Gouvernorat de Sousse

société TUNISIE TELECOM a été crée le 1er janvier 1996 sou forme d’un établissement public a caractère industriel et commercial doté d’une personnalité morale et d’une autonomie financière . elle est régie par la législation commerciale et il est placé sous la tutelle du ministères des communications dont le siège est à Tunis . Ses activités principales consistent en : * Le développement et l’exploitation des réseaux de télécommunication ( installation et maintenance des réseaux locaux d’abonnés

Avril 1996.C’est un établissement public rattaché au ministère des communications. Elle comporte environ 7500 employés, dont 24% ont des diplômes supérieurs. Elle est constituée d’une Direction centrale et de 24 Directions régionales dans chaque gouvernorat. L’office national de télécommunication est crée le 17 avril 1995 par l’état Tunisien selon la loi n°95-63, sa mise en service est le 01 janvier 1996. Elle s'occupe de tous les services téléphoniques surtout le territoire national en utilisant

pour la coopération avec le secteur privé (Center for Cooperation with the Private Sector Africa, CCPS) a ouvert un bureau à Pretoria, Afrique du Sud, en 2005. Ce bureau favorise la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) en toute l’Afrique sous laquelle on entend « une activité responsable engagée par les entreprises dans le but d’utiliser les marges de manœuvre dont elles disposent pour promouvoir un développement durable »2. La RSE se caractérise par une conception des affaires socialement

- PRI : Programmes Régionaux et Interrégionaux - SAU : Surface Agricole Utile - SNU : Système des Nations Unies Le présent document a été préparé par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) en concertation étroite avec le bureau sous-régional de la FAO en Tunisie. Le rapport traite des activités du Système des Nations Unies (PNUD, FAO, PAM, FIDA et Banque Mondiale) dans le domaine du développement agricole et rural en Tunisie pour la période 19712001; il en donne une analyse à

D’après la loi n° 96-025 portant statut particulier du District de Bamako, ce dernier est une collectivité territoriale dotée de la personnalité morale et de l’autonomie financière. Il s’administre librement dans le cadre des lois et règlements. Le Gouvernorat du District est représenté par le Maire du District et ses deux adjoints. Le District est lui-même divisé en 6 communes, comportant chacune une mairie et des équipements sanitaires et sociaux à leur niveau. Ces subdivisions s’inscrivent dans le

occupe 33% à 40%. Les terres cultivées représentent 4,9 millions d'hectares (32%) dont 1,6 consacré à la culture des céréales (beaucoup blé dur dans la vallée de la Medjerda), 1,6 consacré à la culture de l'olivier (dans le Sahel tunisien et le gouvernorat de Sfax) et 400 000 hectares consacrés aux cultures irriguées. Le territoire est recouvert de 5% d'eau, 0,5% est urbanisées et 12% de forêt. 1) Relief La Tunisie possède un relief contrasté, entre une partie septentrionale et occidentale montagneuse

les pays scandinaves, surtout comme loisir prolongé de proximité. Beaucoup de citadins disposent d’un bungalow ou d’une caravane près d’un plan d’eau. Il est en est de même en Europe centrale et orientale, où le tourisme rural est une forme de loisir sous forme de résidence sommaires, du type cabanon en foret ou aux bords des lacs. 1.3 – Le tourisme de santé Cette forme a connu de grandes évolutions. Le thermalisme, promu déjà par les romains, a connu un grand essor au XIXe siècle dans beaucoup de pays

les pays scandinaves, surtout comme loisir prolongé de proximité. Beaucoup de citadins disposent d’un bungalow ou d’une caravane près d’un plan d’eau. Il est en est de même en Europe centrale et orientale, où le tourisme rural est une forme de loisir sous forme de résidence sommaires, du type cabanon en foret ou aux bords des lacs. 1.3 – Le tourisme de santé Cette forme a connu de grandes évolutions. Le thermalisme, promu déjà par les romains, a connu un grand essor au XIXe siècle dans beaucoup de pays

sensiblement à la détérioration de la compétitivité de ces petites exploitations et par conséquent de leur viabilité. Afin de faire face à cette situation, le pompage de l’eau d’irrigation couplé à des sources d’énergie renouvelables pourrait constituer sous certaines conditions une alternative économiquement plus compétitive que les modes conventionnels, particulièrement le pompage diesel et électrique devenu très chers pour l’agriculture. Par ailleurs, on remarque que la structure des exploitations agricoles

accompagnerons par un enseignement facile à comprendre et progressif dans sa logique. Les ressources qui s’en suivent font référence à un complément de cours sous forme de document à lire et à analyser mettant l’accent sur les pratiques de gestion moderne répondant, de ce fait, à l’environnement actuel de l’entreprise. Ce document se présente sous forme d’un article tiré de la revue « DIRIGEANT » intitulé « Entreprendre au XXI ième siècle. ». Quand vous cliquez sur l’un des chapitres que vous voulez