Gracques

Préface : « Remarquez qu’il ne s’agit pas d’exploration ni de dépaysement. Il est question avant tout de partir […]. Il s’agit de voyages très incertaines, de départs tellement départs qu’aucune arrivée ne pourra jamais les démentir. » Julien Gracque, « Les yeux ouverts », Préférences (José Corti, 1961)   Œdipe sur la route écrit par Henry Bauchau etpublié aux éditions Actes Sud en 1990.   L’article écrit par Jean-Louis Hue, d’après l’essai de Ian Hackin : Les fous voyageurs, traduit de l’anglais

camps : Les populares, ceux qui sont sensibles au idéaux de la défense populaire. Les optimates, ils méprisent la Plèbe, ils la craignent et veulent la maintenir à sa place. → Conséquences de ces crises : GUERRES CIVILES Au II s av JC, les frères Gracques, chevaliers publicains populares. Tibérius, frère ainé, veut créer une réforme agraire. →redonner les terres de l’agere publicus en indemnisant les propriétaires aux pauvres. La loi est votée mais la nobilitas fait intervenir l’armée dans l’assemblée

des règles, des coutumes, des conseils dont Machiavel veut récuser ou la pertinence ou l’universelle efficacité. Ainsi, c’est contre le proverbe « qui fonde sur le peuple fonde sur la boue » que Machiavel cite, dans le chapitre 9, les exemples des Gracques à Rome et de Giorgio Soderini à Florence. Machiavel s’attache à souligner, au chapitre 3, le contraste entre les décisions des Romains, qui les ont conduits au succès dans leurs colonies et les mauvais choix de Louis, roi de France, lors

le mérite et la récompense. Le trône d'une femme est au milieu de sa famille, sa gloire est dans la gloire des enfants qu'elle a élevés pour l'Etat. Cornélie n'était ni sénateur, ni consul, ni général des armées de Rome. Elle était la mère des Gracques. Elle avait donné deux grands hommes à la République. Leur gloire était devenue la sienne. La postérité n'a point séparé leurs noms; et la mémoire de Cornélie est, comme celle de ses enfants, immortelle. » Réponse aux revendications féminines

les guerres civiles explique le régime d’Auguste. Crise de la république au premier siècle avant JC, guerres civiles, écarts sociaux importants entre les plus riches et les citoyens qui trouvent qu’ils ne profitent pas assez des conquêtes. Les Gracques se rebellent, la pratique du meurtre politique est dangereuse. Il faut un homme qui ramène l’ordre. L’empereur s’est notre protecteur, le garant de la pax Romana. Comment être un homme providentiel ? D’abord en profitant des circonstances, les

dépendant que de lui, supérieur à tous les autres ; car qui pourrait être au-dessus de celui qui est supérieur à la fortune ? VI. (1) Livius Drusus, homme âpre et violent, qui, par des lois nouvelles, réveilla les séditions des Gracques, entouré d'une immense multitude venue de toute l'Ialie, hors d'état de prévoir l'issue d'une lutte qu'il ne pouvait ni terminer ni abandonner, après l'avoir engagée, maudissait, dit-on, cette vie de tous temps agitée, et disait que lui seul

l’injustice d’un tyran, de l’impérialisme d’une nation. A l’époque romaine, beaucoup de Stoïciens ou d’hommes influencés par le stoïcisme, ont su s’engager courageusement dans la lutte contre l’injustice et contre la tyrannie depuis le conseiller des Gracques (Blossius de Cumes), jusqu’aux membres héroïques de l’opposition sénatoriale à l’Empire. Mais le Stoïcien applique par avance la maxime cartésienne de la « morale par provision » : « Tâcher toujours plutôt à [se] vaincre que la fortune, et à changer

Lakanal craint la puissance du pouvoir législatif dont il fixe bien l'origine : « votre commission a-t-elle pensé que le pouvoir législatif jouissait de toute la puissance qu'exercerait le peuple qu'il représente, si, comme les Romains, au temps des Gracques, les Français pouvaient discuter eux-mêmes les grands intérêts de la patrie; et qu'il n'a d'autres freins, d'autre moyen d'arrêt que la constitution ? »19. Que faire donc devant cette souveraineté du vouloir de l'assemblée législative ? 14 « Malheur

ils prennent en considération les droits des couches populaires et de les défendre Les optimates ( ?) : ils méprisent les couches populaires et les maintenir à leurs places. b. Les Guerres civiles (Année 130 avt JC) La réforme agraire des frères Gracques. (133 – 121 avt JC). Tibérius et Calius ( ?) : ils sont issues d’1 des + anciennes familles de l’aristocratie. Ce sont des populares. Tiberius en 133 avt JC veut faire voter une réforme agraire : récupérer puis diviser de l’ager publicus. Ce sont

anglo-normand, Section 1 : La chute de l’empire romain d’occident : continuité et rupture. § 1: Contexte historique de la chute de l’empire romain Il eu des crises dans l’empire romain et certaine personne ont voulu tenter des reformes par les Gracques. Au court de cette période l’empire qui s’est fondé sur le moule des institutions républicaines. Des événements importants de cette période comme le meurtre de césar suite au complot d'un trio Octave, Lépi et Antoine. En 31 avant JC, Octave triompha