Graffiti

Pittsburgh, une ville proche de chez lui, où il se rend vite compte que cela ne lui convient pas et y pars après six mois. Il se sent vite enfermé dans cette ville et décide de partir à New York une ville à la hauteur de son énergie. Inspiré par les graffitis qui recouvrent la ville Keith veux aussi faire sortir l’art de son cadre. Alors il se rend, craie en main, dans les métros pour improviser sur des panneaux noirs destinés à la publicité. Parce que l’artiste agit en fraude, il doit réaliser ses dessins

Cette guerre se termine, pour la première fois, par une défaite des États-Unis et l’unification du Vietnam. Napalm : Banksy et son œuvre Banksy est un artiste mythique de la scène du graffiti, il est engagé. Il veut dénoncer la société et malgré tout, il reste un artiste anonyme bien que certains journalistes pensent avoir découvert son identité. Son style se trouve entre la sérigraphie et le pochoir. Il semblerait qu'il soit né le 1er

probablement en train d’escorter la fille. Ensuite, en s’intéressant plus attentivement au fond, on remarque, sur la droite une tomate écrasée au sol, elle a sûrement du s’écraser contre le mur car on voit une éclaboussure rouge. De plus on peut noter un graffiti raciste sur le mur, probablement destiné à cette petite fille tout comme le lancé de tomate. Ces qui est frappant c’est que cette fille ne semble pas perturbé en effet elle est complètement indifférente, car elle doit sûrement avoir l’habitude de

leur originalité. Mélange de fraîcheur et d'originalité, ils sont le fruit de la rencontre entre modernisation et nature. Une création qui s'inscrit parfaitement dans la tendance urbaine-écolo et qui apporte une nouvelle alternative en matière de graffitis "propres". L'artiste espère seulement que les mots ne seront pas les seuls à être perçus, mais que la mousse aussi, sculptée, fera passer un message interprétable par chacun Production personnelle et méthode pour y aboutir. D’en un premier temps

C’est proportionel, on remarque que cette oeuvre est souvent representee en serigraphie de pleins de couleurs differents. Il decoupe un pochoir (carton ou papier assez dur trouee dans les endroits ou on pourra mettre des couleurs par des bombes de graffiti), il le pose sur le papier ou il va presenter son oeuvre. Et puis a 20 cm loin de la feuille pour ne pas avoir des degradations des couleurs sur l’oeuvre, il “spray” sur le pochoir. Ensuite on obtiendra au resutlat une “photo” du pochoir c’est a

des auteurs de ces messages, quelles soient personnelles ou partagées. On assiste à une massification. Il se cache derrière cela une universalisation d’un moyen d’expression. Tout le monde à la possibilité, à sa manière, de se faire entendre : « Graffiti, murs parlants, exclamations muettes, images des passions du moment » ligne 57-58. Même si le support reste le même, les messages, eux, évoluent selon les mœurs, les évènements historiques et culturels. Ecrire sur les murs représente l’essence même

personne ne le connais et pourtant il est en train de révolutionner l’art. EMMA : Révolutionner l’art ? Tu te fous de moi ou quoi ? Faire le guignol bombe à la main c’est de l’art pour toi ? En arrivant à Montparnasse, y’en avait plein les murs des graffitis ! Je savais déjà que c’était moche, sale, mais que des mecs comme toi dépense une fortune pour ca, non je ne comprends pas. A max : Il commence juste sa vie Maxime, c’est normal tu trouves ? Il n’est pas buté le Tom la ? MAXIME : Il ne faut

seul signe du mur est une rangée de pavés retraçant le chemin du mur de Berlin. D’un autre côté, des tronçons du mur ont été préservés avec le chemin de ronde pour garder cette image intacte et réaliste. On peut voir des segments du mur, ornés de graffitis, dans le paysage berlinois et beaucoup de personnes en ont gardé des morceaux chez eux. Cela permet d’entretenir le souvenir. L’article parle également des touristes qui viennent voir les restes du mur, traverser le plus connu des points de contrôle

reportages l’ayant touché, il a donc décidé de faire ce projet. Women are heroes ne s’oppose pas du tout au mouvement artistique de Rio, au contraire, elle entre parfaitement dedans car le principal mouvement artistique de la ville est l’art de rue (graffitis, danse de rue, art du cirque,…) Les destinataires de ce projet sont les habitants des favelas. JR a produit cette œuvre afin que cette population s’ouvre à l’art. L’artiste souhaitait également que justice soit faite sur la situation de femmes.

sion privilégié demeure le dessin. À New‐York, il rencontre des musiciens, artistes performers et graffeurs.    Il découvre la culture des années 1980 qui développe son expression sur de nouveaux   territoires: rues, métros, entrepôts. Inspiré par le graffiti (mouvement du « Bad Painting »)   et soucieux de toucher un large public, Haring commence à dessiner à la craie blanche sur   des panneaux publicitaires noirs du métro de New York.    Il exécute ainsi plusieurs milliers de dessins, aux lignes énergiques et rythmées