Grand maître

vers "manger", du moins les parties en bois, peut être de son lit . [...] [...] Albertine essaie donc d'imaginer ce qui se passe à l'extérieur pour pouvoir s'échapper mentalement de sa cellule. Elle "écoute [ ] les camions" et imagine leur "grande vitesse à la route" pour faire diversion dans son esprit, se concentrant sur cela pour oublier les quatre murs qui l'enferment. Dans la nuit silencieuse, chaque bruit semble amplifié, mais plusieurs de ses sens sont sollicités. Comme nous venons de

yeux de tout le monde, et l’on doit croire que c’était une beauté parfaite, puisqu’elle donna de l’admiration dans un lieu où l’on était si accoutumé à voir de belles personnes. Elle était de la même maison que le vidame1 de Chartres et une des plus grandes héritières de France. Son père était mort jeune, et l’avait laissée sous la conduite de Mme de Chartres, sa femme, dont le bien, la vertu et le mérite étaient extraordinaires. Après avoir perdu son mari, elle avait passé plusieurs années sans revenir

son poème Albertine Sarrazin, dit : « Il y a des mois que j’écoute/Les nuits et les minuits tomber » v.1-2, on comprend que depuis son emprisonnement elle passe des nuits d’insomnie qu’ellecomble par l’écoute de sons : « les camions se dérober/ La grande vitesse […] /Et grogner l’heureuse dormeuse /Et manger la prison les vers » v.3 à 6. La prison semble mal entretenue : « manger [...](par) les vers » v.6 surement les parties boisé, « le carreau que j’ai cassé » v.13 n’est pas réparé. « Printemps

L’apprentissage de l’événement - “Le Miroir“ et la Grande Guerre par Joëlle Beurier Avant d’être transformé en un hebdomadaire de seize pages « exclusivement alimentées par des photographie », le miroir était un Supplément illustré du Petit Parisien, visant un lectorat d’origine populaire. Une nouvelle génération d’illustré à peine démarré et en concurrence avec de nombreuses revues illustrées, telles que la célèbre Illustration, le Miroir a connu un grand succès que l’auteur analyse-t-il dans ce texte

Hugo decrit ce qu'il va faire lors de son arrivee a la tombe de sa fille. La marche est donc racontee dans un ordre chronologique. De plus, il emploie au premier vers, un rythme saccade: "Demain, des l'aube, a l'heure ou blanchit la campagne". Ce grand poete donne donc de plus en plus de precision sur le moment de depart. En effet, le rythme binaire et le parallelisme utilises au vers 3 " J'irai par la forêt, j'irai par la montagne" montrent que le pere malheureux est pret a franchir n'importe quel

des savoirs et des valeurs mais elle a aussi une mission sociale qui est l’integration de tous,et tout cela depuis la loi d'orientation de 1989. Toutefois elle doit faire face aux problèmes sociaux les plus divers dont le chômage,l’exclusion, la grande pauvreté. CORPS DU SUJET 1-L’ecole est un facteur d’integration : Divers arguments permettent d’affirmer que l’école est un facteur d’intégration. En effet, l’école est le premier lieu ou l’enfant commence a lier des relations avec d’autres

il trouva directement et était sur d'être au bon endroit car une file de lampions étaient disposée en hauteur, les uns derrière les autres accrochés par un grand fil doré. Il trouva cela de mauvais goût mais s'était promis de ne faire aucunes remarques désagréables aujourd'hui, pas même une réflexion personnelle. Arrivé enfin dans la grande salle où tout le monde était installé, il découvrit à nouveaux une décoration qui visiblement était là pour en mettre plein les yeux, il commençait à trouver

de Verdun. De nombreux soldats ont été mobilisés, surtout du côté des alliés : 40 divisions pour eux et 8 pour le camp adverse. L’armée britannique et française a subi les plus grandes pertes, soit plus de 615 000 morts ou disparus environ, contre 465 000 pour les allemands. Cette bataille, la plus meurtrière de la Grande Guerre, a fait plus d’un million de morts en quelques mois. Les pertes ont été très importantes car les Britanniques avaient surestimé la puissance de leur artillerie et avaient

ce tas de mousseline blanche qui tombait du plafond sur un corps moins visible qu'une ombre, et d'où sortait seulement ce pied à demi incliné par le sommeil, vivant quand même de la chair d'homme. La seule lumière venait du building voisin un grand rectangle d'électricité pâle coupé par les barreaux de la fenêtre, dont l'un rayait le lit juste au-dessous du pied, comme pour en accentuer le volume et la vie. Quatre ou cinq klaxons grincèrent à la fois. Découvert ? Combattre, combattre des ennemis

pouvoir et la vérité de cette pratique, Puisse tous les êtres jouir du bonheur et des causes du bonheur, Puisse-t-ils être libres de la souffrance et des causes de la souffrance, Puisse-t-ils ne jamais être séparés du grand bonheur dénué de souffrance Puisse-t-ils demeurer dans la grande équanimité qui Est libre de toute passion, de toute agressivité et de tout Préjugé. En tibétain : SEM T CHEN TAM T CHE DEWA DANG DEWEI GYOU DANG DENPAR GYOU CHIK DOUKNGEL DANG DOUKNGEL GYI GYOU DANG DRELWAR GYOUR