Gracques

leur chef (Marius). a) Les luttes de partis 2 parties s’opposent : popularès et optimates. Les popularès vont optimiser le sort des populations. Les optimates pensent que ce sont les gens les plus capables qui doivent diriger. Une première loi de Gracques : il y a un maximum de terres à avoir, au-delà de ce maximum, ces terres seront redistribuées. Autre politique : attribuer au citoyen des vivres a bas prix. Au lieu de remettre une activité économique, des gens seront oisifs. Les tribuns de la plèbe

Derrière la république c’est une véritable oligarchie (le pvr appartient aux familles sénatoriales). L’armée va prendre de plus en plus d’importance. La crise sociale va emmener à la destruction de la classe moyenne. L’échec de la réforme agraire (GRACQUES) amène à l’éclatement de l’État romain entre l’armée, le peuple et l’aristocratie. 2) Cicéron (-106 ;-43) Originalité : emprunte à Platon et Aristote : Platon : - loi (valeurs absolues, expression de la morale), gouvernants soient des hommes de bien

citoyens gêne cette qualification. L’impact du modèle spartiate  Sparte a servi de modèle à beaucoup de penseurs politiques. Mais de tous les bords. Au 4ème à Athènes c’est le modèle pour les antidémocrates. A Rome au 2ème s. av. JC, avec les frères Gracques, au 16ème s. chez les réformateurs religieux. Le mirage spartiate  Plusieurs réflexions : - Effacement des différences sociales - L’austérité générale de la ville - Recherche de l’encadrement de l’individu - Le militarisme

chef (Marius). * Les luttes de partis 2 parties s’opposent : popularès et optimates. Les popularès vont optimiser le sort des populations. Les optimates pensent que ce sont les gens les plus capables qui doivent diriger. Une première loi de Gracques : il y a un maximum de terres à avoir, au-delà de ce maximum, ces terres seront redistribuées. Autre politique : attribuer au citoyen des vivres a bas prix. Au lieu de remettre une activité économique, des gens seront oisifs. Les tribuns de la plèbe

l’Italie à la fin de la République (218-31 avant J.C.). Presses universitaires du Mirail, Toulouse 1993. - BORDET Marcel, Précis d’histoire romaine. Collection U, Armand Colin, Paris 1998 (3è). - CELS SAINT-HILAIRE Janine, La République romaine des Gracques à César (133-44 av. J.-C.). Coll. Campus Histoire, Paris 2001. - CHRISTOL Michel, NONY Daniel, Rome et son Empire. Des origines aux invasions barbares. Hachette Université, 1974, Paris rééd.1995. - DAVID Jean-Michel, La République romaine de

sur une telle base, et qui se persuaderont que, s'il était opprimé par ses ennemis ou par les magistrats, le peuple embrasserait sa défense ; son espoir serait souvent déçu, comme le fui celui Nicolas Machiavel (1515) Le Prince 32 des Gracques à Rome, et, de messer Giorgio Scali à Florence. Mais, s'il s'agit d'un prince qui ait le droit de commander, qui soit homme de cœur, qui ne se décourage point dans l'adversité ; qui, d'ailleurs, n'ait point manqué de prendre les autres mesures

servir des termes propres, à expliquer nettement leurs pensées avec ordre, et d'une manière courte et précise: vous les mettrez en état d'apprendre un jour à leurs enfants à bien parler sans aucune étude. On sait que, dans l'ancienne Rome, la mère des Gracques contribua beaucoup, par une bonne éducation, à former l'éloquence de ses enfants, qui devinrent de si grands hommes. Elles devraient aussi savoir les quatre règles de l'arithmétique; vous vous en servirez utilement pour leur faire faire souvent

Cela est vrai pour un particulier qui compterait sur une telle base, et qui se persuaderait que, s’il était opprimé par ses ennemis ou par les magistrats, le peuple embrasserait sa défense ; son espoir serait souvent déçu, comme le fut celui des Gracques à Rome, et, de messire Giorgio Scali à Florence. Mais, s’il s’agit d’un prince qui ait le droit de commander, qui soit homme de cœur, qui ne se décourage point dans l’adversité ; qui, d’ailleurs, n’ait point manqué de prendre les autres mesures convenables

Cela est vrai pour un particulier qui compterait sur une telle base, et qui se persuaderait que, s'il était opprimé par ses ennemis ou par les magistrats, le peuple embrasserait sa défense ; son espoir serait souvent déçu, comme le fut celui des Gracques à Rome, et, de messire Giorgio Scali à Florence. Mais, s'il s'agit d'un prince qui ait – 42 – le droit de commander, qui soit homme de cœur, qui ne se décourage point dans l'adversité ; qui, d'ailleurs, n'ait point manqué de prendre les autres

Cela est vrai pour un particulier qui compterait sur une telle base, et qui se persuaderait que, s'il était opprimé par ses ennemis ou par les magistrats, le peuple embrasserait sa défense ; son espoir serait souvent déçu, comme le fut celui des Gracques à Rome, et, de messire Giorgio Scali à Florence. Mais, s'il s'agit d'un prince qui ait – 42 – le droit de commander, qui soit homme de cœur, qui ne se décourage point dans l'adversité ; qui, d'ailleurs, n'ait point manqué de prendre les autres