Grand magasin

seconde moitié du XIXe siècle, la révolution industrielle bat son plein.Le commerce lui-même se transforme: les grands magasins connaissent un succès spectaculaire.En tant qu'écrivain naturaliste, Zola, auteur du "Bonheur des Dames" s'intéresse au peuple et son comportement face à ces grands magasins ainsi que les vendeurs et leurs conditions de vie.Dans cet extrait, Zola nous décris le magasin "Au Bonheur des Dames", dirigé par Mouret, pendant une journée de grosse vente. A la fin du chapitre IV,Mouret

l’ancien commerce face à l’envahissement dévorant du nouveau commerce (celui des grands magasins). Dans l’extrait étudié Denise arrive à Paris en compagnie de ses deux frères, Jean et Pépé, et cherchent le magasin de leur oncle Baudu, le Vieil Elbeuf. Au détour d'une rue, ils découvrent avec surprise le Grand Magasin du BDD. Problématique : quelle est la relation particulière qui se noue ici entre Denise et le grand magasin, et entre le lecteur et le roman ? I- La découverte du cadre du roman, annonciateur

s'agit de l'unique enseigne du groupe pour ce type de magasins, contrairement aux autres formats du groupe (supermarché, proximité…) qui adoptent des noms différents selon les pays. Il s'agit de la marque la plus internationale du groupe. Elle représente 62,3 % du chiffre d'affaires du groupe en 2009. Carrefour invente en 1963 le concept d'"hypermarché", dont le premier ouvre au carrefour du Donjon, à Sainte-Geneviève-des-Bois. Le plus grand magasin Carrefour, créé en 1972, se trouve à Villiers-en-Bière

hérité du magasin « Au bonheur des Dames » à la mort de la femme de son oncle. Il a transformé l'échoppe en grand magasin, en « palais du rêve ». Ce roman est le onzième volume de la fresque des Rougon-Macquart, « l'histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire ». Ce roman a été rédigé du 28 mai 1882 au 25 janvier 1883, sous la forme d'un feuilleton dans le journal Gil Blas publié du 17 décembre 1882 au 1er mars 1883. L'extrait du chapitre XIV présente ce grand magasin comme une

arrive à Paris, et Mouret, le patron de ce grand magasin dont les immenses projets dévorent peut à peu les petits commerces. Ce passage est le tout début du roman, lorsque Denise arrive à la capitale avec ces deux frères, Jean et Pépé, et découvre le magasin. Par la suite, Denise progressera dans le Bonheur des Dames jusqu'à ce que Mouret la demande en mariage. Ainsi, dans cet extrait, Zola évoque l'arrivée de Denise à Paris et sa première vue du magasin. De plus, ce passage donne une impression

aussi des foulards, des ceintures, des bijoux et des gants. Pendant sa création de soixantaine années, la marque est célèbre pour son travail manuel des produits, son design et son prix démocratisé. Aujourd’hui, la marque se positionne entre luxe et grande distribution et adopte une image assez classique et novatrice. Aujourd’hui, le Pliage est le sac en toile le plus connu et le plus vendu de la marque. Le choix de Kate Moss comme égérie est un des faits les plus marquants de ce changement de stratégie

Elle se voit ainsi contrainte de rejoindre Paris afin de travailler pour son oncle Baudu, qui tient un vieux commerce dans la ville. Denise constate la déchéance des affaires du vendeur de tissu et de sa famille devant la montée en puissance d’un magasin : Le Bonheur des Dames, qui, malgré les propos dépréciatifs de son oncle à son sujet, fascine la jeune femme. Celui-ci, tenu par Octave Mouret, gagne les faveurs des femmes de Paris et ne cesse d’étendre son importance.

hérité du magasin « Au bonheur des Dames » à la mort de la femme de son oncle. Il a transformé l'échoppe en grand magasin, en « palais du rêve ». Ce roman est le onzième volume de la fresque des Rougon-Macquart, « l'histoire naturelle et sociale d'une famille sous le Second Empire ». Ce roman a été rédigé du 28 mai 1882 au 25 janvier 1883, sous la forme d'un feuilleton dans le journal Gil Blas publié du 17 décembre 1882 au 1er mars 1883. L'extrait du chapitre XIV présente ce grand magasin comme une

période tourmentée du fait de la révolution de 1848, le Second Empire est mené sous rigueur,les grands travaux se multiplient : notamment la transformation de Paris par Haussmann. En 1869, un homme ambitieux Aristide Bousicaut entame un chantier qui va transformer le magasin de nouveautés qu'il dirige « Au bon marché » en un somptueux palais de 50 000m2, un véritable paradis pour les femmes. Le magasin est si impressionnant que l'écrivain Émile Zola lui consacrera un roman « Au Bonheur des Dames »

moderne, ce qui nous permettra de comprendre comment celles-ci témoignent-elles de l’évolution de la place de la consommation à plus d’un siècle d’intervalle. En effet, le roman de Zola datant de la fin du 19e siècle illustre la naissance des grands magasins de Paris tandis celui de Beigbeder dénonce la société de consommation à outrance du 21e siècle. Ainsi, à travers nos travaux nous allons premièrement tenter de cerner les deux romans pour ensuite mieux les comparer afin de répondre à notre problématique