phenomene de reconstruction de la realite, a partir de la perception de signaux exterieurs, et sur la base du cadre de references et du passe de chaque individu. Il est par exemple possible qu'un evenement exterieur soit percu de

hommes par leur nom comme Poisson, Coupeau... ainsi que Virginie qui est la seule femme à ne pas être appellée "Madame". Emile Zola se sert des personnages pour généraliser et critiquer la société ouvrière. Pour cela, il nous montre que seul Goujet éprouve de la sympathie envers Gervaise en la qualifiant de personne "si gentille et si bonne" alors que les autres personnages ne pensent qu'à s'emplir ou jalouser et ruiner Gervaise. Zola se sert de cet exemple pour montrer l'hypocrisie de la société

portant son nom publié en 1880) et le couple économisera de l’argent afin de s’installer dans une maison. Un jour Coupeau tombe d’un toit et reste en convalescence quelques mois ; il devient très vite un fardeau pour Gervaise qui, grâce à son voisin Goujet (un forgeron amoureux d’elle mais qui n’ose pas lui avouer ses sentiments), achète une blanchisserie. Cette dernière est alors remise en l’état et les Coupeaux vivent dorénavant derrière la boutique. L’activité de Gervaise semble bien partie, elle