Gradin

première fut rapportée par Hérodote, le premier historien, journaliste et explorateur. Celui-ci mentionna que les égyptiens auraient donc utilisé «des machines faites avec des morceaux de bois court, par lesquelles ils auraient soulevé des blocs de gradin en gradin pour les élever[4]». La deuxième théorie aurait été expliquée par Diodore, un historien et chroniquer grec, qui lui explique que les égyptiens auraient au contraire utilisé des machines faites en bois court, mais aurait utilisé la technique de

et une reconstruction partielle orchestrée Jules Formigé, durant la 1ère guerre mondiale, ainsi que de nouvelles fouilles menées par Louis Capitan. Malheureusement les immeubles construits du côté de la rue Monge ne permirent pas de compléter les gradins entiers. C /LES ACTIVTES DANS LES ARENES I/Un lieu à double fonction Du temps des Romains, l’amphithéâtre des arènes comportait à la fois une scène et une arène, ce qui permettait de combiner ses fonctions et de donner à voir aussi bien des

 Les Amphithéâtres romain Les amphithéâtres romain etaient de vastes edifices publics de forme elliptique, à gradins étagés, organisés autour d'une arène où étaient donné les spectacles: de gladiateur (en latin munera) de chasse (venationes) de batailles navales (naumachia). Certains empereurs organisèrent vraiment des batailles navales grandeur nature. Auguste recréa ainsi une recréa ainsi une bataille de Salamine, rassemblant 3000 combattants athéniens et

accède aux différentes places par des galeries qui évitent le contact entre les différentes classes sociales. Les citoyens romains sont installés dans la couronne du milieu. En haut des gradins, le peuple prend place. Les esclaves et les étrangers restent debout sous le portique qui surmonte le dernier rang des gradins. Pour assister au spectacle, les hommes devaient être revêtus de la toge, ils étaient séparés des femmes, chaque sexe avait ses propres places.

On peut aussi voir que les romains disposent différemment les différentes parties du théâtre que chez les grecs. Le théâtre grec contient plusieurs parties. Le théâtron ou Koilon correspond à l’endroit d’où l’on voit. C’est de nos jours les gradins. Au premier rang, les premières places sont attribuées à des personnes importantes. L’orchestra est l’espace réservé au chœur et aux danseurs. C’est l’endroit le plus bas du théâtre et il se situe au centre. Il est circulaire avec l’autel réservé

également une galerie tout au sommet du Colisée, destinée à accroître encore le nombre de places. En 217, le Colisée fut gravement endommagé par un incendie majeur (causé par la foudre, selon Dion Cassius10) qui détruisit les étages supérieurs des gradins construits en bois. Il ne fut entièrement réparé que vers 240 et subit d'autres réparations en 250 ou 252, puis en 320. Une inscription enregistre la restauration de diverses parties du Colisée sous Théodose II et Valentinien III (règne : 425-450)

musiciens. L'ensemble des gradins est installé au creux d'une colline. Ils sont disposés en hémicycle, divisés en paliers horizontaux et comportant des escaliers. Aux premiers rangs, sont installés les sièges d'honneur. Les acteurs jouent sur une estrade étroite et longue, légèrement surélevée par rapport au chœur. Les acteurs, exclusivement masculins sont au maximum trois. Ils portaient un masque : cet accessoire leur permettait d'être mieux vu des spectateurs assis sur les gradins parfois éloignés et

directement au dieu ; le cœur qui se trouve dans l’ORCHESTRA est au centre et en même temps entre les spectateurs et les acteurs : il est une sorte d’interprète de la volonté des dieux, une « VOIE DU DESTIN » SCENE SCENE ORCHESTRA ORCHESTRA Gradins Gradins

deux avant-corps de taureaux aux pattes repliées de part et d'autres de l'arcade. Ceux du niveaux supérieur, mieux conservés, supportaient un fronton triangulaire. Cette travée qui s'ouvre du côté de la ville, donnait un accès direct aux premiers gradins face au petit axe de la piste. Un autre décor en bas-relief sur l'un des pilastres, face au Palais de Justice, montre une louve allaitant deux enfants, Romulus et Remus, les fondateurs mythiques de Romes. La louve nîmoise, contrairement au modèle

La violence dans les stades La violence est un phénomène croissant dans notre société. Nous assistons depuis de nombreuses années à des actes de violence aussi dans les arènes sportives, que ce soit sur le terrain que ou dans les gradins. Ces phénomènes ont acquis une telle proportion qu’il est urgent de comprendre comment la violence présente dans la société trouve une expression particulière dans le sport. Enfin, il parait nécessaire de prendre des mesures dans le but d’éradiquer la violence