Gouvernement provisoire de 1848

bientôt le nom de girondin. Le 20/04/1792 le roi vint à l'A et lui propose de déclarer la guerre à l'empereur de Hongrie et de Bohème. Ces jacobins vont se détacher du club des jacobins et vont constituer le club des girondins. L’homme fort de ce gouvernement est le ministre de l’intérieur Roland et le ministre de la guerre est Dumouriez. Ce ministère n’a été constitué qu’au vu de la guerre et en effet, le 20 avril 1792, le roi vient devant le corps législatif selon la constitution c’est lui qui propose

(cf. biographie), ou encore d’Eugénie Niboyet, de Jeanne Deroin, de Désirée Gay ; et bien d’autres encore. 1 Jeanne Deroin, institutrice, rédige dès 1831 un plaidoyer contre l’assujettissement de la femme ; devient en 1848 l’une des portes voix de la revendication féministe, fonde un journal « publié pour les intérêts des femmes et par une société ouvrière » avec Désirée Gay et Eugénie Niboyet et va même jusqu’à se présenter en 1849 comme candidate aux élections législatives

les frontières bouleversées par les guerres de la Révolution et de l’Empire. Napoléon se couronne lui-même empereur des Français lors d’une cérémonie qui rappelle le sacre des anciens rois. Il gouverne dès lors en monarque absolu. 1815-1848 1848-1852 La monarchie constitutionnelle La Deuxième République Elle est proclamée à la suite d’une révolution qui chasse le roi Louis-Philippe Ier. Elle est renversée à la suite du coup d’état du Président Louis Napoléon Bonaparte (neveu

d’abord nommé attaché d’ambassade à Naples en mars 1820, Lamartine est élu tour à tour député à Bergues (Nord) en 1833 après un voyage en Orient (1832), conseiller général de Mâcon, ministre des Affaires étrangères. Il devient chef du gouvernement provisoire de 1848. La même année, il est battu aux élections présidentielles. Parallèlement à cette carrière politique, Lamartine continue d’écrire. Lamartine meurt ruiné en février 1869. Ses oeuvres principales sont Méditations poétiques (1820) (dont

la bibliothèque Schœlcher Le Créateur Victor Schœlcher est un homme politique français, sous-secrétaire d’Etat dans le gouvernement provisoire après la révolution de février 1848, il contribue à faire adopter le décret sur l’abolition de l’esclavage dans les colonies, abolition pour laquelle il avait lutté depuis 1840. Député de la Guadeloupe et de la Martinique (1848-1851), il siégea avec la gauche et vécu exilé en Angleterre sous le second Empire. Carte d’identité La bibliothèque

existe cependant à cette époque, au milieu du 19e siècle, deux patries, celle de la région, et celle de l'église, qui selon Machiavel, n'avait pas le pouvoir pour permettre l'unité du pays. À partir de 1848, l'idée d'une confédération des états italiens apparaît. Si le mouvement unitaire de 1848, mené par Charles-Albert, roi du Piemont-Sardaigne , échoue, son successeur Victor-Emmanuel II va persévérer pour créer une nation unifiée sur le territoire italien. En deux ans, de mars 1859 à juin 1861

signé le 27 Avril 1848 par Lamartine en France, sous l’ordre de Victor Schœlcher. Victor Schœlcher a voyagé en Amérique en 1829-1830, aux États-Unis, à Cuba, et au Mexique, puis en 1840-1841, en Afrique et aux Caraïbes. Lors de ces voyages, il a découvert la réalité de l'esclavage et a été profondément choqué. Militant pour l'abolition de l'esclavage, il a écrit plusieurs ouvrages. Il a été nommé en mars 1848, sous-secrétaire d'état aux colonies durant le gouvernement provisoire de la IIème République

L’idée de suffrage universel va être également réactivée avec la constitution de l’an 8 (1799-1800), lors du consultât avec Napoléon Bonaparte. Il faudra néanmoins attendre 1848 pour que l’idée de suffrage universel soit consacrée car la monarchie de juillet est emportée par une journée révolutionnaire et le gouvernement provisoire va réinstaurer le suffrage universel et la 2eme République. Cette adoption du suffrage universel va passer de deux cents cinquante milles électeurs à neuf millions cinq

pays européens étaient basés sur une monarchie lors de la Révolution française, le retour à la monarchie aurait donc pu être pris pour un retour à la « normale ». L'invention du suffrage universel (introduit en France de manière quasi-définitive en 1848) fut le remède à la violence. Il faut que la majorité qui l'emporte soit reconnue par la minorité qui a perdu (ce qui n'est pas une évidence). A l'inverse, il faut que la majorité ne profite pas de son pouvoir pour imposer sa force à la minorité en

Convention girondine (20 septembre 1792 - 2 juin 1793) A) L’installation de la Convention girondine B) Le travail constituant §2) La Convention montagnarde et la Terreur (2 juin 1793-9 thermidor an II) A) La constitution de l’an I B) Le Gouvernement révolutionnaire Section II : De Thermidor au Directoire : la république des notables (1794-1799) §1) La Convention thermidorienne (juillet 1794-octobre 1795) §2) La constitution du Directoire (octobre 1795-novembre 1799) A) Un nouveau