Grand Corps Malade

MOLIERE, LE MALADE IMAGINAIRE, Acte III scène 3, extrait numéro 2 BERALDE : Moi, mon frère, je ne prends point à tâche de combattre la médecine, et chacun, à ses périls et fortune, peut croire tout ce qu’il lui plaît. Ce que j’en dis n’est qu’entre nous, et j’aurais souhaité pouvoir vous tirer un peu de l’erreur où vous êtes, et, pour vous divertir, vous mener voir sur ce chapitre quelqu’une des comédies de Molière. ARGAN : C’est un bon impertinent que votre Molière avec ses comédies, et je le trouve

désordonné. Peu après le malade se fait généralement vomir. C’est une manière pour se cacher des problèmes vis-à-vis de son corps ou de ses rapports avec les autres. La Boulimie montre qu’il y a un problème de soi à soi ou envers les autres. L’adolescence est une période de la vie ou de nombreux problèmes surgissent comme par exemple, la maturité sexuelle ou encore la prise de poids en même temps que la croissance. Tout cela intervient le moment ou l’on fait le plus attention à son corps. Mais, le plus difficile

légende de St Julien raconte la trajectoire de Julien, un chasseur redoutable qui tue par mégarde ses parents et recherche tout le restant de sa vie, rédemption et rachat de sa faute. Les enjeux de l’œuvre, dans l’extrait proposé, Julien dans sa grande barbarie met à mort la famille d’un cerf qui porte sur lui une malédiction Premièrement l’extrait commence par un déterminant définit "le" qui construit le groupe nominal "le lépreux" et identifie le premier protagoniste. Le verbe venir et conjuguer

L3- :4= «  mes mains , qui s’agitent malgré moi » = Hadrien ne contrôle plus son corps = alors que cetait l’un des empeureurs les plus puissant sTt ses sens se mélangent; phénomène par le quel plusieurs sens sont associés= synesthésie= « murmure », « froisséee » « caresse »« lancé à fond de train »= hyperbole= qui montre qu’il faut se

Chapitre 1 : Les greffes et transplantations. I/ Definition et pratique. Définition: En médecine, une greffe ou transplantation est une opération chirurgicale consistant à remplacer un organe malade par un organe sain, appelé « greffon » ou « transplant » et provenant d'un donneur. La différence entre transplantation et greffe est que la première est réalisée avec une anastomose chirurgicale des vaisseaux sanguins nourriciers et/ou fonctionnels, alors que la seconde est vasculaire. Font donc

compdtent, de soutiens administratifs qui, en p6n6trant dans le champ de la m6decine viennent y r6duire le r61e aupara' vant dominant du m6decin. Le chemin depuis le t€te-d-t€te hippocratique, depuis la relation thdrapeutique de Maimonide, depuis les grands sages-soignants des sidcles passds s'est ainsi enrichi de partenaires n6cessaires mais encombrants pour le mddecin. I1 y a d'abord eu les spdcialistes des sciences de la nature et de la vie. La biologie, la chimie, la g6n6tique sont devenus

sur la mort. Aujourd’hui, elle n’a plus peur d’affronter ce moment, au contraire, elle est heureuse d’assister les malades dans leurs derniers instants de vie, qu’elle s’efforce d’adoucir par sa compassion, sa franchise et par son immense tendresse. Son intérêt pour la mort remonte à son enfance. Née après la guerre, ses parents l’ont surprotégé dans un climat d’angoisse. Avec sa grand-mère, elle a entretenu une relation quotidienne avec les membres décédés de sa famille en allant fleurir leur tombe

poids, une responsabilité morale devant quelqu'un d'à priori vulnérable. Définition de Suzanne Rameix (philosophe de la médecine) : « soigner c'est l'ensemble de tous les actes qui rendent compte de la volonté de prendre en charge une personne malade ». Avoir un diplôme n'est pas suffisant pour soigner les gens, il suffit de regarder les actions des médecins nazis durant la Seconde Guerre Mondiale qui faisaient preuve d'une cruauté sans épreuve malgré leurs techniques et compétences médicales

de la médecine par le « grand public » constitué de potentiels patients. L’accés à l’information médicale est devenu régulier voire permanent. Ces notions médicales pourtant abstraites semblent dés lors moins étrangéres aux profanes. Une telle technicité ne pourrait-elle pas tout ou presque ? Où sont les limites de ces performances rendues presque familiéres ? De fait, la conception de la santé, de la maladie s’en trouve bouleversée, ce d’autant que le rapport au corps a lui aussi été modifié.

ordres religieux qui mettent en place des lieux de rassemblements ; d’où l’origine du mot «infirmier» dérivé de l’enfermerie (1288) 1. À la Renaissance, s’ouvrent en Europe des établissements accueillant des fous, des vénériens mais aussi des malades, des miséreux et des exclus. Le personnel est constitué de médecins et de religieux au statut non défini. Les soins sont assimilés à la charité pour l’amour de Dieu. L’acte de soigner est bénévole, la femme qui aide ne peut être rémunérée en